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Importante découverte montréalaise sur le cancer du cerveau

La découverte du Dr Gilbert Bernier, de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont à Montréal, pourrait conduire à un éventuel traitement contre le cancer du cerveau, rapporte La Presse.
 
L’année dernière, ce chercheur avait démontré que le gène Bmi1 jouait un rôle important dans le vieillissement du cerveau. Cela avait servi dans la recherche sur la maladie d’Alzheimer et le Parkinson.
En poursuivant ses recherches sur ce gène, le Dr Bernier a constaté que certaines tumeurs cancéreuses du cerveau le possédaient. Comme il est expliqué dans le Journal of Neuroscience, ce gène joue un rôle dans la réparation de l’ADN des cellules cancéreuses et ce mécanisme nuit donc grandement aux traitements de radiothérapie.
 
« L’objectif de la radiothérapie est notamment de créer des cassures dans l’ADN des cellules cancéreuses, ce qui provoque leur mort. Mais les cancers du cerveau de type glioblastome multiforme sont résistants à la radiothérapie. Si on inactive le gène Bmi1, les cellules deviendront plus sensibles à la radiothérapie », explique le chercheur.
 
Il espère donc trouver une molécule qui sera capable de désactiver le gène. L’espérance de vie des personnes atteintes pourrait ainsi être grandement prolongée et nous pourrions même voir certaines guérisons.
 
La majorité des personnes atteintes du cancer du cerveau meurent dans l’espace d’un an. En général, elles ont plus de 50 ans.
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Les personnes ayant survécu à un cancer infantile sont plus à risque une fois adulte

Les personnes qui ont survécu à un cancer durant leur enfance ont plus de chances de développer un deuxième cancer et ont un taux de moralité supérieur à celui de la population en général.
 
C’est ce que dévoile deux études, une du Journal of the American Medical Association (JAMA) et une autre du Journal of the National Cancer Institute (JNCI).
 
Après avoir étudié les données de 18 000 enfants de moins de 15 ans qui ont survécu pendant au moins 5 ans après un diagnostic de cancer, on constate que le taux de mortalité de ces survivants est supérieur de onze fois à celui de la population en général. Le taux diminue en vieillissant, mais même 45 ans après le diagnostic, le taux de mortalité est trois fois supérieur à la normale.
 
Les rechutes, les maladies cardiovasculaires et un deuxième cancer sont les principales causes de décès. De plus, on ajoute que le risque de développer un deuxième cancer devient plus élevé avec l’âge, et ce, jusqu’à 30 ans après le diagnostic du premier.
 
Les chercheurs attribuent tous ces inconvénients aux traitements de chimiothérapie et de radiothérapie reçus lors d’un premier cancer.
C’est pourquoi les personnes ayant combattu la maladie durant leur enfance devraient avoir un suivi médical à très long terme ensuite.
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La grossesse réduit le risque de cancer du col de l’utérus

Des scientifiques britanniques de l’association Cancer Research UK viennent de faire une découverte importante.
 
Selon le Maxiscience, ils ont prouvé que les femmes qui choisissent d’avoir peu ou pas d’enfants sont plus à risques de développer un cancer du col de l’utérus.
 
Ce type de cancer a connu une progression de 50 % dans les dernières années. Le fait qu’il y a peu ou pas de grossesse du tout chez certaines femmes n’y serait pas étranger.
 
Selon les chercheurs, un niveau d’œstrogènes élevé favorise le développement de tumeurs. Durant une grossesse, le taux d’œstrogènes diminue. Les femmes qui ont des enfants y sont donc exposées moins longtemps au cours de leur vie.
 
Rappelons que des études passées ont affirmé qu’avoir une vie sexuelle précoce favorisait également l’apparition du cancer du col de l’utérus. Pour prévenir cette maladie, la café et le thé seraient de bons alliés.
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Nouvel espoir pour les cancers sanguins

17 personnes en rechute d’une leucémie ou d’un lymphome et n’ayant aucune option médicale ont participé à une étude française pour trouver un moyen de traiter les cancers sanguins.
 
Grâce à une nouvelle thérapie cellulaire, le tiers des personnes a vu sa rémission être prolongée de deux ans en moyenne.
 
Cette nouvelle technique utilise le système immunitaire pour s’attaquer au cancer. On injecte aux patients des lymphocytes (globules blancs) manipulés afin de les rendre anticancéreux.
 
Généralement, la leucémie et le lymphome peuvent être traités par une greffe de moelle osseuse. On remplace la moelle du patient par une moelle d’un donneur sain, mais cette technique ne donne pas toujours les résultats escomptés.
 
La nouvelle thérapie pourrait s’avérer être une option intéressante, selon le Science Translational Medicine. Naturellement, des tests devront être effectués sur un échantillon plus large de patients afin de confirmer les résultats.
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L’asthme et l’eczéma protègeraient du cancer

Le journal Annals of Allergy, Asthma & Immunology rapporte que les hommes asthmatiques ou souffrant d’eczéma seraient moins susceptibles de développer certains cancers.
 
Des chercheurs québécois ont découvert que les hommes asthmatiques avaient moins de risques de développer un cancer de l’estomac et que ceux aux prises avec l’eczéma voyaient leurs chances de développer un cancer des poumons être diminuées.
 
Bien qu’on ne connaisse pas encore les facteurs exacts de cette protection, on explique le phénomène par le fait que l’asthme et l’eczéma sont deux maladies allergiques dues à l’hyperactivité du système immunitaire. C’est sans doute cette hyperactivité qui serait en mesure d’éliminer les cellules anormales, donc protègerait contre les maladies.
 
