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Le ginseng pour aider à prévenir le cancer

Depuis longtemps, on recommande les boissons à base de ginseng pour donner de l’énergie et augmenter l’endurance, mais sachez qu’elles seraient aussi efficaces pour prévenir le cancer et même aider à le vaincre.
 
Une étude effectuée à la Clinique Mayo, dévoilée par MedicMagic, a suivi 340 patients atteints de cancer pendant deux mois.
 
Après une consommation de ginseng pendant quatre semaines, les patients ont réussi à réduire leur fatigue. Après huit semaines, leur guérison était plus importante que chez le groupe ayant eu un placebo.
 
Des doses élevées de ginseng permettraient même de réduire les risques de développer un cancer, souvent causé par des facteurs de fatigue.
 
Le gros avantage est que la prise de ginseng ne cause aucun effet secondaire.
 
Des études vont se poursuivre sur le sujet, mais déjà, les premiers résultats sont plutôt encourageants.

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Cancer chez les enfants : nouvelle combinaison de médicaments

Un cocktail de médicaments pourrait être efficace sur les enfants atteints d’un neuroblastome, tumeur maligne solide extra-crânienne, la plus fréquente chez les jeunes enfants.

Ces médicaments augmenteraient en fait l’efficacité d’un nouveau gène prometteur, dans un traitement ciblé. Des chercheurs de l’Institute of Cancer Research à Londres ont trouvé un moyen de vaincre la résistance des cellules cancéreuses avec un médicament appelé Crizotinib, qui a récemment montré des résultats positifs chez les enfants atteints d’un cancer.

Le Crizotinib a déjà été homologué par la Food and Drug Administration américaine pour une utilisation dans les cancers des adultes.

L’étude, dirigée par l’Institute of Cancer Research en collaboration avec le Dana-Farber Cancer Institute et le Children’s Hospital de Boston, est publiée cette semaine dans la revue Cancer Cell.

Dans l’étude, les scientifiques détaillent leur nouvelle stratégie de combiner le Crizotinib avec une deuxième classe de médicaments pour combattre la résistance des cellules cancéreuses.

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Cancer du sein : les traitements de l’infertilité dans le collimateur

Rassurez-vous, selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of The National Cancer Institute, globalement, les traitements de l’infertilité n’augmenteraient pas les risques de développer un cancer du sein.

Cependant, les chercheurs ont remarqué que les femmes ayant suivi un traitement contre l’infertilité, qui n’a pas marché, auraient un risque réduit de cancer du sein par rapport à celles non traitées.

Les scientifiques ont également soulevé que les femmes pour qui le traitement a fonctionné ont un risque élevé de cancer du sein, comparativement aux femmes traitées sans succès, et un risque proche à celles non traitées.

Qui est le grand responsable de ce risque de développer un cancer du sein? Il s’agit de l’œstrogène, hormone qui est connue pour son rôle dans le développement de cette maladie. Les traitements, qui stimulent sur une courte durée l’ovulation, élèvent les niveaux d’oestrogène chez les femmes.

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Cancer du sein : risques plus élevés pour les fortes poitrines

Une récente étude démontre que les femmes avec des seins imposants ont plus de chances de développer un cancer du sein, selon les scientifiques.

L’étude, qui a porté sur 16 000 femmes, montre qu’il y a un lien entre le tour de poitrine et la maladie. Le grand responsable serait l’oestrogène, une hormone sexuelle qui peut déclencher la croissance des glandes mammaires et des tumeurs.

Cette étude est la première qui montre qu’il existe un lien substantiel entre la taille des seins et le cancer. Les chercheurs ont toutefois ajouté que d’autres recherches étaient nécessaires avant que ces résultats soient considérés comme du béton.

« Nos résultats mettent en évidence des variantes génétiques qui ont un effet sur le cancer du sein et la variation naturelle du volume des seins », a expliqué l’équipe.

Le cancer du sein est la forme la plus courante de la maladie en Grande-Bretagne, avec 50 000 nouveaux cas par an. Une femme sur huit sera touchée au cours de sa vie.

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Nouveau test sanguin pour dépister des cancers

Le Clinical Cancer Research publie les résultats de nouveaux travaux de l’Institut Curie. Pour la première fois, on démontre qu’il est possible de détecter l’ADN tumoral circulant dans le sang, sur des patients qui souffrent d’un mélanome de l’œil métastatique.
 
Ce type de cancer est très rare et particulièrement difficile à traiter une fois le diagnostic établi. Il est donc primordial d’avoir un diagnostic précoce.
 
Cette nouvelle technique pourrait s’appliquer à tous les types de cancer. C’est du moins ce que les chercheurs espèrent.
 
Non seulement cela permettrait de détecter les tumeurs à un stade précoce, mais aussi de voir les récidives possibles rapidement.
 
La présence de l’ADN tumoral dans le sang indique qu’il y a une tumeur, et sa quantité indique le volume de cette dernière.
 
« La quantité de cet ADN était bien proportionnelle à la masse tumorale évaluée par imagerie par résonance magnétique (IRM) » dit le chercheur Marc-Henri Stern.
 
