Catégories
Uncategorized

Un traumatisme durant l’enfance raccourcit la vie

Selon Biological Psychiatry, une étude américaine aurait démontré que les traumatismes que peut vivre un enfant auraient des répercussions sur sa santé, plus tard dans sa vie.

La raison en est que les télomères, des complexes de protéines se trouvant dans l’ADN, seraient affectés par les traumatismes. En conséquence, ils seraient beaucoup moins longs que ceux des autres personnes.
 
Ainsi, un enfant vivant avec un stress post-traumatique en grandissant aurait plus de risques d’avoir le cancer, des maladies cardio-vasculaires, des maladies dégénératives ou de connaître une mort prématurée, entre autres.
 
Parmi les traumatismes relevés dans le cadre de cette recherche, on retient la violence familiale, les sévices sexuels et la négligence.

On a par ailleurs remarqué que les personnes qui avaient vécu plus d’un type d’événement traumatisant durant l’enfance avaient les plus courts télomères.

Catégories
Uncategorized

Le pronostic de survie à un cancer s’améliore avec le temps

Plus une personne survit à un cancer longtemps, plus son pronostic de survie augmente avec le temps.
 
C’est ce que révèle un rapport plutôt encourageant de Statistique Canada. Pour presque tous les cancers, on note une nette amélioration avec le temps.
 
Ainsi, pour le cancer du pancréas, même si le pronostic est de 6 % au moment du diagnostic, il grimpe à 28 % si une personne est encore vivante après un an et va jusqu’à 88 % après une survie de cinq ans.
 
Pour le cancer de l’œsophage, le pronostic au départ est de 13 %, mais après cinq ans, il est de 83 %.
 
Les personnes qui survivent à un cancer du côlon avaient un pronostic de survie initial de 63 %, mais après cinq ans, il grimpe à 97 %.
 
Plus le temps avance après l’annonce de la maladie et plus des chances de survie s’améliorent. La seule exception est pour la leucémie lymphoïde chronique, pour laquelle on note que le pronostic demeure stable à moins de 80 %.
Catégories
Uncategorized

L’aspartame augmente les risques de cancer et d’accouchement prématuré

Depuis le début de 2011, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) en Europe garde l’œil ouvert sur les effets néfastes de l’aspartame et les mesures à entreprendre pour diminuer sa consommation par les futures mamans. Une fois de plus, Magic maman nous met au parfum des derniers développements.

En janvier, on apprenait, à la suite des résultats de deux études menées sur les effets néfastes de l’aspartame, que la consommation de cet édulcorant artificiel favorisait la naissance prématurée des enfants et les risques de cancer.

Par la suite, en février dernier, une nouvelle étude renchérissait les conséquences négatives de l’aspartame en affirmant que la consommation régulière pouvait mener à des risques d’accident cardiovasculaire.

L’aspartame est l’édulcorant le plus utilisé mondialement (plus de 6000 produits). Il se retrouve entre autres dans les produits dits « légers », tels que les sodas et les yogourts. Ainsi, en Europe prochainement, la mention « Peut ne pas convenir aux femmes enceintes » devrait se retrouver sur tous les produits concernés.

Quant à savoir si cette étiquette sera apposée sur l’ensemble des produits mondialement, il en revient aux agences de santé d’y voir et d’encourager cette nouvelle norme, pour la santé des futures mamans et de leur progéniture.

Catégories
Uncategorized

Nouvel essai clinique pour un vaccin contre le cancer du pancréas

Au Royaume-Uni, plus de 1 000 personnes de 53 hôpitaux répartis dans le pays participent à un nouvel essai clinique TeloVac. Il s’agit de tester un nouveau vaccin contre le cancer du pancréas.
 
Les chercheurs fondent beaucoup d’espoirs dans ce traitement. Celui-ci consiste à stimuler le système immunitaire des patients en leur injectant de la télomérase, une protéine surproduite que l’on retrouve à la surface des cellules cancéreuses.
 
Ce vaccin ne permettrait pas de guérir la maladie, mais il pourrait prolonger la vie de la personne atteinte. Le cancer du pancréas est l’un des cancers avec le plus bas taux de survie.
 
Parmi les facteurs de risques favorisant le développement de ce type de cancer, on retrouve le tabagisme, le diabète, l’obésité et une prédisposition génétique.
 
On estime qu’au Canada, il y a eu 4 000 nouveaux cas de cancer du pancréas en 2010.
Catégories
Uncategorized

Pollution et enfants : un nouveau cri d’alarme

Un colloque français réunissant 300 professionnels de la santé remet encore une fois la question de la pollution environnementale à l’avant-plan, comme nous pouvons le lire dans 20 Minutes.

Ces derniers jours, on a appris que la pollution pouvait mener à des problèmes de comportement chez les enfants s’ils y avaient été exposés avant leur naissance.
 
Selon les chercheurs du 3e colloque de l’Appel de Paris, dont il est question ici, la pollution environnementale pourrait avoir d’autres impacts sur la santé des enfants. Elle causerait non seulement le cancer et aggraverait les allergies, mais pourrait aussi engendrer le diabète et l’obésité.

En plus de demander une réduction de la pollution dans de très courts délais, les experts exigent aussi que l’on interdise l’utilisation du bisphénol A dans l’emballage alimentaire. Selon eux, il faut réduire les conséquences de la pollution et des substances chimiques le plus vite possible.

