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Les UV artificiels ne peuvent remédier à une carence en vitamine D

Nous le savons, la principale source de vitamine D est le soleil, car la peau produit cette vitamine avec une exposition aux rayons UV.
 
De nombreuses personnes souffrent d’une carence en vitamine D, surtout en hiver, alors que les heures d’ensoleillement sont plus courtes.
 
Cependant, l’Institut National du Cancer déconseille fortement les rayons UV artificiels pour tenter de remédier à cette carence. Le bronzage en cabine est aussi un important facteur de risque pour le cancer de la peau.
 
Dernièrement, des informations ont circulé voulant que les rayons UV artificiels puissent protéger du cancer du sein, de la prostate et du côlon, mais l’Institut insiste sur le fait qu’ils sont tout aussi nocifs que les rayons UV naturels avec une exposition prolongée.
 
« L’hypothèse selon laquelle le rayonnement UV est un facteur protecteur contre certains cancers (sein, prostate ou côlon) ne repose que sur des études de faible niveau de preuve. L’évolution de la pratique du bronzage est corrélée à une augmentation forte des cancers cutanés et en particulier des mélanomes, dont le nombre de cas a plus que triplé ces trente dernières années, avec près de 80 000 nouveaux cas par an. »
 
« Étant donné que les UV artificiels peuvent occasionner des cancers et que l’apport en vitamine D est possible par voie orale (soit en consommant des aliments enrichis en vitamine D soit en prenant des suppléments de vitamine D), l’utilisation des bancs solaires comme source de vitamine D pour la population générale ne peut, en aucun cas, se justifier », insiste l’Institut.
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Les risques liés à la haute pression

Une nouvelle étude vient de démontrer que les gens souffrant de haute pression ont deux fois plus de chance de développer des tumeurs au cerveau que les personnes qui ne sont pas atteintes de ce symptôme.

Et ce n’est pas tout, ces mêmes personnes auraient quatre fois plus de chance de recevoir un diagnostic de méningiome.

Réalisée par des chercheurs de l’Autriche, de la Norvège et de la Suède, l’étude, qui s’est penchée sur le cas de 580 000 personnes, vient d’être publiée dans le Journal of Hypertension.

Les responsables de cette première étude du genre ne veulent pas tirer de conclusions hâtives, et préviennent qu’il devra y avoir d’autres recherches pour en savoir plus sur les risques de la haute pression quant aux problèmes du cerveau.

Cependant, les scientifiques peuvent maintenant affirmer que la haute pression peut être dommageable pour le cerveau. De même, les liens entre la haute pression et certains types de cancer doivent aussi être approfondis dans le futur.

Il demeure toutefois qu’une alimentation trop riche en sel et de l’embonpoint sont des facteurs qui favorisent la haute pression.

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Les malformations congénitales semblent rares chez les enfants de survivants du cancer

Les survivants d’un cancer infantile peuvent se rassurer. Selon les résultats d’une recherche publiée récemment dans le Journal of Clinical Oncology, il semble que les dommages à l’ADN, causés par la chimiothérapie et les radiations des organes reproducteurs, n’augmentent pas le risque pour leurs enfants d’hériter de ces gènes endommagés.

« Nous avons constaté que les dommages sur l’ADN en raison de radiothérapie et chimiothérapie (…) ne sont pas associés avec le risque de malformations congénitales dans la descendance génétique », a déclaré la chercheuse principale de l’étude, Lisa Signorello, qui a recueilli des données sur plus de 20 000 adultes ayant survécu au cancer et 4700 de leurs enfants.
 
Il existe tout de même des effets secondaires, mais qui sont rares. Les survivants d’un cancer infantile ont notamment un taux plus élevé d’infertilité, un risque accru d’avoir une fausse couche ou un bébé prématuré.
 
Les chercheurs ont également indiqué que 3 % des mères exposées à des rayonnements ou traitées avec une chimiothérapie ont eu un enfant avec une malformation congénitale génétique, comparativement à 3,5 % de celles qui ont survécu à un cancer, mais qui n’ont pas été exposées à ces traitements.
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Percée importante dans le domaine des cellules tumorales

Des chercheurs américains sont parvenus à maintenir en vie des cellules tumorales des poumons, du sein, de la prostate et du côlon pendant deux ans, une première dans le monde médical.
 
