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Les risques du cancer du côlon se multiplient

En une trentaine d’années, les cas de cancer du côlon ont explosé. Selon des statistiques présentées dans le British Journal of Cancer, les risques de développer un tel cancer, pour un homme, ont doublé en une seule génération.

Si, en 1975, 1 homme sur 29 risquait d’en souffrir, il s’agit aujourd’hui de 1 sur 15. Une augmentation a aussi été remarquée chez la femme, quoiqu’elle soit moins radicale : on parlait de 1 cas sur 29 et on passe maintenant à 1 sur 19.

Les raisons en seraient l’épidémie d’obésité, la plus forte consommation d’alcool ainsi que la baisse de l’activité physique. De plus, nous vivons plus vieux : le cancer du côlon tend à être une maladie liée à la vieillesse.

D’un autre côté, les gens survivent de plus en plus au cancer du côlon. Les diagnostics se font de plus en plus tôt et les traitements augmentent en efficacité.

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Le cellulaire serait finalement sans danger

La multiplication des téléphones cellulaires de cette décennie a fait naître des craintes quant au développement d’une tumeur cérébrale, en particulier chez les plus jeunes. On croyait de plus en plus qu’une grande utilisation d’un cellulaire augmentait ce risque.

La raison en est que le système nerveux des enfants est en développement et que leur circonférence crânienne est plus petite. Les plus jeunes seraient donc moins bien protégés des champs électromagnétiques.

Or, aucune étude n’avait jusqu’à présent réellement examiné le possible lien entre le téléphone cellulaire et l’apparition d’une tumeur au cerveau.

C’est maintenant chose faite, comme nous pouvons le lire dans la présente édition du Journal of The National Cancer Institute.

Des chercheurs du Swiss Tropical and Public Health Institute ont démontré que les enfants et adolescents qui utilisent un téléphone cellulaire ne sont pas plus à risque que les autres de souffrir d’un cancer du cerveau.

S’étant étalée de 2004 à 2008, cette étude a porté sur des sujets âgés de 7 à 19 ans. Les données médicales de 352 patients atteints d’un cancer du cerveau ont été comparées à celles de 646 sujets témoins.

Aucune association valable entre le cellulaire et la tumeur cérébrale n’a pu être établie.

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Les grandes femmes développent plus de cancer

Une étude effectuée par une équipe de l’Université d’Oxford dévoile que les grandes femmes ont plus de chances de contracter un cancer, sans doute parce que leur niveau de certaines hormones, connues pour déclencher les tumeurs, est plus élevé.
 
Ce lien a été établi après avoir examiné les dossiers médicaux d’un million de femmes britanniques. L’association entre la taille et le cancer a été établie pour une dizaine de formes de cancers courants, dont ceux du sein, du côlon, du rein, de l’utérus, des ovaires et la leucémie.
 
On a constaté que les femmes mesurant 5 pieds et 9 pouces avaient 33 % plus de chances de développer un cancer que celles mesurant 5 pieds.
 
Cela expliquerait aussi le nombre croissant de cancers dans les dernières décennies, car la taille moyenne des gens a également augmenté.
 
De plus, les filles commencent leur puberté plus tôt, donc leur corps commence plus vite à produire de l’œstrogène, une hormone connue pour favoriser la croissance des tumeurs.
 
Les experts croient également qu’une grande personne a plus de cellules dans son corps et, par conséquent, a donc plus de risques qu’elles deviennent cancéreuses, rapporte le Daily Mail.

L’étude a été réalisée auprès de femmes seulement, donc on ignore si le même phénomène arrive chez les hommes également.

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Aucun niveau d’alcool n’est sécuritaire contre le cancer

Des chercheurs français affirment qu’il n’existe aucun niveau d’alcool pour lequel le risque de cancer est nul.
 
Selon le Canadian Medical Association Journal, l’alcool est cancérigène pour les animaux et les humains, et ce, peu importe la quantité consommée.
 
Mauvaise nouvelle donc pour ceux qui aiment prendre un petit verre quotidiennement.
 