Catégories
Uncategorized

Trop d’obstacles pour les Canadiens atteints de cancer

Un rapport accablant de la Coalition Action Cancer du Canada mentionne que les Canadiens qui sont atteints du cancer font face à beaucoup trop d’obstacles et de barrières inutiles qui freinent l’accès rapide aux traitements.
 
Comme si combattre la maladie n’était pas suffisant, les patients doivent aussi faire face au système médical. Selon le rapport, ce dernier leur complique beaucoup la vie.
 
On déplore également le manque de collaboration entre les médecins spécialistes en oncologie, les infirmières praticiennes et les pharmaciens, ainsi que la disparité des services offerts à travers les provinces.
 
Le rapport affirme que, bien souvent, on comble d’abord les besoins des médecins avant ceux des malades.
 
On recommande fortement de changer la donne et de remettre les besoins et les traitements des patients à l’avant-plan, de miser sur une meilleure prévention du cancer également, d’encourager plus les essais cliniques et de prôner une collaboration entre les différents intervenants du domaine de la santé.
Catégories
Uncategorized

Les fraises contre le cancer de l’oesophage

Une étude présentée par l’American Association for Cancer Research mentionne que les fraises pourraient prémunir le corps contre le cancer de l’œsophage.
 
Il s’agit encore d’une étude préliminaire effectuée sur 36 personnes âgées en moyenne de 54 ans. Toutes avaient des lésions précancéreuses dans l’œsophage.
 
Chaque jour, ces personnes devaient prendre deux onces de fraises lyophilisées. Sous cette forme, il n’y avait pas d’eau qui pouvait diluer les actifs naturels de la fraise.
 
29 des 36 personnes, soit 80,6 %, ont vu leurs lésions précancéreuses chuter. Une personne les a vues augmenter, alors que les autres ont vu leur situation demeurer stable.
 
On croit que les vitamines et minéraux des fraises inhiberaient le N-NMBA, l’agent cancéreux que l’on retrouve aussi dans le bacon grillé, le tabac et les légumes en saumure.
Catégories
Uncategorized

Prévenir le cancer dès le plus jeune âge

Une recherche de l’Université de Guelph sous-entend qu’un régime alimentaire comprenant beaucoup d’acides gras comme les oméga-3 serait la meilleure prévention du cancer du sein.

En fait, l’exposition aux oméga-3, même avant la naissance, réduirait de 20 % la taille et le nombre de tumeurs cancéreuses aux seins à l’âge adulte. Il semble donc que ce qu’un enfant mange et ce que sa mère a mangé durant la grossesse ont une forte incidence sur l’apparition du cancer.
 
Afin de soutenir ces hypothèses, les chercheurs se sont fiés à des données sur des embryons, des bébés et des tout-petits quant à l’influence de certains nutriments sur leur santé générale et future.
 
Le tissu mammaire est en croissance constante de la naissance à la première grossesse. On sait toutefois que certaines périodes du développement sont plus enclines aux mutations que d’autres, ce qui peut entraîner le cancer du sein. Chacune d’entre elles inclut différents facteurs de risque, dont le régime alimentaire.

Rappelons finalement que le cancer du sein est celui qui est le plus diagnostiqué chez les Canadiennes. Il est aussi la deuxième cause de décès chez les gens atteints du cancer.

Catégories
Uncategorized

Effets néfastes des pesticides sur les enfants

Selon plusieurs études, les enfants qui grandissent sur une ferme développent peu ou pas du tout d’asthme et d’allergies. Toutefois, les milieux de vie de l’agriculture comportent de tout autres problèmes, lesquels sont très graves. 

En effet, on parle de plus en plus du lien entre le cancer et l’exposition aux pesticides. C’est dans le but de mieux définir les causes environnementales du développement du cancer que le rapport Dangerous Exposure : Farmworker Children and Pesticides a été publié.
 
Rédigé par l’Association of Farmworker Opportunity Programs (AFOP) aux États-Unis, ce rapport est accessible sur le site internet du regroupement.
 
En plus du cancer, en particulier de la leucémie, des spécialistes se sont aussi penchés sur les désordres comportementaux et neurologiques, les maladies respiratoires ainsi que les problèmes de naissance chez les enfants vivant sur une ferme, et ce, en lien avec les pesticides.
 
Le lien est évident, selon les experts. De plus, le danger semble plus grand lorsque l’enfant est exposé à des toxines agricoles dangereuses.

Les résultats ont été obtenus à la suite de rencontres avec des familles de fermiers à travers les États-Unis.

Catégories
Uncategorized

Les noix, encore plus bénéfiques qu’on le croit

Les noix se trouvent sans aucun doute au sommet des super aliments. Toutefois, la noix proprement dite est la grande gagnante puisque ses antioxydants sont les plus puissants de tous.
 
Des chercheurs se sont penchés sur la teneur en antioxydants des noix, amandes, arachides, pistaches, noisettes, noix du Brésil, noix de cajou, noix de macadam et pacanes.
 
La noix se classe au-dessus de toutes les sortes de noix, car non seulement elle contient plus d’antioxydants, mais ceux-ci sont aussi plus puissants, rapporte le Daily Mail. Ils sont même de deux à quinze fois plus forts que ceux de la vitamine E, reconnus pour être parmi les meilleurs.
 
Malheureusement, la consommation de noix n’est pas très forte. Pourtant, elle protège également des effets des molécules nocives et une consommation régulière de noix réduit les risques de maladies cardiaques, de certains cancers et de diabète de type 2. Les noix contiennent de bons gras et ne font pas prendre de poids.