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Les ronfleurs ont cinq fois plus de risque de mourir d’un cancer

Les personnes qui ronflent auraient cinq fois plus de risques de mourir d’un cancer, selon une étude parue dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.
 
1522 personnes ont été suivies pendant 22 ans par des chercheurs. En plus de noter leurs troubles respiratoires durant leur sommeil, comme les ronflements ou l’apnée, on a tenu compte de certains facteurs comme l’indice de masse corporelle, le tabagisme, l’état de santé général, etc.
 
On constate que les personnes qui ont des troubles respiratoires graves durant leur sommeil ont jusqu’à cinq fois plus de risques de mourir d’un cancer que les personnes qui ont des troubles moins importants ou qui n’en ont tout simplement pas.
 
On croit que c’est en raison du fait qu’avec ces troubles, il y a peu d’oxygène dans le sang, ce qui favorise la croissance des tumeurs.
 
Toutefois, si l’on parvient à atténuer les ronflements, les risques de mourir d’un cancer sont également réduits.

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Des infections à l’origine de cancers

Une étude du Centre international de recherche sur le cancer de Lyon démontre qu’un cancer sur six serait causé par une infection d’origine bactérienne ou virale.
 
Ces cancers pourraient donc être évités simplement avec des actions de prévention et des traitements simples et efficaces comme des vaccins.
 
L’étude s’est penchée sur 13 millions de nouveaux cas de cancer dans le monde en 2008.
 
Selon The Lancet Oncology, on évalue maintenant que les infections causeraient deux millions de nouveaux cas de cancer chaque année.
 
Quatre bactéries, virus ou parasites seraient principalement liés à des cancers, comme la bactérie Helicobacter pylori qui causerait le cancer de l’estomac, l’hépatite B et C qui sont liées au cancer du foie, et le papillomavirus qui est associé au cancer du col de l’utérus.
 
De nombreux vaccins et traitements peuvent facilement enrayer ces infections et ainsi éviter bien des problèmes aux patients.
 
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Les troubles respiratoires du sommeil liés au cancer

Les personnes qui souffrent de troubles respiratoires du sommeil, comme les ronflements ou l’apnée, sont plus à risque de mourir d’un cancer.
 
Selon les données présentées lors de la conférence de l’American Thoracic Society, les troubles respiratoires du sommeil étaient déjà liés à des risques cardiovasculaires et des troubles psychopathologiques, mais c’est la première fois qu’on fait un lien avec les risques accrus de décès par cancer.
 
« De récentes études in vitro et sur l’animal ont montré que des épisodes répétés d’hypoxie ou approvisionnement insuffisant en oxygène sont associés à un développement accéléré du cancer. Nos résultats suggèrent que ces troubles respiratoires du sommeil sont également associés à un risque accru de décès par cancer chez l’homme », explique le Pr F. Javier Nieto, président du Département des Sciences de la santé à l’Université du Wisconsin.
 
L’étude a été faite sur 22 ans. Même en tenant compte de différents facteurs de risques, de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle et du tabagisme, le risque de décès par cancer demeure bel et bien présent.

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Google, nouvelle arme contre le cancer

C’est la conclusion que des chercheurs de la Dresden University of Technology d’Allemagne avancent après avoir étudié de plus près la technologie utilisée par la firme de Mountain View, en Californie.

Selon les chercheurs, qui ont publié les résultats de leur recherche dans PLoS Computational Biology, la stratégie utilisée par Google pour trouver les pages internet recherchées par les internautes pourrait aussi être utilisée pour déterminer quelles sont les protéines malades chez un patient atteint d’un cancer.

Lors de leur étude, les scientifiques ont utilisé un algorithme modifié de Google pour valider leur recherche sur 20 000 protéines d’un patient atteint d’un cancer pancréatique.

Grâce à cette technologie, sept protéines malades ont été détectées chez ce patient. Ce faisant, les chercheurs ont pu plus facilement décider quel traitement était le plus approprié.

Les chercheurs croient qu’à l’avenir, ce genre de technologie pourrait être utilisé pour créer de nouveaux biomarqueurs.

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La grosseur du thymus du foetus : un indice de prééclampsie?

Le thymus du fœtus chez les femmes atteintes de prééclampsie serait significativement plus petit que chez les bébés des femmes en bonne santé, révèle une étude menée par des chercheurs australiens de la Sydney Medical School Nepean.
 
Alors que la prééclampsie apparaît habituellement lors des trois derniers mois de la grossesse, il serait dorénavant possible, par un test qui analyse le thymus du fœtus, de prévoir quelles femmes pourraient en souffrir bien avant les premiers symptômes, soit environ à la 20e semaine de grossesse.
 
Mentionnons que ce dépistage permettrait à plus de femmes de poursuivre leur grossesse à terme, car le seul moyen connu de libérer la femme de cette maladie est de déclencher un accouchement prématurément.
 
Le professeur Ralph Nanan, auteur de l’étude, explique dans le Journal of Reproductive Immunology que « le thymus du fœtus est une structure qui se trouve derrière le sternum du bébé et qui est connue comme étant le “berceau” d’un important ensemble de globules blancs ».
 
En plus, du fait qu’il pourrait avoir un impact sur la santé de la mère, « le thymus joue un rôle central dans l’élaboration du système immunitaire de l’enfant et le protège contre le développement des allergies, des maladies auto-immunes et des cancers pour sa vie future », indique le professeur.
 
Dans le but de confirmer ces résultats, l’étude sur 1200 femmes enceintes se poursuit.
 
