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Mélanome infantile, traitements plus efficaces que chez l’adulte

Medicalnewstoday.com rapporte les résultats d’une récente expérience des physiciens et du personnel du Moffitt Cancer Center. Ceux-ci ont à cœur le traitement du cancer de la peau chez les jeunes. Ils mettent en lumière une nouvelle évidence : le cancer se présente différemment chez l’enfant, et de même, il répond différemment aux traitements.

Par exemple, au même stade du cancer, les métastases au niveau des ganglions lymphatiques sont beaucoup plus présentes chez l’enfant, alors qu’elles sont difficilement détectables chez l’adulte.

En outre, selon le principal auteur de la recherche, le Dr Vernon K. Sondak, avec un traitement médical agressif, et même lors d’une chirurgie, l’enfant au même stade de la maladie que l’adulte répond beaucoup mieux.

Sondak s’inquiète quant à l’augmentation du nombre de mélanomes chez les jeunes enfants. Il donne l’alerte aux chercheurs et médecins traitants. « Nous sommes d’avis que la plupart des patients en pédiatrie chez qui on détecte des mélanomes devraient se voir offrir une biopsie des ganglions lymphatiques sentinelles ».

« Mais plus encore, il est essentiel de sensibiliser les parents à la protection solaire de leur enfant, et ce, dès la naissance », insiste le Dr Vernon K. Sondak.

La recherche est publiée dans l’édition du mois d’août des Annals of Surgical Oncology.

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Le cannabis lié à un risque accru du cancer des testicules

Le cancer des testicules est une maladie rare, mais il demeure le cancer le plus fréquent chez les hommes de 15 à 45 ans.
 
Une équipe de l’Université de la Californie du Sud a mis en lumière un lien entre la consommation de marijuana et un risque accru de développer ce type de cancer.
 
On a comparé les données de 163 consommateurs de cannabis ayant reçu un diagnostic de cancer des testicules à celles de 292 hommes en bonne santé. En observant les antécédents de consommation de marijuana, on constate que cela double le risque de maladie.
 
« Nous ignorons comment le cannabis conduit à la cancérogenèse, mais nous supposons un processus médié par le système endocannabinoïde, le réseau de récepteurs qui répond à l’ingrédient actif de la marijuana, un système qui intervient aussi dans la formation du sperme », explique la Dre Victoria Cortessis dans la revue Cancer.
 
On demande donc à revoir même l’usage thérapeutique du cannabis pour les jeunes hommes.
 
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Cancers dépistés en hausse pendant la grossesse

Une étude de grande envergure a été effectuée de 1994 à 2008 auprès de plus d’un million de femmes enceintes. Les résultats démontrent que plus de femmes sont désormais diagnostiquées du cancer, soit pendant la grossesse ou jusqu’à 12 mois après l’accouchement.

Certains facteurs, comme l’âge plus avancé des mères en croissance depuis quelques années, ont certes une incidence. Cependant, de façon générale, il semblerait que ce soit surtout les hormones qui jouent un rôle dans la vitesse de développement d’une tumeur.

Les cancers les plus fréquents découverts lors de la recherche étaient le mélanome de la peau, le cancer du sein, le cancer de la glande thyroïde et d’autres cancers d’ordre endocrinien ou gynécologique.

C’est la professeure Christine Roberts, du Kolling Institute of Medical Research de l’Université de Sydney qui a cosigné le rapport de l’étude. Elle affirme que la découverte de tumeurs engendre presque inévitablement la césarienne, une naissance prématurée et des bébés plus gros, malgré le terme inachevé de la grossesse.

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L’apnée du sommeil liée au développement des cancers

Trois études ont démontré que l’apnée du sommeil accroit les risques de mortalité par cancer.
 
Ces études, présentées lors du congrès de l’European Respiratory Society, ont été réalisées sur un total de 5600 personnes dans sept cliniques du sommeil en Espagne.
 
« Nous avons bien constaté une augmentation significative du risque relatif de décès par cancer chez les personnes souffrant d’apnée du sommeil. Notre recherche confirme l’association entre ces troubles, mais ne signifie pas que l’apnée du sommeil provoque le cancer », explique le Dr Miguel Angel Martinez-Garcia.
 
Même en tenant compte de différents facteurs comme l’âge, le sexe, le poids et les comorbidités, le lien avec un risque accru de mortalité par cancer demeure significatif.
 
Plus d’études seront effectuées à ce sujet prochainement.
 
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Un nouvel espoir contre le cancer

Après 10 ans de recherches, une équipe de l’Inserm CNRS, en collaboration avec des chercheurs australiens et anglais, est parvenue à isoler une molécule capable de freiner la multiplication et la mobilité des cellules cancéreuses.
 
Selon leurs résultats obtenus en laboratoire et sur des animaux, la Liminib inhibe la Lim Kinase (LIMK), qui est surexprimée dans plusieurs tumeurs invasives.
 
La LIMK permet la prolifération et la mobilité des cellules malades, alors que la molécule Liminib empêche le phénomène en désorganisant la dynamique du squelette interne même de la LIMK.
 
Cette molécule permet aussi de vaincre plus efficacement les cellules cancéreuses résistantes à la chimiothérapie.
 
Cette découverte pourrait donc mener à de nouveaux traitements et permettrait également d’éviter de nombreux décès par cancer, surtout dans les cas où la chimiothérapie s’avère insuffisante pour anéantir complètement les cellules malades.
 
