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De moins en moins de décès en raison du cancer

Un rapport de l’Institut national du Cancer (INCA) en France mentionne que le taux de mortalité par cancer connaît une baisse depuis les dernières années, surtout chez les hommes.
 
Cela est dû notamment au fait que les hommes fument de moins en moins. Par contre, la baisse est moins significative chez les femmes, car celles-ci fument plus et il y a donc plus de cancers des poumons.
 
Si l’on compare les statistiques entre 1983 et 1987 et entre 2003 et 2007, on note une baisse de mortalité par cancer de l’ordre de 22 % pour les hommes et de 14 % pour les femmes.
 
Les meilleures techniques de dépistage, notamment pour les cancers du sein, du côlon et de l’utérus, expliquent en partie ce phénomène. De plus, il existe maintenant une meilleure prise en charge thérapeutique.
 
La baisse de mortalité s’accélère depuis les dix dernières années, mais le cancer demeure la première cause de décès pour les hommes et la deuxième cause pour les femmes. Les cancers du sein et des poumons sont les deux plus grands responsables de la mortalité des moins de 65 ans.
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Un lien inquiétant entre la grossesse et le cancer du sein

Des spécialistes se sont réunis cette semaine à Strasbourg dans le cadre des 32es Journées de la Société française de Sénologie et de Pathologie mammaire (SFSPM).

Selon eux, 0,1 % des femmes sont touchées par le cancer du sein durant une grossesse. Plusieurs raisons pourraient être en cause.

Par exemple, le nombre de grossesses tardives est continuellement en hausse. Même si l’âge de conception du premier enfant a baissé, il demeure que les femmes peuvent être enceintes de plus en plus tard.

Ainsi, cela pourrait être une piste, car nous savons déjà qu’une femme est plus à risque de cancer du sein lorsqu’elle avance en âge.

Bien que pour l’instant, les spécialistes en soient à discuter d’une corrélation, ils proposent certaines solutions. Par exemple, ils suggèrent qu’un centre de référence soit créé pour appuyer les médecins et les futures mamans.

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Manger la pelure des fruits et légumes serait bon contre le cancer

La Dre Marilyn Glenville affirme qu’en jetant les pelures des fruits et légumes, on se prive de nombreux nutriments essentiels au maintien d’une bonne santé.
 
Les peaux des fruits et légumes contiennent beaucoup d’antioxydants efficaces contre le cancer notamment. Tous ces aliments sont biosynergiques, c’est-à-dire que les bénéfices nutritionnels de chacune des parties sont renforcés par les autres parties.
 
De plus, les tiges et noyaux seraient également très riches en éléments nutritifs.
 
Par exemple, le Daily Mail rapporte que la peau des kiwis contient beaucoup d’antioxydants reconnus comme étant des anticancers, anti-inflammatoires et antiallergènes.
 
Pour les ananas, c’est le noyau qui est riche en fibres et en vitamine C, tout comme les tiges du brocoli. Pour ce qui est de la pelure de banane, elle est riche en sérotonine qui équilibre l’humeur et est excellente pour protéger les cellules oculaires.
 
La pelure de l’ail contient beaucoup d’antioxydants également. Quant aux agrumes, non seulement leur pelure contient des antioxydants, mais ceux-ci diminuent le mauvais cholestérol.
 
La peau des citrouilles et des courges nous apporte du zinc, des antioxydants et des nutriments pour une peau et des ongles sains. Finalement, la pelure de pomme de terre donne la moitié de l’apport quotidien en fer, zinc, phosphore et vitamine C.
 
Donc, ne jetez plus les pelures, car elles sont extrêmement bénéfiques pour la santé.
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Un nouvel espoir pour les garçons atteints du cancer devenus stériles

Le lymphome de Hodgkins requiert des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie qui peuvent souvent rendre les patients stériles. Les garçons atteints pourraient toutefois voir leur situation s’améliorer.

