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Un traitement chinois pour atténuer les effets de la chimiothérapie

Des chercheurs viennent de tester avec succès un traitement chinois ancestral à base de plantes pour atténuer les effets destructeurs de la chimiothérapie sur les intestins.
 
Des souris ont vu leurs cellules se régénérer au bout de quelques jours de traitement.
 
Bien que l’on ignore encore si les résultats seront les mêmes sur l’homme, ceux-ci sont encourageants puisqu’ils pourraient grandement aider à traiter la diarrhée, les nausées et les vomissements chez les patients.
 
Ce traitement à base de plantes (pivoine, scutellaire, réglisse et du fruit du nerprun) stimule la division cellulaire et réduit l’inflammation des tissus.
 
Il s’agit donc d’un nouvel espoir pour les personnes qui doivent lutter contre la maladie et ce traitement pourrait être grandement utilisé, notamment pour les cas de cancers colorectaux qui affectent grandement les intestins, nous apprend le Science Transcontinental.
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Le régime méditerranéen pour protéger la peau

Bien qu’il soit toujours recommandé d’appliquer une crème solaire, de porter un chapeau et de se couvrir à la plage, il est possible d’offrir une protection naturelle supplémentaire à notre peau contre le cancer.
 
Le Nutrinational Review rapporte que des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, dirigés par la chercheuse Niva Shapira, ont découvert qu’une alimentation riche en antioxydants et en oméga-3 offrait une protection efficace contre les cancers cutanés.
 
On recommande donc fortement d’adopter un régime méditerranéen surtout composé d’huile d’olive, de poissons, de yaourt, de grains complets, de haricots, de fruits, de légumes, de beaucoup d’eau et d’un peu de vin rouge.
 
Par contre, il serait préférable de consommer le moins possible de viandes rouges et de plats préparés et d’éviter l’alcool, sauf le vin rouge qui, en petite quantité, est bénéfique.
 
Il faut aussi faire attention au persil, au céleri, à la coriandre, aux figues et à l’aneth qui, eux, comportent un agent photosensible qui pourrait favoriser les dommages causés à la peau par le soleil.
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Le fructose favorise le développement du cancer

Après avoir mis en lumière que le glucose (sucre raffiné) favorisait la croissance des cellules cancéreuses, voilà que des chercheurs ont découvert que le fructose raffiné aurait le même effet.
 
Les scientifiques ont exposé des tumeurs pancréatiques à du glucose et du fructose pour s’apercevoir que dans les deux cas, la croissance des cellules cancéreuses était facilitée.
 
Bien que les tests aient été réalisés sur des cancers du pancréas, on croit fortement que l’on obtiendrait les mêmes résultats pour d’autres cancers, selon le Cancer Research.
 
Le fructose est un édulcorant qui a grandement remplacé le glucose dans les aliments en raison de son faible coût et de son même goût sucré. On estime qu’entre 1970 et 1990, la consommation de fructose a été multipliée par 1 000, notamment en raison de l’apparition du sirop de maïs hydrolysé.
Ce sirop est utilisé dans la préparation de pâtisseries, boissons sucrées, friandises, gâteaux, biscuits, repas congelés, ketchup, vinaigrettes commerciales, barres de céréales et autres aliments transformés.
 
Il est donc recommandé de diminuer sa consommation de fructose afin de ne pas trop favoriser la croissance des tumeurs cancéreuses.
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Vers un médicament contre le cancer de l’ovaire héréditaire

L’Olaparib, un médicament inhibiteur, représente un nouvel espoir dans le traitement de cancers ovariens héréditaires avec des mutations du gène BRCA, de même que certains cancers du sein avec ces mêmes mutations génétiques.
 
Selon The Lancet, ce médicament expérimental possède une molécule qui contribue à la mort des cellules cancéreuses. Les chercheurs ont observé une réduction de la taille des tumeurs de 33 % et même une disparition complète dans certains cas.
 
« Olaparib est le premier agent unique, non “chimiothérapique”, à montrer des bénéfices chez les patients atteints de cancers résultant de la mutation des gènes BRCA 1 et 2. Jusqu’à présent, les traitements étaient choisis en fonction de la localisation des cancers. Ces résultats suggèrent que c’est la faiblesse génétique d’un cancer, et non l’organe d’origine, qui est la clé d’un traitement efficace », mentionne l’oncologue William Audeh.
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Le cancer détecté par l’haleine

Fonctionnant sur le même principe que l’alcootest, ce test de détection du cancer réagit aux composants chimiques qui sont dégagés par des cellules cancéreuses.

Ainsi, le cancer de poumon, du sein, des intestins et de la prostate peuvent être détectés par un simple test d’haleine, rapporte le Bristish Journal of Cancer.

Les travaux des chercheurs ont été testés sur 177 personnes avec succès. « Cette étude montre qu’un nez électronique peut distinguer une haleine saine d’une haleine maligne et également les différentes haleines en fonction des types de cancer », explique le Pr. Abraham Kuten.

Bien que des études approfondies soient nécessaires avant de rendre ce test accessible au grand public, on croit que si le tout se confirme, cela permettra de faire des diagnostics précoces, donc ainsi augmenter les chances de guérison et de survie.

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La fumée de cigarette provoque des cancers chez les bébés

Des chercheurs de l’Université de Pittsburg, aux États-Unis, émettent de nouveau un avertissement concernant la cigarette durant la grossesse.