« Nous avons ainsi établi la preuve de concept que cette méthode de détection est parfaitement adaptée pour repérer la présence d’un foyer tumoral chez les patients à partir d’une simple prise de sang », ajoute son collègue, Olivier Lantz.
 
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Une nouvelle approche thérapeutique face au cancer

Les scientifiques travaillent constamment à chercher des traitements contre le cancer qui seraient non seulement efficaces, mais offriraient aussi moins d’effets secondaires.
 
Des chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco ainsi que du Mont-Sinaï travaillent sur une nouvelle approche multi-cibles, la polypharmacologie, qui ciblerait plusieurs molécules spéciales afin de perturber le processus de la maladie.
 
Cela consiste à trouver les balles intelligentes ou les produits chimiques qui attaquent un gène ou une protéine spécifique impliqué dans le développement du cancer.
 
« Nous avons toujours été à la recherche de telles molécules intelligentes. Il s’agit d’un fusil qui vise non pas une cible, mais un ensemble d’objectifs. Cela multiplie les chances d’arrêter le cancer sans provoquer “trop” d’effets secondaires », explique le Pr Kevan Shokat.
 
Déjà, cette nouvelle approche moins toxique, donc présentant moins d’effets secondaires, donne des résultats prometteurs sur des mouches à fruits.
 
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Les hommes infertiles susceptibles d’avoir un cancer du testicule

L’étude, publiée dans les Archives of Internal Medecine, prétend que les hommes infertiles auraient plus de chances de développer ce cancer.

Les chercheurs de l’Université de Washington ont étudié 20 000 hommes ayant subi des traitements contre l’infertilité.

Plus de 34 des 5000 hommes infertiles ont souffert d’un cancer du testicule dans l’année suivant le traitement. En comparant ces résultats avec ceux d’hommes fertiles, les scientifiques ont découvert qu’ils avaient donc 2,8 fois plus de risques que les autres de développer un cancer du testicule.

Aussi, ils ajoutent que les tumeurs du testicule ont augmenté au cours des dernières décennies, et que la qualité du sperme et de la fertilité masculine ont diminué.

Rappelons que près d’un quart des couples ne parviennent pas à avoir un enfant après un an de tentatives sans contraception, et plus de 10 % n’y parviennent toujours pas après deux ans.

De plus, selon le Human Reproduction, les hommes devraient éviter de consommer du soya, y compris le lait de soya, car cela diminue la quantité de spermatozoïdes dans leur sperme.

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Les traitements contre l’infertilité sans risques de cancer

Une étude publiée dans le British Medical Journal dément les précédentes affirmations de chercheurs danois voulant que ces traitements qui stimulent l’ovulation augmentent les risques de cancer chez les femmes.

En fait, sur les 50 000 femmes traitées pour infertilité ayant pris part à la recherche, 156 seulement ont développé un cancer de l’ovaire.

L’étude comprenait aussi des femmes ayant reçu plus de dix cycles de traitement ainsi que celles qui ne sont finalement pas tombées enceintes.

Toutefois, durant les recherches récentes, les femmes n’avaient pas toutes atteint l’âge où le cancer se développe plus souvent, c’est-à-dire 60 ans.

Il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.

Certains de ces problèmes peuvent être dus à une infection transmissible sexuellement.

De plus, plus une femme vieillit, plus il est difficile pour elle de concevoir.

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Nouvelle thérapie prometteuse contre le cancer

Le quart des patients prétraités pour différents cancers obtiennent une bonne réponse au traitement par BMS-936558 ou anti-PD-1.
 
Cette immunothérapie a été testée lors d’essais cliniques sur 296 patients avec un cancer du poumon ou du rein, un mélanome ou autre.
 
Selon le New Englad Journal of Medicine, les tumeurs peuvent développer des modes de résistance multiples pour échapper à la réponse immunitaire. De nouvelles approches tentent donc de cibler ces mécanismes de protection.
 
Les chercheurs ont besoin de biomarqueurs de ces mécanismes de blocage afin de pouvoir identifier les personnes dont les tumeurs sont résistantes.
 
Avec le traitement anti-PD-1 ou BMS-936558, 36 % des patients ont obtenu une réponse favorable au traitement.
 
Cette immunothérapie pourrait donc offrir une nouvelle solution intéressante pour traiter la maladie.
 
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Une mauvaise santé dentaire est liée au cancer

La santé des dents est importante face au cancer. Une mauvaise hygiène augmente de 79 % les risques de mourir d’un cancer, selon une étude parue dans le BMJ Open.
 
Ce sont des chercheurs suédois qui ont établi un lien entre un haut niveau de plaque dentaire et le cancer. Toutefois, la relation de cause à effet demeure encore inconnue pour le moment.
 
Nous le savons, la plaque dentaire est à l’origine de bien des maladies buccodentaires, mais maintenant du cancer également.
 
3273 personnes ont été suivies depuis 1985 pour cette étude. On note que 58 sont décédées durant la recherche, dont 35 du cancer. Ces personnes avaient un plus haut niveau de plaque dentaire.
 
Même en tenant compte d’autres facteurs de risques, comme l’âge ou le tabagisme, les risques liés à la plaque dentaire demeurent réellement présents, selon les chercheurs.
 
Il est donc primordial d’avoir une bonne hygiène buccodentaire tout au long de sa vie.