Les résultats de chercheurs, présentés sur Telegraph.co.uk, annoncent en effet de bonnes nouvelles pour ces enfants.

Les scientifiques ont réussi à recueillir des cellules souches de sperme chez des garçons âgés de six et huit ans, puis les ont fait multiplier en laboratoire. Pour l’instant, ces cellules ne peuvent pas féconder un ovule.

Malgré tout, elles pourront constituer une réserve qui pourra ensuite repeupler les testicules de garçons devenus stériles des suites d’un traitement contre le cancer.

Une fois réintégrées, elles pourront ainsi produire une quantité de sperme nécessaire à la fertilité.

Le Dr Hooman Sadri-Ardekani, de l’Université d’Amsterdam, a présenté les avancées de ses recherches à l’American Society for Reproductive Medicine (ASRM) de Denver.

Son équipe a par ailleurs établi à 80 jours le temps nécessaire à la multiplication, laquelle doit être de 1 300 pour mener un jour à une nouvelle fertilité.

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L’aspirine peut réduire les risques de cancer du côlon

Après avoir analysé quatre essais cliniques qui se sont échelonnés sur 20 ans auprès de 14 000 personnes, les scientifiques mentionnent qu’une petite dose d’aspirine, soit l’équivalent d’un comprimé ordinaire ou allégé pris quotidiennement, réduit les risques de cancer du côlon de 24 % et les risques d’en mourir de 35 %, rapporte The Lancet.
 
Auparavant, des études affirmaient que 500 mg par jour prévenaient la maladie, mais cette dose comportait trop d’effets secondaires. D’ailleurs, ces derniers (saignements et douleurs à l’estomac) demeurent tout de même inquiétants, voilà pourquoi on recommande aux personnes qui ne sont pas à risque d’avoir un cancer du côlon de s’abstenir de prendre de l’aspirine si c’est seulement à titre préventif.
 
Toutes les personnes devraient consulter leur médecin avant de prendre des comprimés d’aspirine quotidiennement, rappellent les experts.
 
Éventuellement, l’aspirine pourrait mener à de nouvelles thérapies, car on croit qu’elle freine la production d’une enzyme liée aux cancers du sein, de l’estomac de l’œsophage et du côlon.
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Découverte majeure dans la lutte contre le cancer

Depuis de nombreuses années, des scientifiques tentent de trouver une molécule unique qui pourrait indiquer la présence d’un cancer dans le corps.
 
Le New England Journal of Medicine rapporte que des équipes de l’Inserm et de l’école de médecine du Mont-Sinaï à New York ont découvert un marqueur génétique commun à 11 cancers fréquents.
 
Les chercheurs ont étudié 1 300 personnes ayant 11 cancers différents à divers stades de la maladie. Toutes les tumeurs avaient une chose en commun, un marqueur génétique. Celui-ci est en fait une protéine qui est le récepteur de la FSH, l’hormone d’origine hypophysaire. Celle-ci ne se retrouve que dans les ovaires et les testicules s’il n’y a pas de cancer chez une personne. En cas de cancer, on la retrouve dans les tumeurs.
 
Ceci est donc une piste intéressante, car si les chercheurs parviennent à trouver ce marqueur génétique dans le sang, on pourrait arriver à un dépistage du cancer simplement par une prise de sang.
 
Les recherches se poursuivirent pour éventuellement permettre un diagnostic précoce de la maladie et de nouveaux genres de thérapies.
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Risques de cancer pour toute la famille

Une récente étude scientifique vient de faire un lien important entre le cancer du sein d’une femme et les risques de maladie de sa famille.

On peut lire dans le Bristish Journal of Cancer le constat d’une recherche portant sur les femmes âgées de moins de 35 ans.

Ce type de cancer demeure rare pour ce groupe d’âge, car 1 femme sur 40 sera diagnostiquée seulement. Malgré tout, la famille entière de la jeune femme atteinte pourrait en être touchée.