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Attention aux compléments alimentaires!

On ne le répètera jamais assez, il est faux de croire que tous les produits naturels sont sans danger. Une nouvelle étude de l’Université du Colorado confirme une fois de plus les données.

Selon The Journal of the National Cancer Institute, la prise de suppléments alimentaires en grande quantité et en automédication pourrait être très dangereuse pour la santé.
 
Certains, comme le bêtacarotène, le sélénium et l’acide folique, peuvent favoriser l’apparition de différents types de cancers, surtout si la quantité prise est supérieure de trois fois à l’apport quotidien recommandé.
 
« Ce n’est pas que ces nutriments soient toxiques. Ils sont essentiels et nous en avons besoin, mais en respectant un certain équilibre », déclare le Dr Tim Byers, professeur d’épidémiologie et directeur adjoint de la prévention du Cancer Center de l’UC.
 
« Notre équilibre biologique n’est pas seulement consécutif à l’apport d’un antioxydant ou d’un minéral essentiel, car les effets de ces suppléments ne sont pas limités à ceux indiqués sur la notice. Nous constatons parfois des effets inattendus, dont le risque accru de cancer », ajoute-t-il.
 
Les suppléments à doses élevées devraient être accompagnés d’un suivi médical approprié, car ils se situent entre les médicaments et les aliments.
 
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Moins de mortalité liée au cancer au Canada

Un nouveau rapport des institutions, dont la Société canadienne du cancer, dévoile que le taux de mortalité dû au cancer est en chute au Canada.
 
Entre 1988 et 2007, le taux de mortalité pour tous les cancers confondus a chuté de 21 % pour les hommes et de 9 % pour les femmes. Ainsi, 100 000 vies ont pu être épargnées en 20 ans.
 
Toutefois, le cancer demeure la première cause de décès au pays, surtout le cancer du poumon qui représente le tiers de ce taux. Le tabagisme en demeure le principal facteur.
 
Les cancers du sein, de la prostate et colorectal sont les trois autres cancers les plus meurtriers au pays.
 
Au Québec, on rapporte que le cancer de la peau serait plus fréquent. C’est entre autres pour cette raison qu’on demande de mieux encadrer les salons de bronzage.
 
Malgré tout, on estime qu’il y aura 186 400 nouveaux cas de cancers au Canada cette année, qui feront 75 700 morts.
 
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De nouvelles lignes directrices pour les appareils pédiatriques à rayons X

Les fabricants d’appareils libérant des rayons X devraient être en mesure de prouver que leur équipement est sécuritaire pour les petits. Dans le cas contraire, la FDA exige dorénavant que des autocollants sur les machines l’indiquent. De plus, de nouvelles lignes directrices pour la conception des futurs appareils devront être appliquées, a annoncé l’agence le 9 mai.

Le réglage des équipements à rayons X conçus pour les adultes peut entraîner une dose supérieure de rayonnement aux petits patients et ainsi augmenter les risques de cancer chez ces derniers.

« L’imagerie est très importante et indispensable. Elle sauve des vies, mais elle doit être utilisée judiciairement », a déclaré la Dre Marta Hernanz-Schulman, présidente de la commission de l’American College of Pediatric Radiology Imaging. « Les enfants ne sont pas de petits adultes. »

En effet, il est important de savoir que les enfants sont plus sensibles aux rayons X parce que leurs cellules se divisent davantage au contact des radiations. Les conséquences néfastes des radiations chez les jeunes peuvent prendre plusieurs années avant de se manifester.

Toutefois, les spécialistes rappellent qu’il n’y a aucune raison pour que les gens évitent un examen d’imagerie médicale, car le risque est très faible par rapport aux bénéfices d’un traitement réussi ou d’un diagnostic exact.

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Les facteurs de croissance du lait ne causent pas le cancer

Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) en France, les facteurs de croissance que l’on peut retrouver dans le lait n’ont qu’un très faible impact sur le développement du cancer.
 
Les facteurs de croissance sont des molécules que les humains et certains animaux produisent naturellement. Ils jouent un rôle essentiel dans la croissance des cellules.
 
Dernièrement, plusieurs affirmaient que cela favorisait le développement du cancer chez les consommateurs de produits laitiers.
 
Cependant, les experts se veulent rassurants. Le lait et les produits laitiers subissent de nombreuses transformations, ce qui réduit considérablement les facteurs de croissance.
 
De plus, on mentionne que seule une infime partie arrive à atteindre la circulation sanguine, mais cela ne favorise pas pour autant l’apparition de la maladie.
 
Rassurez-vous, le lait et les produits laitiers demeurent des choix santé.
 
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Les facteurs de croissance du lait ne causent pas le cancer

Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) en France, les facteurs de croissance que l’on peut retrouver dans le lait n’ont qu’un très faible impact sur le développement du cancer.
 
Les facteurs de croissance sont des molécules que les humains et certains animaux produisent naturellement. Ils jouent un rôle essentiel dans la croissance des cellules.
 
Dernièrement, plusieurs affirmaient que cela favorisait le développement du cancer chez les consommateurs de produits laitiers.
 
Cependant, les experts se veulent rassurants. Le lait et les produits laitiers subissent de nombreuses transformations, ce qui réduit considérablement les facteurs de croissance.
 
De plus, on mentionne que seule une infime partie arrive à atteindre la circulation sanguine, mais cela ne favorise pas pour autant l’apparition de la maladie.
 
Rassurez-vous, le lait et les produits laitiers demeurent des choix santé.