Nous savions déjà que l’alcool est lié aux cancers de la bouche, de la gorge, de l’œsophage, du foie, au cancer colorectal et du sein.
 
Les chercheurs mentionnent qu’il serait maintenant bon de revoir les recommandations sur la consommation d’alcool, mais surtout de mieux informer les consommateurs des risques encourus avec les boissons alcoolisées.
 
Dans la majorité des pays, on préconise une consommation modérée pour la sécurité et la santé. Même que depuis longtemps, un verre de vin rouge quotidien est reconnu pour avoir des effets bénéfiques sur la santé cardiaque. Toutefois, cela pourrait avoir une incidence sur le développement du cancer.

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Le taux de mortalité par cancer est plus élevé pour les hommes

Une nouvelle étude épidémiologique rapporte que le taux de mortalité par cancer est plus élevé chez la gent masculine.
 
« Les hommes ont un risque plus grand de mourir d’un cancer que les femmes dans une majorité de types de tumeurs cancéreuses », explique l’auteur principal de l’étude, Dr Michael Cook, au Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention.
 
Toutefois, on ignore pourquoi les hommes meurent plus des suites du cancer que les femmes. « Si nous pouvons identifier le principal facteur responsable de cette différence dans la mortalité par cancer entre les hommes et les femmes, nous pourrons alors prendre des mesures préventives permettant de réduire l’impact de cette maladie sur les deux sexes », ajoute le chercheur.
 
Ainsi, après avoir analysé le taux de survie de cinq ans des deux sexes, en tenant compte également de l’âge et de 36 types de cancer, la plus grande différence se note chez le cancer de la lèvre qui tue 5,51 hommes contre une seule femme.
 
Ensuite, 5,37 hommes vont mourir des suites du cancer du larynx contre une femme, le cancer de l’hypopharynx fait 4,47 victimes masculines contre 1 féminine. Pour le cancer de l’œsophage, le taux de mortalité est de 4,08 hommes contre une femme et pour la vessie, il est 3,36 hommes pour une femme.
 
Même pour les cancers plus graves, comme celui des poumons et des bronches, 2,31 hommes en meurent contre une femme.
 
Le cancer colorectal fait 1,42 victime chez les hommes contre une chez les femmes, pour le pancréas, c’est 1,37 contre un, alors que 1,75 homme meurt d’une leucémie contre une femme. Finalement, le cancer du foie tue 2,23 hommes pour une femme.
 
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La papaye pour prévenir le cancer

La papaye ferait aussi partie des super fruits qui aident à prévenir le cancer. Selon le Journal of Ethnopharmacology, la papaye contient du lycopène, un nutriment reconnu pour sa grande efficacité dans la prévention du cancer et dans la lutte contre la propagation des cellules cancéreuses.
 
Selon la nouvelle étude, le lycopène stimule les défenses du corps pour combattre la maladie, tout en évitant les dommages à l’ADN, aux cellules saines et aux lipides qui inhibent la propagation du cancer.
 
La papaye serait particulièrement reconnue contre le cancer cervical, du sein, du foie, des poumons et du pancréas. Elle augmenterait la production d’une substance chimique qui régule le système immunitaire également.

De plus, il s’agit d’un fruit riche en vitamine C, en acide folique et en potassium.

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Le mariage réduit les risques de cancer

On ignore exactement pourquoi, mais le mariage réduirait les risques de cancer, selon ce que révèle une étude parue dans le Cancer Epidemiology.
 
Des patients atteints du cancer du côlon ont participé à la recherche et 14 % des personnes qui étaient mariées ont réduit leur risque de mortalité des suites de la maladie.
 
On croit que les personnes mariées seraient plus motivées à récupérer, mais elles recevraient aussi souvent des traitements plus précoces. Un conjoint peut s’avérer être un infirmier informel, mais surtout être d’un grand soutien pendant les traitements de la maladie.
 
« La clé lorsqu’un cancer est détecté est de contrôler la progression de la maladie. Avoir un partenaire aide les patients à prendre des décisions plus rapidement, de sorte que la maladie est traitée plus vite », explique l’auteur de l’étude, Sven Wilson.

