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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Lueur d’espoir pour le traitement du cancer

La Dre Katherine Borden, de l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC) de l’Université de Montréal, a publié les résultats de sa recherche concernant l’efficacité de la ribavirine, un antiviral, dans le traitement de patients atteints de cancer.

Selon la chercheuse, ce médicament agit sur le gène eIF4E qui est déréglé dans 30 % des cancers.

« Les résultats que nous avons obtenus sont les premiers à montrer que le ciblage du gène eIF4E chez l’humain procure des bienfaits cliniques. Nous avons non seulement démontré que la ribavirine bloque l’activité du gène eIF4E, mais aussi constaté qu’elle n’avait aucun effet indésirable chez les patients », a fait savoir la Dre Borden.

Tous les participants à l’étude souffraient de leucémie myéloïde aiguë M4 ou M5 pour laquelle aucun traitement n’avait été efficace jusqu’ici. « Nous avons observé un degré spectaculaire d’amélioration de l’état des patients, y compris des rémissions partielles et complètes », ont conclu les chercheurs.

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La pollution et le code génétique

Selon le Dr Andrea Baccarelli de l’Université de Milan, la pollution atmosphérique, aussi minime soit-elle, a pour conséquence de modifier le bagage génétique d’un individu et de le rendre plus à risque de souffrir de diverses maladies, dont le cancer.

Pour arriver à ces conclusions, le Dr Baccarelli a comparé des échantillons d’ADN de travailleurs en bonne santé, mais exposés à des taux élevés de monoxyde de carbone. Après seulement trois jours à respirer l’air pollué, le chercheur croit que quatre gènes associés à des tumeurs ont été modifiés.

« Les facteurs environnementaux agissent assez rapidement pour reprogrammer les gènes, ce qui peut augmenter le risque de maladies », a fait savoir le scientifique qui croit que ces dommages ne sont toutefois pas permanents.

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Du gingembre contre les nausées

Une fois de plus, une recherche réussit à prouver les vertus du gingembre sur le système digestif. En effet, la Dre Julie Ryan, de l’Université de Rochester à New York, affirme que cette célèbre racine diminue les nausées provoquées par les traitements de chimiothérapie chez des patients cancéreux.

644 sujets souffrant de nausées à cause de la chimiothérapie ont participé à cette étude. Le quart d’entre eux ont pris des comprimés de gingembre à raison de 1 à 1 ½ gramme quotidiennement. Par la suite, on leur a demandé d’évaluer leurs nausées.

La majorité d’entre eux ont avoué se sentir beaucoup mieux après les traitements de chimiothérapie et ont évalué en moyenne que les effets secondaires liés au traitement avaient diminué de 40 %.

La Dre Ryan précise toutefois que les biscuits ou encore les boissons gazeuses à base de gingembre ne sont pas efficaces puisque c’est une saveur artificielle qui a été ajoutée.

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Des nutriments sans effet sur le cancer

Selon des chercheurs ontariens, la vitamine E, le sélénium et le soya ne préviennent nullement l’apparition du cancer de la prostate.

« Plusieurs données scientifiques suggéraient que ces nutriments pouvaient avoir un impact notoire dans la prévention du cancer de la prostate. Nous avions vraiment espoir que ce soit l’élément magique qui agirait contre le cancer, mais malheureusement, ce n’est pas le cas », a souligné l’auteur principal de cette recherche, le Dr Neil E. Fleshner de l’Université de Toronto.

Le Dr Fleshner a travaillé avec 303 hommes ayant des lésions précancéreuses, à qui il a donné de la vitamine E, du sélénium et du soya. Au fil des ans, les candidats ont passé des biopsies qui n’ont révélé aucune amélioration notoire dans la rémission du cancer de la prostate.

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Prévenir le cancer avec des noix

Selon ce que rapporte ScienceDaily, la consommation de noix fournirait au corps des acides gras oméga-3 essentiels, des antioxydants et des phytostérols, ce qui réduirait les risques de cancer du sein. 

Les résultats de cette recherche ont été dévoilés par l’Association américaine de la recherche sur le cancer lors de la 100e réunion annuelle qui a eu lieu cette année.

Elaine Hardman, professeure de médecine, affirme que même si cette étude a été réalisée avec des animaux en laboratoire, la population devrait suivre la recommandation de manger plus de noix.

Les tests qui ont été faits ont prouvé que la consommation de noix réduisait considérablement les tumeurs aux seins, le nombre de glandes atteintes par une tumeur ainsi que la taille des tumeurs.

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L’acupuncture pour les patients cancéreux

Selon le Dr Mark S. Chambers, de la Faculté d’oncologie dentaire de l’Université du Texas, les traitements d’acupuncture pourraient enlever l’impression de bouche sèche provoquée par les traitements de radiation chez des sujets souffrant d’un cancer à la tête.

« La qualité de vie des patients qui se plaignaient de xérostomie a grandement été améliorée. Ce type de trouble s’accompagne aussi de caries dentaires, d’infections buccales et de difficultés à parler, manger et avaler », a souligné le Dr Chambers.

Cette étude a été menée auprès de 19 patients qui ont reçu 2 traitements d’acupuncture hebdomadaires pendant 4 semaines. Leur état s’est grandement amélioré au cours de la recherche, dont tous les détails se trouvent dans le site Web de Head & Neck.

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Gare à la viande trop cuite!

Des chercheurs de l’Université du Minnesota affirment que la viande rouge trop cuite, comme celle cuite sur BBQ, pourrait être associée à un risque de cancer du pancréas 60 % plus élevé.

« Nos résultats prouvent qu’il est préférable de baisser la température lors de la cuisson pour éviter de calciner la viande afin que les gens diminuent leur risque de souffrir d’un cancer du pancréas », a fait savoir l’un des auteurs de l’étude, la Dre Kristin Anderson.

Selon la scientifique, qui a travaillé avec 62 000 adultes en excellente santé, la viande trop cuite contient des produits chimiques associés au cancer, comme des acides hétérocycliques.

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Le café et le thé diminuent les risques de cancer de l’utérus

Une récente étude, menée par la Dre Susan E. McCann et son équipe du Roswell Park Cancer Institute à Buffalo, démontre que les femmes qui boivent quelques tasses de café ou de thé tous les jours ont moins de risque de développer le cancer de l’endomètre.

Ce cancer se pose sur les muqueuses de l’utérus. Différents facteurs, comme l’âge, l’obésité, la fin de la ménopause ou l’hormonothérapie après la ménopause, augmentent les risques de la maladie.

Sur 1 100 femmes interrogées, les chercheurs ont découvert que les buveuses de café et de thé avaient moins de risque de développer ce type de cancer que celles qui n’en consommaient pas. Par exemple, une femme qui boit du thé, à raison de plus de deux tasses par jour, a un risque 44 % moins élevé de contracter la maladie.

Sans savoir exactement comment ces boissons agissent à titre de protection, les chercheurs mentionnent toutefois que la caféine s’induit dans certaines enzymes qui aideraient à neutraliser les substances potentiellement cancérigènes. Ils ajoutent que le café et le thé ont tous deux des antioxydants qui protègent les cellules.