L’American Journal of Pathology indique que cette nouvelle percée permettrait aux médecins de continuer à faire leurs tests sur des cellules de patients particuliers et de mieux personnaliser les traitements.
 
Jusqu’à présent, après le diagnostic, on effectuait le suivi à l’aide de morceaux de tissus prélevés chez les malades puis réfrigérés, en plus de tenter de ne pas les altérer.
 
« Ce serait vraiment le nec plus ultra de la médecine personnalisée. Nous sommes vraiment enthousiastes quant aux possibilités de tests qui s’offrent ainsi à nous », explique le professeur Richard Schlegel.
 
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Leucémie : pourquoi certains enfants développent-ils des troubles cardiaques après leur traitement?

Est-ce qu’un médicament utilisé pour traiter la leucémie infantile aiguë lymphoblastique et d’autres cancers pédiatriques peut causer des problèmes cardiaques tard dans la vie? Le professeur Javier G. Blanco et ses collègues de l’Association des sciences pharmaceutiques de l’Université de Buffalo se sont penchés sur la question.

L’étude, qui est récemment parue dans le Journal of Clinical Oncology, tente de démystifier pourquoi certains survivants du cancer infantile ont développé des troubles cardiaques à la suite de la prise de médicaments comme des anthracyclines (antibiotiques puissants comme l’adriamycine et la daunomycine).

Le professeur Blanco explique que la ligne est très mince entre l’efficacité de ces médicaments et leur toxicité. Le dosage doit être précis pour obtenir un effet thérapeutique sans toxicité.

Les anthracyclines sont des médicaments efficaces pour traiter une variété de cancers pédiatriques. Ils sont également utilisés pour traiter le cancer du sein et d’autres tumeurs malignes chez les adultes.

Après le cancer, les survivants peuvent développer un problème cardiaque jusqu’à 15 ans après le traitement de chimiothérapie.

Les chercheurs ont voulu savoir comment le médicament était décomposé par les enzymes codés par des gènes spécifiques. Ils ont comparé l’ADN de 170 survivants du cancer infantile qui étaient atteints de cardiomyopathie et de 317 survivants qui n’avaient aucune maladie cardiaque.

C’est donc la différence génétique, ou polymorphisme, qui permet à une enzyme de travailler plus vite ou plus lentement chez les patients.

Les enzymes décomposent les anthracyclines en métabolites d’alcool cardiotoxiques. Un enzyme qui travaille plus lentement serait donc mieux pour la santé, selon les chercheurs.

Malgré ces résultats, les spécialistes conseillent grandement aux parents qui ont des enfants qui sont touchés par la leucémie de poursuivre le traitement, car dans 90 % des cas, sans médicaments, l’enfant meurt.

Un suivi pour détecter les problèmes cardiaques en vieillissant est par contre fortement recommandé.

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L’aspartame lié à la fibromyalgie?

L’aspartame a souvent été pointé du doigt. Des études ont démontré que cet édulcorant artificiel serait lié à l’apparition de certains cancers et même à des accouchements prématurés.
 
Cette fois, le Clinical and Experimental Rheumatology mentionne que cela pourrait aussi être lié à la fibromyalgie.
 
Cette pathologie se caractérise par des douleurs et une faiblesse musculaires.
 
Certains cas rapportés mentionnaient des gens qui souffraient de fibromyalgie depuis des années, dont les symptômes avaient disparu lorsqu’ils avaient cessé de consommer de l’aspartame en partant en vacances. Lorsqu’ils sont revenus et ont recommencé à prendre de l’aspartame, les symptômes ont réapparu.
 
Bien que les cas rapportés puissent s’expliquer par d’autres facteurs qui auraient réduit la douleur, comme une exposition au soleil, le lien possible est tout de même sujet à des recherches plus approfondies.
 
Pour le moment, rien n’a prouvé également que l’aspartame était un meilleur choix pour la santé. La Stévia semble être une meilleure option. Cette plante gagne du terrain dans les édulcorants, et son pouvoir sucrant est fort appréciable.
 
