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Le sexe oral plus nocif que le tabac

Des recherches menées par la Dre Maura Gillison de l’Université de l’Ohio démontrent que le sexe oral est maintenant plus nocif que le tabac pour favoriser le développement des cancers de la bouche ou de la gorge. Toutefois, on ne s’explique pas pourquoi.
 
La Dre Gillison, qui étudie le sujet depuis de nombreuses années, dit que le fait d’avoir pratiqué le sexe oral avec plus de six partenaires dans sa vie multiplie par huit, au moins, les risques de cancers buccaux. L’augmentation fulgurante de cas est très préoccupante pour les scientifiques.
 
Entre 1974 et 2007, ce type de cancer a augmenté de 225 %, surtout chez les adeptes du sexe oral, mais les médecins ne parviennent pas à expliquer le phénomène et les études doivent se poursuivre.
 
« Nous ne pouvons pas démontrer avec certitude que certains comportements sexuels sont liés à un risque d’être infecté par des papillomavirus. Nous ne disposons pas encore de suffisamment de données pour déterminer si la détection de ces virus peut être utilisée pour détecter un cancer oropharyngé », explique la Dre Gillison.
 
Pour prévenir le plus possible les risques, on suggère fortement le vaccin contre quatre souches de papillomavirus, tant pour les filles que les garçons.
 
Sachez que s’ils sont décelés tôt, les cancers buccaux ont un bon pronostic de guérison.
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Le nanisme contre le cancer

Il semble qu’une forme de nanisme, le syndrome de Laron, donnerait l’immunité contre des maladies comme le cancer et le diabète.

C’est ce que des chercheurs auraient découvert après avoir suivi pendant 22 ans les membres d’une communauté andine de l’Équateur atteinte de ce syndrome.

Durant toute cette période de temps, aucun cas de diabète et un seul cas de cancer (qui s’avérait guérissable) n’ont été relevés.

En comparaison, on a aussi suivi 1 600 membres de la famille des sujets, mais ayant une taille normale. Or, parmi ce deuxième groupe, 5 % ont reçu un diagnostic de diabète et 17 % ont eu un cancer.

Les chercheurs de cette étude longitudinale parue dans Science Translational Medicine ont donc émis l’hypothèse qu’une hormone de croissance serait à la base du développement de ces maladies.

Rappelons au passage que le syndrome de Laron provient d’une déficience génétique qui empêche l’organisme d’employer une hormone de croissance.

Le lien avec l’hormone de croissance s’est imposé de lui-même, car dans le cadre de cette recherche, les facteurs génétiques et environnementaux avaient été isolés. L’espérance de vie, par ailleurs, s’est avérée la même pour les deux groupes de sujets.

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Les sodas augmenteraient les risques de cancer du pancréas

Alors que l’on mentionnait hier (10 février) que les boissons gazeuses diètes augmentaient les risques de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral, nous apprenons maintenant que les sodas seraient liés au cancer du pancréas.
 
Des chercheurs de l’Université du Minnesota ont suivi 60 000 personnes pendant 14 ans et ont constaté que celles qui avaient développé un cancer du pancréas consommaient beaucoup de boissons gazeuses.
 
En fait, boire deux bouteilles de sodas par jour double le risque de développer la maladie. On croit que la quantité importante de sucre contenue dans ces boissons augmente le taux d’insuline produit par le pancréas, ce qui favoriserait le développement des cellules cancéreuses, rapporte TopSanté.
 
Le cancer du pancréas est l’un des plus rares, mais aussi l’un des plus mortels. Le taux de survie après cinq ans est de 5 % seulement.
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Vivre à proximité d’une station-service augmente les risques de cancer

Selon une étude de l’Université de Murica en Espagne, les maisons devraient toujours être situées à une distance minimum des stations d’essence.
 
À moins de 50 mètres, le niveau de pollution de l’air devient très nuisible, causant ainsi l’apparition de cancers chez les résidants qui demeurent à proximité.
 
Pour certains établissements comme les hôpitaux, les écoles et les résidences pour personnes âgées, cette distance minimale d’une station d’essence devrait plutôt être de 100 mètres, rapporte le Journal of Environmental Management.
 
À cette distance donc, les vapeurs de benzène de l’essence sont considérées comme sécuritaires pour la santé humaine.
 
Le benzène est un agent cancérigène et ses vapeurs sont causées lors de l’évaporation du carburant lorsqu’on remplit un réservoir ou encore lorsqu’il y a une fuite.
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Plus de malformations congénitales après un cancer

On peut lire dans le Journal of the National Cancer Institute les résultats d’une recherche concernant le lien entre les malformations congénitales importantes et l’historique de cancer du géniteur.

Des chercheurs de l’Hôpital universitaire de Lund, en Suède, ont en effet remarqué une légère hausse des cas de malformation lorsque le père était un survivant du cancer, en comparaison aux naissances issues d’un père qui n’en avait jamais souffert.

Ils ont suivi une cohorte de 8 670 enfants nés en Suède ou au Danemark entre 1994 et 2004. Tous les enfants de l’étude avaient un père ayant survécu au cancer. Il semble donc que ce passé médical augmente de 17 % le risque pour le bébé de naître avec une malformation congénitale majeure.

Mentionnons au passage que le risque global était de 3,7 %, contre 3,2 % si le père n’avait aucun historique de cancer. La différence est donc plutôt mince.

D’autre part, on se questionne depuis longtemps sur l’incidence de malformations congénitales pour la conception soutenue par les technologies actuelles de reproduction. On compte parmi celles-ci la fécondation in vitro et l’injection de sperme.