Ainsi, ses frères et son père auraient cinq fois plus de risque d’être atteints d’un cancer de la prostate. Ses soeurs, quant à elles, verraient leur probabilité de cancer du sein augmentée de quatre fois et seraient deux fois plus exposées à développer un cancer des ovaires.

Les recherches devront donc se poursuivre sur cette voie. En attendant de nouvelles percées, les chercheurs conseillent aux jeunes femmes concernées et à leurs proches de faire preuve d’une grande vigilance.

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L’allaitement est sans danger après un cancer du sein

Le sujet avait déjà été abordé dans le cadre de précédentes études, mais c’est maintenant confirmé. Selon France-Soir, allaiter après avoir eu un cancer du sein ne comporte aucun danger.

Le docteur Azim, qui a dirigé cette recherche, a par ailleurs démontré que l’allaitement ne pourrait pas non plus provoquer une rechute de la maladie.

Il a présenté les résultats de son travail au 35e Congrès de cancérologie, en Italie. Pour obtenir ceux-ci, il a suivi pendant 4 ans 20 jeunes mères qui avaient accouché après avoir contracté un cancer du sein.

La moitié a allaité par choix et l’autre ne l’a pas fait, sur avis médical. Dans chacun des groupes de 10 femmes, il y a eu 1 cas de rechute.

Finalement, le docteur Azim a constaté que trop de médecins recommandent encore à des femmes de ne pas allaiter après avoir eu un cancer du sein, et ce, sans qu’il y ait eu suffisamment d’études sur le sujet.

D’après lui, seules la faible production de lait, qui est liée à certaines radiothérapies, et la difficulté pour un poupon de téter un mamelon cicatrisé constitueraient les raisons encore valables de renoncer à l’allaitement.

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Le stress favorise l’évolution des métastases du cancer

Une étude américaine affirme que le stress favorise le développement de métastases chez les personnes atteintes de cancer.
 
Pour la recherche, on a soumis des souris, auxquelles on avait donné un cancer du sein, à un stress quotidien en les enfermant dans des espaces restreints plusieurs heures par jour. On a ensuite surveillé l’évolution du cancer.
Selon ce que rapporte le Cancer Research, les souris qui étaient stressées ont vu leurs métastases connaître une croissance fulgurante, 30 fois plus rapide que chez le groupe témoin.
 
Les chercheurs croient que le stress affecte le système nerveux, qui transmet alors un signal au système immunitaire d’envoyer plus de macrophages pour lutter contre la maladie. Seulement, ce surplus provoque la reprogrammation de la tumeur, qui se sert alors de ces macrophages pour infiltrer d’autres tissus.
 
Cette découverte rappelle donc qu’il est important de développer de nouvelles approches dans les traitements contre le cancer, en tenant compte de l’état de santé général du patient.
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Un vaccin contre le cancer du cerveau?

Des chercheurs tentent de mettre au point un vaccin pour contrer le cancer du cerveau.
 
Selon le Journal of Clinical Oncology, un vaccin expérimental donne des résultats plutôt intrigants. Il viendrait grandement en aide aux patients ayant un glioblastome, la forme la plus grave du cancer du cerveau.
 
L’étude démontre que la vie des patients avec cette tumeur mortelle pourrait être prolongée jusqu’à 70 % par des injections.
 
L’étude a été effectuée avec 35 patients souffrant de cette forme de cancer. Ils ont tous subi une chirurgie pour retirer la tumeur et ont ensuite reçu des traitements de radiothérapie et chimiothérapie.
 
18 de ces personnes ont reçu le vaccin en question un mois après la radiothérapie et elles ont continué les injections tant que cela semblait efficace.
 
Ce vaccin a stimulé le système immunitaire de la moitié du groupe. De plus, sur 17 des 18 personnes, toutes les cellules cancéreuses ont été détruites. En moyenne, leur vie a été prolongée de 15 à 26 mois.