La recherche n’a pas examiné si les personnes mariées étaient en meilleure santé que les célibataires, mais dans les cas de cancer, le mariage aide à combattre la maladie.

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La framboise noire pour prévenir le cancer

La framboise noire britannique, une nouvelle variété nommée Mac Black, est maintenant considérée comme un superaliment qui aiderait à prévenir le cancer.
 
Selon le DailyMail, cette variété a un goût plus intense que sa cousine rouge et contient des niveaux élevés de composés qui luttent contre la maladie. Ce petit fruit est maintenant surnommé le « roi des baies ».
 
Elle est notamment riche en acide éllagique, en anthocyanes et en antioxydants. Ces derniers détruisent les radicaux libres, ces molécules néfastes qui endommagent les cellules de l’organisme.
 
Selon les résultats d’une étude effectuée à l’Université d’État d’Ohio, on a remarqué que les rats nourris avec des framboises noires avaient une diminution de leur tumeur au côlon et que les souris avaient également une réduction de leur tumeur œsophagienne.

Déjà, des études précédentes avaient déclaré que la framboise rouge traditionnelle pouvait ralentir la croissance du cancer du sein, du col de l’utérus, du côlon et de l’œsophage.

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La vie future des jeunes cancéreux

Une étude parue dans le Journal of Clinical Oncology présente un constat inquiétant pour les jeunes survivants du cancer. Menée par le St. Jude Children’s Research Hospital, elle suggère que ces enfants développeront d’autres tumeurs plus tard dans leur vie.

Sur 14 358 sujets ayant eu le cancer à un jeune âge, on a reporté 1 382 nouveaux cas de cancer quelques années plus tard, ce qui revient à 9,6 %. De plus, pour 30 % de ces survivants, 386 auront développé une troisième tumeur.

Dans le cadre de cette étude en particulier, les sujets avaient survécu au moins 23 ans après leur diagnostic de cancer durant l’enfance.

Les chiffres ne sont pas plus encourageants au fil des ans : chez 153 sujets, au moins 4 tumeurs seront apparues. Cette recherche fait donc la lumière non seulement pour les cas de cancer subséquent à l’enfance, mais aussi à la plus grande exposition de ces personnes à diverses formes de la maladie.

On déplore, parallèlement, le manque de suivi hâtif pour les survivants. Par exemple, le test pour le cancer du sein devrait être fait dès l’âge de 25 ans pour les survivants d’un cancer infantile, non pas à 40 ans comme chez les autres femmes.

Mentionnons finalement qu’à l’heure actuelle, aux États-Unis seulement, 360 000 enfants survivent du cancer. Le taux de rémission est de 80 % et l’on prévoit qu’il sera croissant.

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La gomme à mâcher pour mieux se remettre d’une chirurgie?

Des médecins de Londres demandent à leurs patients atteints d’un cancer du côlon qui doivent se faire opérer d’apporter de la gomme à mâcher sans sucre après la chirurgie.
 
Trois fois par jour, pendant une heure, on leur recommande de mâcher de la gomme.
 
Jusqu’à présent, on observe que les patients qui mâchent de la gomme se sentent assez bien pour rentrer à la maison après seulement deux jours, comparativement au groupe sans gomme qui doit rester hospitalisé plus longtemps.
 
Ceci permet un retour à la normale du système digestif. Mâcher de la gomme stimule la salive qui, elle, enclenche la production d’enzymes dans le pancréas. Cela stimule ensuite une activité gastro-intestinale, explique le Telegraph.
 
On a constaté que les nouvelles mères qui mâchent de la gomme peuvent mieux se remettre également d’une césarienne. Même effet aussi pour les personnes qui ont subi une chirurgie à l’estomac. Mâcher de la gomme aide à soulager les crampes douloureuses.

Bien entendu, l’étude se poursuit, car il est encore beaucoup trop tôt pour prescrire cette méthode à grande échelle, mais les résultats sont prometteurs.