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Des shampoings pour bébés cancérigènes

Une coalition de groupes environnementaux et de la santé (représentant 3,5 millions de personnes) appelle au boycottage de produits pour bébés Johnson & Johnson, lit-on sur Mail Online. Des shampoings pour bébés de l’entreprise comprendraient encore des substances chimiques potentiellement dangereuses.

Ces produits pour bébés sont encore en vente dans de nombreux pays, notamment en Australie, au Canada et aux États-Unis.

Les substances chimiques potentiellement cancérigènes sont la dioxine et le quaternimun-15. Celui-ci libère du formaldéhyde, qui a été reconnu comme cancérigène chez l’humain en juin dernier. Il s’agit aussi d’un irritant pour la peau, les voies respiratoires et les yeux.

Johnson & Johnson, pour sa part, a répondu par voie de communiqué que les préservatifs dégageant du formaldéhyde sont sans danger et qu’ils sont approuvés par les instances américaines et celles d’autres pays. L’entreprise ajoute toutefois qu’elle les retire progressivement de ses produits pour bébés.

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Les buveurs à risque plus enclins à développer le cancer

Depuis longtemps, l’alcool est associé à des problèmes de santé. Et nul besoin d’être alcoolique pour subir les effets néfastes de la boisson.
 
Bien qu’une consommation modérée peut être bienfaitrice pour la santé, il vous suffit de dépasser, même légèrement, la limite recommandée pour voir apparaître les problèmes.
 
En fait, les buveurs à risque (qui dépassent la limite sans nécessairement en subir les effets physiques) sont plus susceptibles de développer le cancer.
 
Cette menace est surtout présente chez les hommes, rapporte le Telegraph. 26 % disent boire plus de deux chopines de bières au moins cinq soirs par semaine. Chez les femmes, elles sont 18 % à dépasser la limite.
 
De plus, la nouvelle étude dévoile qu’au lieu de freiner leur comportement en vieillissant, les buveurs à risque consomment davantage, rendant le problème plus grand.
 
Les buveurs à risque sont surtout des professionnels avec des revenus de ménage élevés.
Les couples mariés sont mois enclins à dépasser la limite que les célibataires, les gens séparés ou ceux qui vivent en concubinage.
 
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L’aspirine peut réduire les risques de cancer

Des chercheurs britanniques ont découvert que l’aspirine pouvait réduire considérablement les risques de cancer chez les personnes avec des antécédents familiaux.
 
Selon The Lancet, c’est la première fois que l’on note une action préventive contre ce type de maladie, alors que l’aspirine est couramment utilisée à faible dose pour prévenir les risques de maladies cardiaques.
 
Initialement, les chercheurs n’avaient noté aucune différence sur l’incidence des cancers, mais en poursuivant la recherche pendant cinq ans, ils ont découvert que les effets bénéfiques se faisaient plutôt voir à long terme.
 
On a noté une chute des risques de cancers allant jusqu’à 63 %. Les recherches doivent toutefois se poursuivre pour connaître les doses exactes qui devaient être prises quotidiennement pour prévenir le cancer, mais aussi pour savoir si les effets seraient aussi notables chez les personnes n’ayant aucun antécédent familial.
 
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Leucémie : les gènes en cause

On lit dans Blood les résultats d’une étude menée par l’Université de Montréal (Hôpital Sainte-Justine) quant à la résistance au traitement de la leucémie. On commencerait à comprendre pourquoi certains enfants ne répondent pas au traitement de leur cancer.

Les jeunes malades présentant une forme particulière du gène ATF5 auraient de plus grands risques de vivre une rechute à la suite d’un traitement à l’E. coli asparaginase. Ce médicament de chimiothérapie représente la solution clé contre la leucémie lymphoblastique aigüe.

Il est utilisé en combinaison avec d’autres médicaments et a pour rôle de régulariser l’enzyme qui produit l’asparagine, laquelle alimente les cellules cancéreuses.

Chez les enfants présentant le polymorphisme cité, l’effet en viendrait même à devenir contraire, soit de déclencher la production d’asparagine au sein des cellules cancéreuses.

On ouvre donc la voie à un nouveau traitement basé sur le profil génétique du jeune patient. De plus, on pourra prédire les risques de rechute ou d’effets secondaires chez les enfants visés.

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Les « super-aliments » causent de faux espoirs

Une personne sur dix croit que les super-aliments peuvent prévenir le cancer, malgré l’absence de preuves médicales concluantes.
 
Le Daily Mail mentionne que dans les dernières années, nous avons assisté à une explosion d’aliments qui sont rebaptisés super-aliments en raison de certains bienfaits spécifiques pour la santé.
 
Toutefois, le terme « super » est galvaudé et ne fait que créer de faux espoirs chez les consommateurs, rappellent les experts.
 
Le terme est plutôt trompeur, car, par exemple, les amandes ou le jus de grenade sont excellents pour la santé, mais dans le cadre d’un régime alimentaire équilibré. Si vous ne vous alimentez pas bien et consommez ces aliments dans l’espoir d’éloigner la maladie, leurs bénéfices ne seront pas présents.
 
Il n’y a pas d’aliments miracles. De plus, on ajoute que les recherches, comme celles sur les baies d’açai et le riz noir, sont souvent incomplètes et peu concluantes scientifiquement.
 
Donc, attention lorsque vous voyez le terme « super-aliment ». Ces produits sont effectivement bénéfiques pour la santé, mais ne sont pas miraculeux.
 
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40 % des cancers sont causés par des virus

Des chercheurs ont découvert que 40 % des cancers seraient causés par des virus, ce qui ouvre la voie à la possibilité de créer des vaccins anticancers.
 