Parmi les participants de la présente recherche, 508 bébés étaient nés de ces méthodes. Or, aucune différence n’a pu être prouvée entre les enfants conçus naturellement et les autres.

Pour ce qui est des raisons possibles du développement d’anomalies lorsque le géniteur a eu le cancer, on n’a pas été en mesure de noter une hausse marquée si la chimiothérapie ou la radiothérapie avait été employée. Il faudra donc poursuivre les recherches, car pour l’instant, il ne s’agit que d’une corrélation.

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Trop de fromage augmenterait les risques de cancer de la vessie

Des scientifiques viennent de découvrir que manger beaucoup de fromage régulièrement augmenterait les chances d’avoir un cancer de la vessie de 50 %. Les risques apparaissent avec une portion quotidienne de 53 grammes et plus de fromage. En deçà de cette quantité, il n’y aurait aucun danger, selon l’étude parue dans l’European Journal of Cancer.
 
Les chercheurs arrivent à ces résultats après avoir étudié les habitudes alimentaires de 200 victimes du cancer de la vessie et 386 personnes n’ayant pas été malades. 
 
Cependant, on précise que des recherches plus approfondies sont nécessaires, car l’échantillon de personnes est trop petit pour affirmer que le fromage représente un risque majeur.
 
En fait, ce sont les graisses saturées des produits laitiers qui seraient en cause, mais pour le lait, les résultats constatés n’étaient pas assez significatifs pour conclure qu’il y avait un risque accru de cancer.
 
Parmi les autres facteurs de risque qui ont une incidence sur le cancer de la vessie, on note le tabagisme, l’exposition à des produits chimiques au travail et les infections de la vessie répétées.
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Les cardiaques soumis aux radiations s’exposent plus au cancer

Une étude menée par la Dre Louise Pilote de l’Institut de recherche du Centre de santé McGill révèle que les personnes cardiaques ont plus de risques d’avoir un cancer si elles ont été soumises aux radiations dans une procédure thérapeutique.
 
83 000 dossiers de patients québécois ont été analysés et on relève des milliers de cas de cancers, soit 12 020 chez ceux ayant eu des radiations après une intervention cardiaque à la suite d’une crise. 
 
Dans 77 % des cas, on prescrit une imagerie cardiaque ou des radiations de faible intensité par mesure thérapeutique pour les personnes ayant fait un infarctus du myocarde.
 
Selon les données rapportées par le Journal de l’Association médicale canadienne, de faibles radiations sont suffisantes pour faire augmenter les risques, de sorte que les experts se questionnent et envisagent des traitements mieux adaptés.
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Les foyers pourraient causer le cancer et des maladies cardiaques

Des experts mentionnent que les feux de foyer ou les poêles à bois pourraient s’avérer toxiques pour la santé.
 
Selon la revue Chemical Research in Toxicology, inhaler des particules du bois qui brûle aurait les mêmes effets que respirer les émissions d’échappement des voitures ou des centrales électriques.
 
De minuscules particules sont en suspension dans la fumée du bois et elles peuvent devenir très problématiques, car elles sont inhalées facilement et se retrouvent profondément dans les poumons.
 
Les chercheurs croient que comme les voitures, les feux de foyer ou poêles à bois pourraient augmenter les risques de maladies cardiaques, d’asthme, de bronchites, de cancers et d’autres problèmes de santé.
 
Pour le moment, il est encore trop tôt pour déterminer avec certitude les risques exacts que représentent ces feux de bois, même si les premières études démontrent des dommages cellulaires et à l’ADN.
 
De préférence, il est recommandé d’utiliser seulement du bois sec, de le couper en petits morceaux et de s’assurer d’avoir une bonne circulation de l’air afin de réduire au maximum les émissions de particules néfastes dans la maison.
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La vaccination efficace contre le cancer?

Des chercheurs ont découvert que des enfants ayant reçu certains vaccins avaient moins de risques de développer un cancer infantile.
 
Selon le Journal of Pediatrics, ils ont observé que les risques de cancer, tous types confondus, étaient diminués de 20 % lorsque les enfants avaient reçu le vaccin contre l’hépatite B. Ces risques chutent de 30 à 40 % lorsqu’on parle de leucémie aiguë lymphoblastique pour ceux ayant été vaccinés contre l’hépatite B et la poliomyélite.
 
Ces conclusions font suite à une analyse de données de 2 800 cas de cancers infantiles entre 1995 et 2006 au Texas.
 
Toutefois, des études additionnelles sont nécessaires avant de conclure qu’il existerait bel et bien un lien entre la vaccination et un risque moindre de cancer. Il est encore trop tôt pour l’affirmer, même si ces résultats sont plutôt encourageants.
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Le brocoli très efficace contre le cancer

La revue Nutrition and Cancer dévoile une étude de l’Université de l’Illinois qui affirme que le brocoli est un excellent aliment anti-cancer, surtout s’il est mélangé aux germes de brocoli.
 
Toutefois, il ne faut pas trop faire cuire son brocoli, car cela élimine l’enzyme myrosinase qui est nécessaire au sulforaphane, le composant anti-cancer et anti-inflammatoire du légume.
 
« Le brocoli, préparé correctement, est extrêmement efficace pour combattre le cancer : trois à cinq portions par semaine sont suffisantes pour qu’il fasse effet », mentionne la chercheuse Elizabeth Jeffery.
 
De plus, l’étude démontre que les germes de brocoli contiennent énormément de l’enzyme myrosinase. En mélanger avec le brocoli rend donc le légume deux fois plus efficace contre le cancer.
 
Parmi les autres aliments qui possèdent beaucoup de sulforaphane et que vous pouvez mélanger au brocoli, on retrouve la moutarde brune, le radis, la roquette et le wasabi.