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Les gaz d’échappement sont cancérigènes

Depuis 1988, les gaz d’échappement des moteurs diesel étaient considérés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme étant potentiellement cancérigènes.
 
Cependant, depuis 1998, un comité d’experts a réévalué le dossier et vient de classer ces gaz dans le groupe 1 des substances cancérigènes.
 
Le Centre international de recherches sur le cancer a été créé en 1965 par l’OMS.
Selon The Lancet Oncology, les gaz d’échappement seraient à l’origine de nombreux cancers, surtout des poumons et de la vessie.
 
« Le groupe de travail a découvert que ces gaz d’échappement de diesel sont une cause de cancer du poumon et a également remarqué qu’ils étaient associés à un risque accru de cancer de la vessie », disent les experts.
 
On recommande donc de nouvelles réglementations afin de réduire ces gaz d’échappement et ainsi diminuer l’incidence de certains cancers.
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Découverte de cellules spécifiques dans les cas de cancer du col de l’utérus

Des scientifiques ont identifié des cellules distinctives dans une zone spécifique du col de l’utérus. Ces cellules particulières seraient responsables de la majorité sinon de tous les cancers utérins qui sont causés par le virus du papillome humain (VPH).
 
Selon l’étude publiée dans les Annales de l’Académie nationale américaine des sciences, le VPH est un important facteur de risque du cancer du col de l’utérus.
 
La découverte de ces cellules permettra donc de distinguer les cellules bénignes de celles qui sont potentiellement dangereuses dans les lésions précancéreuses du col de l’utérus.
 
Ce type de cancer emporte chaque année 240 000 femmes dans le monde, dont 380 sont canadiennes.
 
De plus, les chercheurs ont aussi découvert que ces cellules spécifiques ne se régénèrent pas lorsqu’elles sont retirées du col de l’utérus. Cela pourrait ouvrir une nouvelle voie de prévention en la matière.
 
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Des risques très sous-estimés concernant le cannabis

La majorité des gens croient que fumer du cannabis est moins dommageable pour les poumons que fumer la cigarette. Pourtant, ce serait plutôt le contraire, selon un rapport de la British Lung Foundation.
 
En fait, le cannabis est 20 fois plus susceptible de causer le cancer que le tabac.
 
Des composés cancérigènes de la cigarette se retrouvent aussi dans le cannabis, et même jusqu’à 50 % plus. Un seul joint par jour équivaudrait à fumer 20 cigarettes en terme de dommages pour les poumons.
 
Ces nouvelles données remettent en cause de récentes études qui disaient qu’une consommation occasionnelle de cannabis n’avait pas d’effets néfastes sur la fonction pulmonaire.
 
Par contre, les chercheurs ne remettent pas en question l’usage de la marijuana à des fins thérapeutiques, notamment pour soulager les douleurs. Cette pratique est généralement encadrée par un suivi médical approprié.
 
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Le diabète augmente les risques de cancer du sang

Des chercheurs du Rhode Island affirment qu’en prévenant l’apparition du diabète de type 2, on réduirait l’incidence des leucémies, lymphomes et myélomes.
 
« Quand on pense aux comorbidités du diabète, on pense à la maladie cardiaque ou à l’insuffisance rénale, mais pas nécessairement au cancer. Pourtant, le diabète a déjà été associé précédemment à d’autres types de cancer, comme le cancer du pancréas et du foie, mais peu à des cancers du sang, dont les causes sont encore mal connues » , explique le Dr Jorge Castillo.
 
De plus en plus d’ailleurs, on découvre des liens possibles entre le diabète et certains types de cancer.
 
La présente étude, publiée dans la revue Blood, a analysé 17 000 cas de personnes diabétiques ayant eu un cancer. On note que le diabète de type 2 augmente les risques d’avoir un cancer du sang de 20 %.
 
On préconise donc une meilleure prévention du diabète en adoptant un mode de vie sain.
 
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La radiothérapie pourrait causer le cancer du sein

C’est ce que de nouvelles données du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center de New York ont révélé.

Les experts incitent donc les jeunes femmes ayant subi un cancer dans leur enfance et un traitement de radiothérapie du thorax à passer un test de dépistage du cancer du sein dès 25 ans.

En fait, à l’issue d’une étude, les spécialistes ont découvert que l’incidence du cancer du sein atteignait 24 % avant que ces femmes aient 50 ans.

Parmi les survivantes d’un lymphome de Hodgkin, ce chiffre grimpe jusqu’à 30 %.

« Il ne s’agit pas seulement des survivantes de la maladie de Hodgkin qui sont à risque de développer un cancer du sein, mais de tous les cancers pédiatriques, même traités par doses de rayonnement modérées », peut-on lire dans la recherche.

Rappelons que le cancer du sein est l’un de ceux dont le nombre de cas augmentera d’ici 2030. De pus, le nombre de cas de cancer, toutes parties du corps confondues, pourrait augmenter jusqu’à 75 % d’ici moins de vingt ans.

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Le ginseng pour soulager la fatigue liée au cancer

Une équipe de la Mayo Clinic a présenté ses résultats de recherches sur le ginseng au Congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology à Chicago.
 
Selon leurs observations obtenues auprès de 340 patientes avec le cancer, dont 60 % avaient un cancer du sein, le ginseng peut aider à soulager la fatigue.
 
