Catégories
Uncategorized

Les risques d’un deuxième cancer sont plus élevés chez les femmes obèses

Déjà, le surpoids était associé à un risque accru de développer certains types de cancers, dont le cancer du sein. Maintenant, une étude parue dans le Breast Cancer Research and Treatment révèle que le surpoids accroît les risques de récidives du cancer dans le même sein ou de développer un nouveau cancer dans l’autre sein.

En plus, il y a des risques également associés à un cancer de l’endomètre ou colorectal.

Après une méta-analyse de plusieurs études prospectives, l’obésité lors d’un premier cancer du sein accentue de 37 % les risques de développer un cancer du sein controlatéral, ainsi que de 40 % les risques d’avoir un autre cancer dans le même sein.

Cependant, le risque s’élève à 96 % quant au cancer de l’endomètre ou le cancer colorectal.

Voilà donc d’autres bons arguments dans la lutte contre l’obésité.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Le jus de pamplemousse rend les anticancéreux plus efficaces

La revue Clinical Cancer Research révèle qu’un verre de jus de pamplemousse par jour permettrait de bénéficier des mêmes effets que trois fois la dose de Rapamycine (ou Sirolimus). Il s’agit d’un médicament qui empêche le rejet des greffes, mais surtout qui a aussi des effets anticancer.

En effet, le jus de pamplemousse que l’on a souvent jugé initiateur d’une surdose de médicament, permettrait plutôt de ralentir le mécanisme de façon naturelle, réduisant par conséquent les doses des médicaments, ce qui entraînerait également une diminution des coûts des traitements.

138 patients avec un cancer incurable ont participé à la recherche. Ils ont été divisés en trois groupes, un qui n’a reçu que le sirolimus seul, un qui l’a reçu avec du Ketocanazole (un médicament qui augmente l’efficacité du traitement) et le troisième groupe a reçu le Sirolimus avec du jus de pamplemousse.

Dans le deuxième et troisième groupe, on a obtenu sensiblement les mêmes résultats, mais il ne faut pas oublier que le jus de pamplemousse est plus naturel que le Ketocanazole, donc cause moins d’effets secondaires indésirables.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

Catégories
Uncategorized

La chimiothérapie présente un gros désavantage

Des chercheurs américains ont découvert, de façon inattendue, des effets indésirables de la chimiothérapie.

Ils s’étaient penchés sur la résistance à la chimiothérapie de cas de cancer métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du côlon.

Mais au cours de leurs travaux, ils ont découvert que la chimiothérapie endommageait les cellules saines et les poussaient à produire une protéine qui alimente les tumeurs, permettant ainsi une résistance aux traitements.

Ils ont mis en évidence le rôle des fibroblastes qui sont des cellules non cancéreuses et jouent un rôle dans la cicatrisation des plaies et la production de collagène.

Selon le Nature Medicine, le problème est que lorsque ces cellules sont près d’un cancer et soumises à la chimiothérapie, leur ADN est altéré et elles produisent alors une protéine nommée WNT16B qui favorise la croissance des cellules cancéreuses et envahit les tissus environnants.

« Un anticorps à la protéine WNT16B, donné dans le cadre de la chimiothérapie, pourrait améliorer la réaction (en tuant davantage de cellules cancéreuses). Cela permettrait également d’utiliser des doses thérapeutiques plus petites et moins toxiques », a indiqué le coauteur de l’étude, Peter Nelson.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Des cellules souches cancéreuses liées aux récidives

Une équipe de l’Université du Texas a découvert que certaines cellules souches cancéreuses étaient responsables des récidives de certains cancers, mentionne la revue Science.

Les chercheurs ont étudié le cancer du cerveau sur des souris génétiquement modifiées, afin d’avoir une des formes très agressives du cancer du cerveau, un glioblastome, qui est la forme la plus fréquente de tumeur maligne. Le taux de survie est de un an environ après le diagnostic. Souvent, on note des récidives de ce cancer, même après la chimiothérapie.

Les souris ont été traitées et ensuite, à l’aide d’une analyse génétique, les scientifiques ont trouvé un sous-ensemble tumoral qui serait lié aux récidives.