Ces résultats ont surpris les scientifiques, qui s’attendaient à ce que seulement 10 ou 20 % des cancers soient causés par des virus, mais c’est plutôt le double qui l’est.
 
Si les prochains tests le prouvent, il sera donc possible de créer des vaccins contre plusieurs types de cancers et d’offrir de nouveaux traitements pour en guérir également.
 
Toutefois, les chercheurs doivent comprendre le processus qui entraîne le développement de la maladie.
 
À l’Institut Karolinska en Suède, une équipe a établi un lien viral avec un médulloblastome, la forme la plus courante de tumeur cérébrale chez les enfants.
 
Parmi les virus les plus connus qui peuvent causer le cancer, il y a les hépatites B et C qui peuvent favoriser le développement du cancer du foie et le virus du papillome humain (VPH) qui est à l’origine du cancer du col de l’utérus.
 
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Les femmes actives sont ménopausées plus tôt

Une étude japonaise dévoilée dans la revue Menopause mentionne que les femmes qui font beaucoup d’exercices et qui suivent un régime bon pour le cœur sont généralement ménopausées plus tôt.
 
Après avoir suivi 3100 femmes pendant dix ans, les chercheurs ont constaté que celles qui faisaient de huit à dix heures d’exercices par semaine étaient 17 % plus susceptibles d’avoir leur ménopause plus tôt que leurs congénères sédentaires.
 
De plus, celles qui consommaient des graisses polyinsaturées, que l’on retrouve dans les poissons et les huiles végétales, étaient 15 % plus à risque de vivre la même chose.
 
Durant la ménopause, les ovaires des femmes cessent de produire des ovules, et l’exposition à l’œstrogène est nettement réduite. L’œstrogène a tendance à favoriser l’apparition du cancer du sein, donc une ménopause précoce est liée à un risque moindre de cancer du sein pour la femme.
 
Cependant, une ménopause à un jeune âge est également liée à un risque accru de maladies cardiaques et d’ostéoporose. Les spécialistes affirment tout de même que les avantages l’emportent sur les inconvénients.
 
Généralement, la ménopause débute entre 41 et 55 ans.

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Les lits de bronzage, aussi dangereux que la cigarette

La préoccupation actuelle des chercheurs se situe au niveau du comparatif des rayons UVA et UVB. En effet, selon le Dailymail, il semblerait que les scientifiques aient accordé trop peu d’attention aux rayons UVA, dont le risque de cancer est désormais associé au même niveau que le tabagisme.

En effet, les rayons UVA sont la cause principale du vieillissement prématuré de la peau. Quant aux rayons UVB, ils ont toujours été pointés comme étant les premiers responsables du développement de mélanomes malins, principal indicatif du cancer de la peau.

Or, on apprend que les rayons UVA pénètrent beaucoup plus profondément dans l’épiderme et créent des dommages permanents, sans même laisser de trace visible sur la peau. Ce sont les rayons UVB qui sont le résultat de nos coups de soleil, mais ceux-ci n’affectent que les cellules superficielles, qui se régénèrent environ aux 4 semaines.

Le chercheur Antony Young, du King’s College à Londres, affirme que les UVA pénètrent la vitre, ce qui les rend dangereux même pour les gens qui se promènent sur la route. « Et dire que les salons de bronzage affirment que ces rayons ultraviolets sont sécuritaires. C’est insensé! »

À noter, les lits de bronzage émettraient environ 15 fois la quantité de rayons UVA émis par le soleil. Assurez-vous donc de les éviter et d’appliquer une crème solaire FPS15, au minimum, dès que vous êtes exposé au soleil.

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Un médicament de grossesse causerait le cancer

De nouveaux résultats parus dans le New England Journal of Medicine sèment encore une fois l’inquiétude quant à un ancien médicament prescrit durant la grossesse. Durant les années 70, le distilbène (DES) a été prescrit à des femmes enceintes pour prévenir les fausses-couches.

Or, à la suite d’une étude menée auprès de 6500 femmes, dont 4600 ont été exposées à ce médicament avant leur naissance, on constate en effet un plus haut risque de cancer chez celles dont la mère en avait pris.

Ces dernières se retrouveraient plus enclines à souffrir de certaines maladies graves (12 ont été identifiées) ainsi que d’autres problèmes de santé. Elles seraient aussi 40 fois plus à risque de souffrir d’adénocarcinome à cellules claires, une forme rare de cancer vaginal, et ce, jusqu’à l’âge de 40 ans.

Par la suite, passé cet âge, les femmes du distilbène auraient 80 % plus de risques de souffrir d’un cancer du sein, en comparaison à celles non exposées durant la vie intra-utérine.

De plus, ces femmes souffriraient deux fois plus souvent de problèmes d’infertilité, et elles accoucheraient prématurément dans une mesure cinq fois plus importante.

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Un superbrocoli voit le jour

Des scientifiques britanniques du Centre John Innes et de l’Institut pour la recherche en alimentation (IRF) ont conçu un « superbrocoli » dont les bienfaits seraient démultipliés.

Ce nouveau brocoli, baptisé Beneforte, fait le plein de glucoraphanine, une molécule qui se transforme au contact de la flore intestinale, et de sulforaphane, un autre composé actif qui contribue à réduire les inflammations chroniques et à combattre le développement de certains cancers.

Selon les chercheurs, des croisements génétiques ont permis d’augmenter de deux à quatre fois ces composantes par rapport aux brocolis normaux.

Consommé plusieurs fois par semaine cru, légèrement cuit à l’eau ou braisé à la poêle, le Beneforte permettrait de réduire les risques de maladies cardiovasculaires ainsi que de cancer colorectal, de l’estomac, du poumon ou encore de la prostate.