Une prise quotidienne de 2 grammes de ginseng en capsule a permis de noter une amélioration de l’état de fatigue lié au cancer après quatre semaines, mais surtout après deux mois, où il y avait une baisse significative de la fatigue chez les malades. Tout cela sans effets secondaires indésirables.
 
Depuis très longtemps, le ginseng est utilisé en médecine chinoise comme source d’énergie.
 
90 % des personnes atteintes de cancer se plaignent de grande fatigue.
 
Maintenant, on souhaite mesurer les effets à long terme du ginseng pour réduire la fatigue due au cancer.
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Les enfants cancéreux souffrent de problèmes émotionnels à l’âge adulte

Ce sont les effets secondaires « physiques » des traitements comme la radiothérapie qui feraient en sorte que bien des enfants ayant souffert d’un cancer seraient victimes d’anxiété et de dépression à l’âge adulte.

C’est ce que révèle une nouvelle étude de l’Université de Northwestern publiée dans le Journal of Clinical Oncology et dont les données ont été recueillies au centre Childhood Cancer Survivor.

Pour arriver à leurs conclusions, les chercheurs ont examiné la santé psychologique de 14 000 adultes qui avaient combattu un cancer durant l’enfance et l’ont comparée à celle d’un frère ou d’une sœur de la même famille qui n’avait pas été malade.

Les survivants qui ont eu une perte de cheveux avaient un risque accru d’anxiété. Les filles qui ont perdu leurs cheveux sont plus susceptibles d’être dépressives, tout comme ceux et celles qui ont des cicatrices en raison de biopsies, qui sont défigurés ou à qui il manque un bras ou une jambe à la suite d’une amputation.

L’étude de l’infirmière spécialisée Karen Kinahan vient confirmer que les traitements du cancer peuvent affecter l’apparence physique des survivants et leur qualité de vie, à une période beaucoup plus tardive que durant la maladie.

La radiothérapie est connue pour un risque accru de détresse émotionnelle et de problèmes sociaux. La spécialiste affirme que des efforts supplémentaires devraient être faits dans le but de venir en aide précocement aux enfants susceptibles d’être plus psychologiquement atteints dans le futur. Les médecins devraient également tenter de minimiser encore plus les risques d’altérations physiques.

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Un nouveau médicament contre le cancer?

Des chercheurs grenoblois de l’Institut Laue-Langevin travaillent sur la création d’un médicament liquide aimanté qui pourrait traiter le cancer.
 
En fait, une équipe de l’Université Bristol en Grande-Bretagne est parvenue récemment à fabriquer un savon aimanté qui réagit aux champs magnétiques. Ce produit permettrait de mieux nettoyer les marées noires.
 
L’équipe de Grenoble est partie de ce savon et travaille la structure moléculaire de celui-ci afin de trouver un moyen de créer un médicament contre le cancer qui serait aimanté.
 
« D’ici deux ans, il sera possible à d’autres scientifiques de procéder à des essais en laboratoire d’un médicament liquide aimanté qui pourrait cibler les cellules cancéreuses et éviter de détruire les cellules saines, comme c’est le cas avec certains traitements actuels », mentionne la chercheuse Isabelle Grillo.
Toutefois, il faudra attendre encore une bonne dizaine d’années avant que le médicament en question fasse son apparition.
 
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Beastie Boys : nouveau matériel d’Adam Yauch

Mike D confirme que l’automne dernier, malgré l’état d’Adam Yauch avec son cancer, les membres des Beastie Boys s’étaient réunis en studio pour faire quelques nouvelles pièces ensemble.

Yauch avait insisté et exprimé son désir de réaliser du nouveau matériel avec ses acolytes, malgré le triste sort qui lui était réservé.

Mike D explique : « Adam y tenait. Ça ne pouvait venir que de lui. La décision lui revenait, là où il en était avec ses traitements pour le cancer ».

Il précise que Yauch n’était pas certain d’être en mesure de chanter et bien faire, mais il a fini par réussir. « C’était sa façon de dire “Oui! Je l’ai fait!” », se remémore Mike D.

Le musicien a confié qu’il se voit continuer de faire de la musique avec Adam « Ad-Rock » Horovitz, mais pas en tant que Beastie Boys.

Il ajoute : « Yauch voudrait vraiment nous voir essayer de réaliser les idées les plus folles que nous pouvions avoir ».

Le dernier album des Beastie Boys, Hot Sauce Committee Part Two, remonte à un peu plus d’un an.

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Une molécule qui accentue les effets des traitements contre les mélanomes

Lors d’essais cliniques à l’Institut Curie, une équipe de chercheurs a découvert que la molécule Dbait, qui joue un rôle dans la réparation de l’ADN, pouvait accentuer les traitements de radiothérapie pour les mélanomes.
 
Cette molécule serait capable de tromper les cellules tumorales. Selon l’Institut Curie, elle leur ferait croire qu’avec la radiothérapie, elles ont été plus endommagées qu’elles ne l’ont été en réalité, ce qui pousse les cellules malades à se « suicider », avant même que les tissus sains ne soient atteints.
 
La molécule Dbait freine donc la capacité de réparation des cellules cancéreuses, ce qui affaiblit les tumeurs, même celles résistantes aux traitements.
 
Les essais cliniques se poursuivent, et certains médecins vont proposer à leurs patients d’opter pour ce traitement, mais de façon très encadrée.