Même si la maladie d’un enfant peut causer un important stress au sein d’un couple, les parents restent cependant unis dans l’épreuve, rapporte le site Babycenter.
Une nouvelle étude danoise, qui sera publiée dans le numéro de mai de la revue Pediatrics, montre que le mythe persistant que le cancer a un impact destructeur sur le mariage et la famille n’est pas fondé.
« Ce n’est tout simplement pas vrai », a déclaré Anne Kazak, professeure de pédiatrie à l’Université de Pennsylvanie à Philadelphie.
Les chercheurs ont constaté que d’avoir un enfant atteint de cancer n’a pas d’incidence sur la probabilité qu’un couple se sépare.
Ces conclusions ont d’ailleurs étonné le coauteur de l’étude, le Dr Christoffer Johansen, qui a qualifié les résultats de « bonnes nouvelles ».
Avoir un enfant atteint de cancer ne semble pas être un facteur de risque de divorce. Les familles concentrent leur énergie sur le traitement et le soutien de l’enfant.
C’est ce que démontrent de nouvelles études du Roswell Park Cancer Institute parues dans le journal Breast Cancer Research.
« Nos résultats montrent que ces variations génétiques, qui contribuent au travail de la vitamine D, sont fortement associées au cancer du sein ER-négatif et peuvent contribuer aux plus agressives caractéristiques du cancer du sein chez les femmes afro-américaines », explique l’un des auteurs de la recherche, Song Yao.
Les scientifiques ont découvert que les Afro-Américaines avec le plus haut niveau de vitamine D avaient des variations génétiques spéciales. Ce sont ces variations qui réduiraient de 50 % leurs risques d’avoir le cancer du sein par rapport aux femmes ne les ayant pas.
De plus, les femmes de race noire ont des risques démesurément plus élevés de souffrir d’un cancer du sein ER-négatif que les femmes blanches. Ce type de cancer est particulièrement difficile à traiter puisqu’il a la particularité d’être insensible aux hormones.
Rappelons que dans le passé, des chercheurs avaient découvert que la vitamine D jouait un rôle déterminant dans le contrôle de la croissance des cellules des seins et pouvait même empêcher le cancer du sein de se propager.
Les résultats de l’étude, publiés dans le New England Journal of Medecine, révèlent qu’au cours de la semaine suivant le diagnostic, le risque de suicide est 12 fois plus élevé et celui de faire une crise cardiaque l’est 6 fois plus.
Les cas de cancer du rein au Royaume-Uni ont triplé en 35 ans. La hausse du taux d’obésité dans la population serait responsable de cette croissance du nombre de cancers.
Ces chiffres révèlent aussi qu’après le tabagisme, l’obésité serait l’une des causes principales du cancer du rein.
Environ 19 nouveaux cas de cancer du rein sont diagnostiqués pour 100 000 hommes, et 11 cas pour autant de femmes. En fait, ce type de cancer est maintenant le sixième plus fréquent chez l’homme, et le neuvième chez la femme.
Deux idées sont suggérées dans le rapport pour expliquer ce nombre croissant. D’abord, bien sûr, le taux d’obésité croissant, mais aussi les techniques de dépistage, comme la tomodensitométrie ou l’échographie, qui permettent d’établir de façon plus précoce un diagnostic de cancer du rein.
Rappelons que l’analyse des études publiées entre 1966 et 1998 révèle que le risque de cancer du rein augmente de 7 % pour chaque augmentation d’une unité de l’indice de masse corporelle.
Une nouvelle étude de l’Université de Californie à San Francisco suggère que les femmes qui sont en âge de procréer et qui ont un cancer ne reçoivent pas assez de renseignements sur les différentes méthodes de préservation de la fertilité pendant le traitement d’un cancer.
C’est en interrogeant 1041 femmes âgées de 18 à 40 ans, qui ont reçu un diagnostic de cancer entre 1993 et 2007, que les chercheurs ont découvert que seulement 4 % des femmes avaient pris des mesures pour préserver leur fertilité.
Parmi le groupe, 918 ont reçu des thérapies contre le cancer (chimiothérapie, radiothérapie pelvienne, chirurgie pelvienne ou greffe de moelle osseuse) qui pouvaient nuire à leur fertilité.
Il a été indiqué que 61 % d’entre elles ont reçu des conseils de leur médecin ou d’autres spécialistes sur les risques que pouvait engendrer le traitement du cancer sur leur fertilité.
La bonne nouvelle, c’est que la proportion de patientes qui a pris des mesures pour préserver la fertilité est passée de 1 % en 1993 à 6 à 10 % en 2005-2007, selon l’étude publiée dans la revue Cancer.
Toutefois, il semblerait que les femmes de race blanche, hétérosexuelles et avec un niveau d’éducation collégial ont été plus concernées que les autres par les options de préservation.
Ces chiffres trop bas sont le reflet d’une situation anormale pour les chercheurs, qui concluent que la congélation d’embryons ou d’une portion du tissu ovarien ou encore la présentation d’autres stratégies pour épargner les ovaires durant le cancer devraient être suggérées à toutes les femmes, qui doivent souvent prendre des décisions trop rapidement avant le début ou pendant un traitement.