Selon les résultats de leur étude, publiée dans le The Open Pediatric Medicine Journal, la fumée de la cigarette provoque une mutation génétique dans le cordon ombilical du bébé. Cette dernière s’attaque aux cellules, causant ainsi des tumeurs. Le risque de cancer devient donc beaucoup plus important pour l’enfant, par la suite.

À noter qu’il est tout aussi dangereux de fumer durant sa grossesse que d’être exposée à la fumée secondaire.

Les femmes enceintes devraient s’abstenir de fumer en attendant leur bébé, et doivent tenter de rester le plus loin possible de la fumée de cigarette provenant de leur entourage.

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Les éponges marines à la rescousse de l’humain

Des scientifiques australiens viennent de faire une découverte pour le moins étonnante.

 

Pendant cinq ans, ils ont étudié la séquence génétique des éponges marines de la grande barrière de corail. Ils ont constaté qu’une espèce partageait un nombre important de gènes avec l’humain.

Bien que l’on sache depuis très longtemps que l’homme descend du singe, nous apprenons maintenant qu’une espèce d’éponge de mer partage 70 % de nos gènes, y compris ceux liés au cancer.

Cette découverte permettrait de faire avancer la recherche sur le cancer et les cellules souches. « Cela pourrait nous informer sur la manière dont nous appréhendons nos propres cellules souches et dont nous pourrions les utiliser pour de futures applications médicales », explique le chercheur de l’Université de Queensland, Bernard Degnan.

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Les inhalateurs pour l’asthme augmentent les risques de cancer de la prostate

Ce médicament est utilisé par des milliers d’hommes dans le monde afin de traiter leur asthme, mais les inhalateurs les exposent aussi à plus de risques d’un cancer de la prostate, rapporte le journal, Cancer Epidemilogy, Biomarkers and Prevention.

 

Les hommes qui prennent régulièrement des stéroïdes inhalés pour maîtriser leur asthme ont 40 % plus de chances de souffrir d’un cancer de la prostate que ceux qui ne sont pas asthmatiques.

Ceux qui utilisent les bronchodilatateurs pour leur respiration sifflante sont 36 % plus à risques. Mais le plus grand danger est pour les hommes souffrant d’asthme sévère qui doivent prendre des comprimés de stéroïdes ou des injections. Dans leur cas, les risques sont accentués de 70 %.

Des études précédentes démontraient que le simple fait de souffrir d’asthme augmentait les risques de tumeur de 25 %.

Par contre, il ne s’agit que de résultats préliminaires qui ont besoin d’être confirmés par d’autres études. Les hommes asthmatiques ne devraient donc, en aucun cas, cesser de prendre leur médicament. Car s’il y a un lien réel entre les inhalateurs et le cancer de la prostate, ce lien serait marginal.

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Le virus de l’herpès pour traiter le cancer

En Angleterre, des médecins sont parvenus, avec l’aide du virus génétiquement modifié de l’herpès, à traiter avec succès des patients atteints de cancer de la tête et du cou, ce qui inclut les cancers de la bouche, de la langue et de la gorge.
 
Apparemment, cette méthode a surtout fait ses preuves pour tuer les tumeurs en jumelage avec la radiothérapie ou la chimiothérapie, ce qui serait plus efficace que les traitements standards, nous apprend le Daily Mail.
 
Outre la fièvre et la fatigue qui sont surtout des effets de la radiothérapie et de la chimiothérapie, le virus de l’herpès ne cause pas d’effets secondaires. En plus, la personne qui a recours à cette technique n’est pas infectée par l’herpès. Le virus est génétiquement modifié; le gène lui permettant de causer une infection a été retiré.
 
On a constaté également que ce traitement permettait de stimuler le système immunitaire des patients. Seulement 2 des 13 patients auxquels on a injecté ce traitement ont eu une rechute après deux ans, un taux appréciable puisqu’en général, pour ces types de cancers, le taux de rechute après deux ans si situe de 35 à 55 %.
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Les pauvres survivent moins au cancer

Les personnes pauvres ont moins de chances de survivre à un cancer que celles plus aisées. C’est la triste conclusion à laquelle parviennent des chercheurs de l’Université Queen, en Ontario, dans leur nouvelle étude.
 
Les experts se sont penchés sur des cas enregistrés de six cancers divers entre 2003 et 2006 et constatent qu’il y a un écart important pour les chances de survie entre les riches et les pauvres pour les cancers colorectaux et du col de l’utérus.
 
Par le passé, une étude américaine expliquait le tout par le fait que les diagnostics étaient faits plus tard pour les personnes démunies. Toutefois, les Ontariens observent qu’il n’en est rien. Selon leur étude, les patients auraient été diagnostiqués au même stade, peu importe leur classe sociale.
 
Ce qui peut désavantager les pauvres serait notamment le fait qu’ils souffrent souvent d’autres maladies pouvant entraver les traitements et que le coût des médicaments nécessaires est trop élevé pour qu’ils puissent se les procurer.
 
Pour le cancer du sein par exemple, 77 % des femmes démunies sont encore en vie après cinq ans alors que ce taux est de 84 % chez les plus riches. Pour le cancer colorectal, le taux de survie est de 52 % pour les démunis et de 60 % chez les plus nantis.