Il pourrait donc être possible de trouver le moyen de supprimer ces cellules souches afin d’éviter le risque de récidives et ainsi, combattre plus efficacement les tumeurs agressives et tenaces.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Un mode de vie sain est réellement la meilleure arme contre le cancer

Depuis 2007, les experts mentionnent que de bonnes habitudes de vie peuvent prévenir le cancer. Une nouvelle étude de l’American Journal of Clinical Nutrition vient confirmer ces données.

Le Fonds mondial de recherche contre le cancer réitère sept recommandations pour aider à prévenir l’apparition de plusieurs formes de cancer.

Il faut garder un indice de masse corporel normal situé entre 21 et 23, faire au moins 30 minutes d’exercices physiques par jour, réduire sa consommation de gras et de sucre ainsi que des boissons gazeuses. L’on doit également limiter sa consommation de viande rouge à 500 gr par semaine, avoir une alimentation riche en fruits et légumes et grains entiers. Finalement, réduire au maximum sa consommation de sel et d’alcool.

Selon les résultats recueillis auprès de 400 000 personnes dans neuf pays européens, les personnes qui avaient opté pour un mode de vie sain avaient moins de risque de développer un cancer que les autres.

Ceci démontre donc l’importance d’adopter de bonnes habitudes et confirme une fois de plus que plusieurs cancers peuvent être évités simplement en changeant certaines habitudes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Manger deux pommes par jour serait bon pour le coeur

 

Les chercheurs de l’Université d’État de la Floride ont découvert que les pommes — en plus de contribuer à combattre la cellulite et d’augmenter la longévité — aidaient au bon fonctionnement du coeur.

En fait, manger des pommes sur une base régulière pourrait réduire le taux de mauvais cholestérol de plus de 25 %.

Le mauvais cholestérol peut causer des caillots dans le sang, qui sont responsables des accidents vasculaires cérébraux.

L’étude a été menée auprès de femmes ménopausées, puisque les risques de souffrir de maladies cardiaques et d’AVC sont nettement accrus.

Les pommes ont également des minéraux, des vitamines ainsi que des fibres indispensables pour notre corps. Plus précisément, chaque pomme que vous mangez vous procure cinq grammes de fibres, selon Doctissimo.fr.

Rappelons que consommer des pommes est également efficace pour contrer l’asthme, puisque ce fruit a un effet positif sur les voies respiratoires, d’après Passeportsante.net. Vos risques de développer un cancer colorectal ou un cancer du poumon seraient aussi amoindris par la consommation de pommes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

 

Catégories
Uncategorized

Avoir un bébé après 30 ans diminuerait les risques de cancer

Alors que de plus en plus de femmes retardent la maternité par choix, voilà qu’il y a peut-être un élément de plus qui pourrait peser dans la balance pour elles.
 
En effet, selon des chercheurs de l’école de médecine Keck de l’Université de Caroline du Sud, plus les femmes attendent pour tomber enceintes, moins élevés sont les risques de développer un cancer de l’endomètre (cancer du corps utérin).
 
Parue sur le site de l’American Journal of Epidemiology, l’étude américaine a observé le cas de milliers de femmes pour conclure que les mères qui ont leur dernier enfant entre 30 et 34 ans ont 17 % moins de chances que celles âgées de 25 ans d’être atteintes de ce type de cancer.
 
Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.
 
Ainsi, en retardant la grossesse, les risques de cancer de l’endomètre seraient moins élevés. D’un autre côté, les chances que la femme soit moins fertile ou que le bébé soit atteint d’autisme augmentent, révèlent des études antérieures.
 
Catégories
Uncategorized

L’agence européenne souhaite limiter la durée des traitements à base de calcitonine

(Relaxnews) – Le Comité des médicaments à usage humain (CMUH) de l’Agence européenne du médicament (EMA) recommande de limiter la durée des traitements à base de calcitonine.

Cette requête intervient à la suite de la réalisation d’essais cliniques, montrant un risque accru de cancer lors de l’usage de ces médicaments à long terme. Le CMUH a soumis cette réclamation à la Commission européenne, qui décidera d’adopter ou non cette restriction d’indication.

