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Les méfaits du cannabis sur l’ADN

Une nouvelle étude menée par le Dr Rajinder Singh de l’Université de Leicester, en Angleterre, démontre que fumer du cannabis modifie le bagage génétique et augmente ainsi les risques de cancer.

Selon les chercheurs, la fumée de marijuana contient 50 % plus d’éléments cancérigènes que celle de la cigarette.

« Fumer trois à quatre joints quotidiennement entraîne les mêmes dégâts au niveau des membranes muqueuses des bronches que de fumer 20 cigarettes par jour », ont annoncé les auteurs de cette étude dont tous les détails se retrouvent dans la revue Chemical Research in Toxicology.

« Nos résultats prouvent que l’ADN peut être endommagé par la fumée de marijuana et la consommation de cannabis peut affecter la santé et potentiellement causer le cancer », ont-ils conclu.

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Des analgésiques contre le cancer de la prostate

Selon la Dre Jennifer St. Sauver, qui oeuvre pour la Clinique Mayo au Minnesota, des analgésiques comme l’aspirine et l’ibuprofène protègent les hommes contre un éventuel cancer de la prostate.

Malgré ces résultats, la chercheuse met en garde les hommes de ne pas consommer ce type de médicaments au-delà des recommandations, en raison des effets secondaires, notamment sur le système digestif.

« Nos résultats démontrent que si les hommes prennent ce type de médicaments, cela peut prévenir contre des maladies urologiques », a fait savoir la Dre St. Sauver qui précise que ces antidouleurs diminuent de 50 % le risque d’hypertrophie bénigne de la prostate.

De plus, ce type de médicaments représente un résultat inférieur de 10 % au test PSA utilisé pour détecter le cancer de la prostate.

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Un nouveau marqueur lié au cancer de la prostate

Une recherche, qui sera publiée dans Cell Cycle, nous apprend la découverte d’un nouveau marqueur lié au cancer de la prostate, à un stade avancé.

Le Dr Michael Lisanti et son équipe, de la Faculté de médecine de l’Université Thomas Jefferson à Philadelphie, ont analysé des échantillons prélevés chez des patients souffrant d’un cancer de la prostate.

Ils ont découvert la baisse marquée d’une protéine appelée caveolin-1 chez les sujets. Lorsque le taux de cette protéine est bas, les résultats du test Gleason, qui sert à diagnostiquer le cancer de la prostate, sont élevés.

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Un nouveau traitement pour la peau

Le fluorouracile, un médicament utilisé pour traiter le cancer, soulage les brûlures causées par le soleil lorsqu’il est appliqué en crème sur la peau et réduit ainsi le risque de cancer de la peau.

Dans une recherche publiée dans Archives of Dermatology, on apprend que ce traitement innovateur a provoqué un changement notable de l’apparence de la peau chez 21 patients qui ont participé à cette étude. Parmi ceux-ci, on note une diminution des rides et des taches plus foncées sur la peau.

Les participants souffraient de kératite actinique ou de lésions cutanées causées par une trop grande exposition aux rayons UVB.

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D’autres facteurs de risque du cancer colorectal

Des scientifiques du George Institute for International Health en Australie ont démontré que la consommation d’alcool, le tabagisme et le diabète augmentaient l’incidence de cancer colorectal, tout comme l’obésité et la consommation de viande rouge.

Si la pratique d’un sport fait chuter ce risque, manger plus de fruits et de légumes ne change rien, selon les chercheurs.

« La majorité des gens savent qu’un surplus de poids et de mauvaises habitudes alimentaires sont des facteurs de risque de la maladie, mais ils ignorent que d’autres habitudes de vie, comme la consommation d’alcool, fumer la cigarette et le diabète, contribuent également à augmenter le risque », a observé l’auteure de ces résultats, Rachel Huxley.

À titre d’exemple, 7 verres d’alcool par semaine augmentent de 60 % le risque de cancer colorectal comparativement à ceux qui ne boivent pas.

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Cancer du sein et viande rouge

Des chercheurs associés à la Faculté de médecine Albert Einstein de l’Université Yeshiva aux États-Unis prétendent qu’une alimentation riche en viande rouge n’augmente pas l’incidence de cancer du sein chez les femmes postménopausées.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Geoffrey C. Kabat a analysé les dossiers médicaux de 120 755 femmes américaines en fonction de leur alimentation.

