Un cocktail de médicaments pourrait être efficace sur les enfants atteints d’un neuroblastome, tumeur maligne solide extra-crânienne, la plus fréquente chez les jeunes enfants.
Ces médicaments augmenteraient en fait l’efficacité d’un nouveau gène prometteur, dans un traitement ciblé. Des chercheurs de l’Institute of Cancer Research à Londres ont trouvé un moyen de vaincre la résistance des cellules cancéreuses avec un médicament appelé Crizotinib, qui a récemment montré des résultats positifs chez les enfants atteints d’un cancer.
Le Crizotinib a déjà été homologué par la Food and Drug Administration américaine pour une utilisation dans les cancers des adultes.
L’étude, dirigée par l’Institute of Cancer Research en collaboration avec le Dana-Farber Cancer Institute et le Children’s Hospital de Boston, est publiée cette semaine dans la revue Cancer Cell.
Dans l’étude, les scientifiques détaillent leur nouvelle stratégie de combiner le Crizotinib avec une deuxième classe de médicaments pour combattre la résistance des cellules cancéreuses.
Rassurez-vous, selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of The National Cancer Institute, globalement, les traitements de l’infertilité n’augmenteraient pas les risques de développer un cancer du sein.
Cependant, les chercheurs ont remarqué que les femmes ayant suivi un traitement contre l’infertilité, qui n’a pas marché, auraient un risque réduit de cancer du sein par rapport à celles non traitées.
Les scientifiques ont également soulevé que les femmes pour qui le traitement a fonctionné ont un risque élevé de cancer du sein, comparativement aux femmes traitées sans succès, et un risque proche à celles non traitées.
Qui est le grand responsable de ce risque de développer un cancer du sein? Il s’agit de l’œstrogène, hormone qui est connue pour son rôle dans le développement de cette maladie. Les traitements, qui stimulent sur une courte durée l’ovulation, élèvent les niveaux d’oestrogène chez les femmes.
Une récente étude démontre que les femmes avec des seins imposants ont plus de chances de développer un cancer du sein, selon les scientifiques.
L’étude, qui a porté sur 16 000 femmes, montre qu’il y a un lien entre le tour de poitrine et la maladie. Le grand responsable serait l’oestrogène, une hormone sexuelle qui peut déclencher la croissance des glandes mammaires et des tumeurs.
Cette étude est la première qui montre qu’il existe un lien substantiel entre la taille des seins et le cancer. Les chercheurs ont toutefois ajouté que d’autres recherches étaient nécessaires avant que ces résultats soient considérés comme du béton.
« Nos résultats mettent en évidence des variantes génétiques qui ont un effet sur le cancer du sein et la variation naturelle du volume des seins », a expliqué l’équipe.
Le cancer du sein est la forme la plus courante de la maladie en Grande-Bretagne, avec 50 000 nouveaux cas par an. Une femme sur huit sera touchée au cours de sa vie.
L’étude, publiée dans les Archives of Internal Medecine, prétend que les hommes infertiles auraient plus de chances de développer ce cancer.
Les chercheurs de l’Université de Washington ont étudié 20 000 hommes ayant subi des traitements contre l’infertilité.
Plus de 34 des 5000 hommes infertiles ont souffert d’un cancer du testicule dans l’année suivant le traitement. En comparant ces résultats avec ceux d’hommes fertiles, les scientifiques ont découvert qu’ils avaient donc 2,8 fois plus de risques que les autres de développer un cancer du testicule.
Aussi, ils ajoutent que les tumeurs du testicule ont augmenté au cours des dernières décennies, et que la qualité du sperme et de la fertilité masculine ont diminué.
Rappelons que près d’un quart des couples ne parviennent pas à avoir un enfant après un an de tentatives sans contraception, et plus de 10 % n’y parviennent toujours pas après deux ans.
De plus, selon le Human Reproduction, les hommes devraient éviter de consommer du soya, y compris le lait de soya, car cela diminue la quantité de spermatozoïdes dans leur sperme.
Une étude publiée dans le British Medical Journal dément les précédentes affirmations de chercheurs danois voulant que ces traitements qui stimulent l’ovulation augmentent les risques de cancer chez les femmes.
En fait, sur les 50 000 femmes traitées pour infertilité ayant pris part à la recherche, 156 seulement ont développé un cancer de l’ovaire.
L’étude comprenait aussi des femmes ayant reçu plus de dix cycles de traitement ainsi que celles qui ne sont finalement pas tombées enceintes.
Toutefois, durant les recherches récentes, les femmes n’avaient pas toutes atteint l’âge où le cancer se développe plus souvent, c’est-à-dire 60 ans.
Il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.
Certains de ces problèmes peuvent être dus à une infection transmissible sexuellement.
De plus, plus une femme vieillit, plus il est difficile pour elle de concevoir.