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L’aspartame lié à la fibromyalgie?

L’aspartame a souvent été pointé du doigt. Des études ont démontré que cet édulcorant artificiel serait lié à l’apparition de certains cancers et même à des accouchements prématurés.
 
Cette fois, le Clinical and Experimental Rheumatology mentionne que cela pourrait aussi être lié à la fibromyalgie.
 
Cette pathologie se caractérise par des douleurs et une faiblesse musculaires.
 
Certains cas rapportés mentionnaient des gens qui souffraient de fibromyalgie depuis des années, dont les symptômes avaient disparu lorsqu’ils avaient cessé de consommer de l’aspartame en partant en vacances. Lorsqu’ils sont revenus et ont recommencé à prendre de l’aspartame, les symptômes ont réapparu.
 
Bien que les cas rapportés puissent s’expliquer par d’autres facteurs qui auraient réduit la douleur, comme une exposition au soleil, le lien possible est tout de même sujet à des recherches plus approfondies.
 
Pour le moment, rien n’a prouvé également que l’aspartame était un meilleur choix pour la santé. La Stévia semble être une meilleure option. Cette plante gagne du terrain dans les édulcorants, et son pouvoir sucrant est fort appréciable.
 
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Les suppléments alimentaires à base de plantes pourraient être dangereux

Bien souvent, on croit que les produits dits naturels ne sont pas dangereux pour la santé. Pourtant, ce n’est pas toujours le cas.
 
La revue Food and Nutrition Sciences mentionne que certains suppléments alimentaires à base de plantes contiennent un composé nommé alkylbenzène. Celui-ci, à doses élevées, a causé des cancers du foie chez les animaux de laboratoire.
 
Bien que la plupart des suppléments n’en contiennent qu’une faible dose non préoccupante pour la santé, certains produits présentaient un niveau aussi élevé que celui qui a causé le cancer chez les animaux.
 
Les chercheurs ont étudié 30 composés botaniques potentiellement dangereux, en raison du fait qu’ils peuvent endommager le matériel génétique ou être cancérigènes.
 
Plus de recherches sont maintenant nécessaires pour tirer des conclusions définitives en ce qui concerne la santé humaine.
 
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Avancées dans la recherche sur la leucémie

On annonce une avancée importante dans la recherche sur le cancer et la leucémie, mais aussi sur une rare maladie infantile. Des chercheurs qui étudiaient les mutations génétiques pouvant causer la leucémie ont découvert un lien menant au chérubisme, annoncent-ils dans CELL.

Cette maladie infantile rare est héréditaire. Elle fait partie des maladies osseuses. L’enzyme Tankyrase jouerait un rôle majeur dans le développement de la protéine qui dirige deux gènes connus du cancer.

L’enzyme en question pourrait ainsi avoir une influence quant à deux types de cancer du sang, la leucémie myéloïde chronique et la leucémie myéloïde aiguë. On pourrait expliquer de quelle manière l’enzyme modifie la protéine 3BP2.

En somme, l’enzyme Tankyrase constitue une cible potentielle quant à la création de traitement contre les maladies humaines. Et l’on envisage de nouvelles approches thérapeutiques contre le chérubisme, en utilisant des inhibiteurs déjà disponibles sur le plan clinique.

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La chimiothérapie bénéfique après une opération pour un cancer de l’estomac

Les personnes qui ont un cancer de l’estomac opérable et qui reçoivent de la chimiothérapie après leur chirurgie voient leurs risques de mortalité être réduits de 18 %, comparativement à la chirurgie seule.
 
De plus, le taux de survie de cinq ans passe de 49,6 à 55,3 % en comparaison à l’opération sans chimiothérapie.
 
Les chercheurs recommandent donc que la chimiothérapie soit utilisée en référence dans les essais cliniques, rapporte la revue JAMA, d’après l’étude menée à l’Institut National du Cancer (INCa).
 
Ces résultats ont été obtenus après avoir analysé les données de 3700 personnes avec un cancer opérable, incluses dans 20 essais cliniques.
 
En comparant les données de la chimiothérapie postopératoire et la chirurgie seule, on constate que les chances de survie sans récidive sont réellement accrues.