Dans cette étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale International Journal of Cancer, on apprend que les diverses techniques de cuisson, même sur barbecue, ne causent pas davantage de cancer du sein.

Malgré ces résultats, le Dr Kabat croit que d’autres recherches sur le sujet devront être menées, particulièrement auprès des jeunes femmes, afin de mieux comprendre l’exposition dès un jeune âge aux mutagènes dans la viande rouge.

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Modifier son alimentation prévient le cancer de la prostate

Selon une nouvelle publiée dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics, une alimentation faible en gras et en viandes rouges, mais riche en fruits et légumes, serait grandement bénéfique pour la prévention du cancer de la prostate.

On a étudié les recommandations nutritionnelles pour la prévention, mais également pour les patients déjà atteints. Une telle alimentation aide au traitement de la maladie.

En outre, la tomate, le chou-fleur, le brocoli, le thé vert, les vitamines, dont la E, et le sélénium diminueraient les risques de développer ce type de cancer.

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Un antidiabétique contre le cancer

Une recherche menée par des chercheurs de l’Université McGill et de l’Université de Pennsylvanie a démontré que le metformine, un traitement contre le diabète, agit sur le système immunitaire au point d’augmenter l’efficacité des vaccins et des traitements anticancéreux.

Selon les Drs Russell Jones, Yongwon Choi et Erika Pearce, le metformine augmente l’efficacité des lymphocytes T du système immunitaire qui se souviennent des pathogènes mis en cause lors d’infections ou de vaccinations antérieures, ce qui leur permet d’assurer une réponse plus rapide et plus efficace en cas de réinfection.

« Plusieurs des gènes qui interviennent dans la régulation du diabète jouent aussi un rôle dans la progression du cancer. Un grand nombre de données laisse par ailleurs penser que les diabétiques sont davantage sujets à certaines formes de cancer. Néanmoins, notre étude est la première à suggérer qu’en ciblant les mêmes voies métaboliques jouant un rôle dans le diabète, on peut altérer positivement la capacité de réponse du système immunitaire », a observé le Dr Jones.

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Les exigences de la Coalition Priorité Cancer

La Coalition Priorité Cancer a réagi devant l’étude du président de l’Association des pathologistes du Québec, le Dr Louis-A. Gaboury, qui a démontré qu’un taux important de tests de marqueurs du cancer du sein étaient incorrects.

L’organisme exige donc que le ministère de la Santé et des Services sociaux fasse réviser immédiatement tous les tests de laboratoire pour diagnostiquer le cancer du sein. « Il faut rassurer les femmes qui ont eu un diagnostic du cancer du sein que tous les moyens sont pris pour vérifier que les tests de laboratoire sont fiables », ont mentionné le Dr Pierre Audet-Lapointe et Nathalie Rodrigue, porte-parole de la Coalition.

Pour l’organisme, les résultats obtenus par le Dr Gaboury sont suffisants pour créer un doute sur la validité des tests de marqueurs. La Coalition souscrit d’ailleurs à la mise sur pied d’un programme complet de contrôle de la qualité des laboratoires, comme le recommande l’Association des pathologistes du Québec.

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Des diagnostics erronés du cancer du sein

Le président de l’Association des pathologistes du Québec, le Dr Louis A. Gaboury, a mentionné à Radio-Canada que bien des Québécoises risquent de recevoir un faux diagnostic du cancer du sein en raison des tests menés en laboratoire.

Le scientifique a testé l’efficacité des tests de marqueurs du cancer du sein, utilisés dans les 25 plus importants laboratoires du Québec, qui permettent de déterminer si le cancer de la patiente est hormonodépendant. Dans un tel cas, la patiente peut être traitée à l’hormonothérapie ou l’Herceptin.

M. Gadoury prétend que 15 à 20 % des tests sur les marqueurs pour l’hormonothérapie étaient erronés et que ceux pour les marqueurs pour le Herceptin avaient un taux d’erreur de 30 %.

Ce phénomène entraîne alors un faux diagnostic de traitement dont les coûts ne sont pas sans conséquence. « S’il y a 10 % de variation, ce qui veut dire que ce test est fait de façon routinière, qu’il y a des milliers de patientes qui ont des cancers du sein au Québec, ça veut dire qu’il y a plusieurs centaines de patientes au Québec qui ont, peut-être, un résultat qui n’est pas correct », a-t-il déploré.