De nombreux essais cliniques font état d’un risque de survenue de cancer multiplié par 0,7 à 2,4 % chez les patients traités par des médicaments à base de calcitonine à long terme, par rapport à ceux traités par placebo.

Devant ce constat, l’Agence européenne du médicament demande de limiter la durée des traitements à base de cette spécialité. « Un traitement par calcitonine devra désormais être limité à la durée la plus courte possible, avec la dose efficace la plus faible possible », indique l’autorité sanitaire.

Le CMUH recommande également de restreindre l’usage de calcitonine au traitement de seconde intention chez les patients atteints de la maladie de Paget. Si la Commission européenne adopte cette proposition, seuls les patients ne répondant pas aux autres traitements pourront bénéficier d’une prise en charge par calcitonine.

Catégories
Uncategorized

Diabète de type 2 : aucun lien significatif entre insuline glargine et risque accru de cancer

(Relaxnews) – À la demande de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), la Caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts) a présenté lundi (23 juillet) les résultats d’une étude, montrant qu’il n’existe aucune augmentation significative de risque de cancer avec la prise d’insuline glargine.

Cette enquête a été conduite à la suite de la publication en 2009 d’études observationnelles évoquant un lien potentiel entre insuline glargine et risque accru de cancer.

L’insuline glargine est indiquée dans le diabète de type 2 chez l’adulte, l’adolescent et l’enfant âgé de plus de 6 ans. En 2009, les résultats de plusieurs études observationnelles ont montré une association potentielle entre la prise d’insuline glargine et le risque de survenue de tumeurs malignes chez les patients atteints de diabète de type 2.

Devant ce constat, l’ANSM a placé l’insuline glargine sous surveillance renforcée et a demandé à la Cnamts de réaliser une étude exclusivement axée sur ce lien potentiel.

Quelque 70 000 diabétiques de type 2 ont ainsi été suivis pendant près de trois ans. Résultat : aucun lien significatif entre la prise d’insuline glargine et le risque de survenue de cancers n’a été mis en évidence, quelle que soit la localisation du cancer.

L’agence sanitaire française a toutefois demandé à la Cnamts de poursuivre le suivi des patients concernés afin de posséder un historique à plus long terme. Les prochains résultats seront publiés dès la fin 2012.

« Les recommandations de dépistage du cancer du sein et du cancer colorectal concernent toute la population âgée de 50 ans ou plus et, par conséquent, elles concernent la majorité des patients diabétiques de type 2, qu’ils soient ou non traités par insuline », rappelle tout de même l’ANSM.

Catégories
Uncategorized

Des abus qui peuvent tourner au cancer

« Les personnes qui ont été souvent émotionnellement ou physiquement maltraitées par leurs parents durant l’enfance sont plus susceptibles d’avoir un cancer à l’âge adulte. Le phénomène est particulièrement plus visible et important chez les filles lorsque ce sont les mères qui ont abusé d’elles, et chez les garçons quand cela s’est produit par leur père. Plus les sévices ont été intenses et fréquents, plus élevé est le risque qu’un cancer se développe chez l’enfant devenu grand », explique Kenneth Ferraro, professeur de sociologie à l’Université de Purdue.

L’expert précise que les cas de stress durant l’enfance poussent davantage les garçons à développer un cancer à l’âge adulte. Cependant, les enfants qui sont maltraités par un parent du même sexe qu’eux, qu’ils soient filles ou garçons, courent le même risque.

C’est en enquêtant auprès de 2101 adultes américains et en comparant plusieurs malheurs qui peuvent marquer l’enfance, tels que la pauvreté, la perte d’un parent ou le niveau d’éducation familial, que les chercheurs ont déterminé que les sévices avaient un lien avec le risque de cancer à l’âge adulte.

À ce compte, les chercheurs tendent à affirmer que la maltraitance des enfants peut être un facteur environnemental à la cause du cancer. En poursuivant les recherches, des solutions de préventions à la maladie pourraient être trouvées pour aider à atténuer les risques à long terme et améliorer la condition à court terme des enfants victimes de violence.

L’étude est parue en ligne dans le Journal of Aging and Health.