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Le VIH à la rescousse du cancer

La lutte contre le VIH est difficile, car le virus se transforme énormément, ce qui lui permet de résister aux antiviraux.
 
Cependant, les scientifiques viennent de tirer un avantage de ces transformations avec une des protéines mutantes générées lors du processus par le virus génétiquement modifié. Il s’avère que le tout est un puissant anticancer.
 
Cette protéine multiplie par 300 l’efficacité des traitements contre les cellules tumorales, ce qui permettrait donc de réduire les doses de médicaments, et par conséquent les effets secondaires.
 
Cette fois, c’est dans le génome du VIH que l’on a introduit un gène humain qui accentue les effets anticancer.
Des études précliniques sur des animaux devront être effectuées au cours des prochaines années avant d’envisager des essais sur des humains.
 
Si elle se confirme, cette découverte pourrait servir à d’autres voies thérapeutiques également.
 
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Extrait de thé vert pour éliminer le cancer de la peau

Les cancers de la peau qui ont été traités sont le carcinome épidermoïde et le mélanome malin. Ce sont de nombreux scientifiques des universités de Strathclyde et Glasgow qui se sont concertés lors de cette recherche. L’extrait de thé vert dont il est question se nomme l’épigallocatéchine gallate (EGCg).

L’EGCg n’a eu aucun effet secondaire, pas plus qu’il n’a affecté les autres cellules ou tissus lors du traitement.
 
Les résultats indiquent que dans le cas de l’épidermoïde carcinome, 40 % des tumeurs ont complètement disparu, et 30 % des autres ont diminué.
 
En ce qui concerne les mélanomes, il y a également 40 % des tumeurs qui se sont complètement résorbées, alors que 20 % d’autres tumeurs ont rapetissé, et qu’un 10 % supplémentaire ont été stabilisées.
 
Les scientifiques sont euphoriques, selon la responsable des recherches, la Dre Christine Dufes de l’University of Strathclyde. Le traitement, qui s’effectue en combinaison avec la transferrine, protéine qui s’agrippe naturellement aux cellules cancérigènes, est très prometteur.
 
À l’origine, l’EGCg avait été essayé dans les cas de cancer de la prostate ou de leucémie. Bien que ce traitement n’ait pas fonctionné, il est désormais possible de traiter de nombreux cancers de la peau.
 
À noter que boire du thé vert n’a aucun impact en ce sens. La seule façon d’obtenir des résultats efficaces consiste à l’intégrer aux tumeurs sous forme d’extrait EGCg.
 
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En 2040, 1 personne sur 4 de plus de 65 ans aura le cancer

Selon la tendance actuelle, les experts prévoient qu’en 2040, une personne sur quatre de plus de 65 ans pourrait avoir le cancer.
 
On a effectué les prédictions pour différents cancers, soit du côlon, du poumon, de la prostate et du sein.
 
Selon le British Journal of Cancer, il y aura plus de cancers chez les aînés, seulement on note aussi un plus grand nombre de survivants au cancer avec le temps.
 
C’est le cancer de la prostate qui évoluera le plus rapidement chez l’homme, alors que pour la femme, c’est le cancer du poumon qui connaitra une nette progression.
 
Ces prédictions doivent donc être prises en considération pour établir un plan qui tiendra compte de cette prévalence et des impacts sur nos systèmes de santé.
 
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Les aliments frits à la poêle augmentent les risques de cancer de la prostate

 

L’étude, qui est en ligne sur le site du journal Carcinogenesis, mentionne que le risque de cancer de la prostate est causé par la libération de puissants cancérigènes chimiques lorsque la viande est cuite à haute température.

« Nous avons découvert que les hommes qui mangeaient 1,5 portion de viande rouge cuite à la poêle à frire par semaine augmentaient leur risque d’avoir un cancer de la prostate de 30 %. De plus, les hommes qui en mangeaient plus de 2,5 portions étaient 40 % plus susceptibles d’avoir un cancer avancé de la prostate », explique la chercheuse principale de l’étude, Mariana Stern.

À l’issue de la recherche, plus de la moitié des 2 000 hommes participants ont reçu un diagnostic de cancer avancé de la prostate.

Aussi, les hommes de nationalité hispaniques étaient plus à risque de développer ce type de cancer.

Les chercheurs n’ont pas encore donné de recommandations et devront étudier davantage la question.

Rappelons également que les hommes qui boivent beaucoup de thé augmenteraient leurs risques de souffrir d’un cancer de la prostate.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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La viande rouge augmente les risques de cancer à cause du fer

La viande rouge était déjà liée à un risque accru de cancer de l’intestin, mais les scientifiques ont peut-être trouvé la cause de ce phénomène.

Selon le Daily Mail, les niveaux élevés de fer dans la viande rouge seraient en cause, mais seulement si la personne a un gène défectueux dans l’intestin, soit le gène APC.

Des souris ayant ce gène défectueux avaient entre deux et trois fois plus de risques de développer la maladie lorsqu’elles avaient une alimentation riche en fer.

Toutefois, lorsque le gène n’était pas défectueux, même avec une consommation de fer, les souris ne développaient pas plus de cancer.

Il est donc clair que le fer joue un rôle dans le développement du cancer. Seulement, des études plus approfondies doivent être effectuées pour parvenir à des conclusions claires et probantes sur le mécanisme en cause.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net