D’autres recherches sont nécessaires afin de déterminer le mécanisme moléculaire et immunologique de cette protection contre ces deux types de cancers. Les résultats pourraient éventuellement mener à de meilleurs traitements pour les personnes atteintes.
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Le sucre augmente les risques de cancer du pancréas

Les personnes qui mangent souvent des aliments sucrés et glycémiques comme du pain blanc, des gâteaux, des céréales raffinées, des friandises ou de la confiture ont plus de chances de développer un cancer du pancréas, déclarent des chercheurs italiens et américains.
 
Selon leur étude publiée dans les Annals of Epidemiology, ceux ayant un régime avec un index glycémique élevé ont 78 % plus de risques d’avoir cette forme de cancer.
 
C’est la conclusion à laquelle ils parviennent après avoir étudié les habitudes alimentaires de 1 000 adultes italiens, dont le tiers avait un cancer du pancréas.
 
Selon les statistiques, on dénote 4 000 nouveaux cas de cancer du pancréas au Canada chaque année. Cette terrible maladie fait malheureusement 3 900 victimes annuellement.
 
Une façon de se protéger contre ce type de cancer est de manger beaucoup de fruits. Si le sucre augmente les risques, la consommation régulière de fruits, elle, diminue les chances d’être malade.
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Le sel des charcuteries augmente les risques de cancer du côlon

Encore une fois, les charcuteries sont pointées du doigt. Ces viandes sont considérablement transformées. On leur ajoute du sel, des nitrites et on les colore. Ces procédés favorisent l’augmentation des lésions précancéreuses au côlon.

 

Selon une étude des chercheurs de l’Institut national de recherches agronomiques (INRA) de Toulouse, qui portait sur le lien entre la consommation de charcuteries et le cancer, on a découvert une association de quatre facteurs qui favoriseraient l’apparition de la maladie.

Il y a la coloration de la viande, l’ajout de nitrites, la cuisson et l’oxydation. Ces facteurs augmentent significativement les risques de cancer du côlon.

Par exemple, pour le jambon cuit, la transformation de l’hème (molécule à l’origine de la couleur rouge de la viande) augmente l’apparition d’agents cancérigènes lors de la fabrication.

On croit que cette découverte pourrait favoriser la mise en place de nouveaux processus de fabrication et de nouvelles stratégies de prévention.

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L’exposition aux pesticides durant la grossesse augmente les risques de cancer chez l’enfant

Après avoir analysé de nombreuses études sur le sujet, l’organisation Chemicals, Health and Environment Monitoring Trust (CHEM Trust) conclut qu’une exposition aux pesticides durant la grossesse augmente considérablement les chances que l’enfant développe un cancer.

Les risques sont plus grands pour les cancers du cerveau, les leucémies et les lymphomes.

On a noté que les enfants américains qui vivaient dans des régions agricoles avaient plus de chances de développer un cancer.

Les pesticides auraient également un impact sur la santé au cours de l’enfance, mais aussi avant même la conception.

On affirme que 1 enfant sur 500 aura un cancer avant l’âge de 15 ans dans les pays industrialisés et pour la moitié d’entre eux, ce sera avant qu’ils aient célébré leur 6e anniversaire.

Ce n’est pas la première fois que les pesticides présentent un problème pour les femmes enceintes. Récemment, une étude révélait qu’une exposition durant la grossesse était liée à des troubles d’hyperactivité avec déficit de l’attention chez les enfants.

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Les dangers des scanneurs corporels auraient été sous-estimés

Il semblerait que les dangers des rayons X des scanneurs corporels, installés dans certains aéroports, aient été sous-estimés.
 
Selon les experts, ce type de technologie pourrait provoquer des cancers de la peau et serait particulièrement dangereux pour les enfants.
 
Bien que le rayon soit émis à faible dose, celui-ci se concentre sur la peau, un des organes les plus sensibles du corps humain. Ainsi, la dose serait supérieure de 20 fois à ce qui a été estimé au départ.
 
Selon le responsable du centre de recherche radiologique de l’Université Columbia, le Dr David Brenner, les risques sont tout de même faibles, mais il demande fortement à ce que l’on effectue des tests supplémentaires sur les scanneurs.
 
Selon lui, les enfants et des individus avec certaines mutations génétiques sont plus à risques avec les rayonnements, car ils sont incapables de réparer les dommages que les rayons causeraient à leur ADN.
 
Le plus gros problème avec les scanneurs corporels serait le cancer de la peau, mais les autorités insistent sur le fait que cette technologie est sécuritaire.
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L’huile d’olive prévient le cancer du sein

En voulant savoir pourquoi les personnes adoptant un régime alimentaire riche en huile d’olive avaient moins de cancer, des chercheurs espagnols de l’Université Autònoma de Barcelone ont découvert que l’huile d’olive était particulièrement efficace contre le cancer du sein.
 
En fait, il ne suffirait que d’un filet d’huile par jour pour que cela soit efficace. L’huile attaque sur plusieurs fronts les tumeurs et retarde leur croissance, forçant la destruction des cellules. De plus, elle protège des dommages potentiellement cancéreux sur l’ADN.
 
Après avoir fait des expériences sur des rats, les chercheurs ont constaté que l’huile déjoue un gène qui favorise la croissance des tumeurs au sein. De plus, l’huile d’olive freine aussi un gène à l’origine du durcissement des artères et des maladies cardiaques.
 
Ce n’est pas la première fois que l’on prône les bienfaits d’un régime méditerranéen, qui contient beaucoup d’huile d’olive notamment. Ce type de régime faible en viande rouge et en produits laitiers a des effets préventifs sur les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’Alzheimer et le Parkinson.