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De l’encens contre le cancer

Une recherche, dont les détails sont publiés dans le site Web BMC Complementary and Alternative Medicine, fait état des vertus de l’encens que l’on utilise pour détruire les cellules vésicales cancéreuses chez les patients atteints de cancer de la vessie.

« L’encens représente une thérapie alternative bon marché pour les patients souffrant d’un cancer de la vessie », a souligné l’auteur derrière cette découverte, le Dr Hsueh-Kung Lin de l’Université d’Oklahoma.

Il semble toutefois que l’usage de l’encens en matière de cancer soit contesté par certains membres de la communauté scientifique. En effet, une étude publiée en septembre dernier affirmait qu’il pouvait augmenter le risque de certains types de cancer, comme celui de la langue, des sinus et de la bouche.

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Les vertus du thé vert et des champignons

Une recherche menée auprès de plus de 2 000 Chinoises par la Dre Min Zhang, de l’Université Western Australia à Perth, démontre qu’une alimentation riche en thé vert et en champignons préviendrait le cancer du sein.

Selon la scientifique, 10 grammes ou plus de champignons frais consommés quotidiennement diminuent de près de 66 % le risque de ce type de cancer, comparativement aux femmes qui n’en mangent jamais.

Quant au thé vert, l’incidence de cancer du sein chute de 11 à 18 % chez les patientes friandes de la boisson.

« Malgré ces résultats, il est encore trop tôt pour que les femmes concluent que leur alimentation leur permettra d’éviter le cancer », a mis en garde la chercheuse, dont la recherche est publiée dans International Journal of Cancer.

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Un test sanguin pour le cancer de l’ovaire

Des essais cliniques, menés auprès de 200 000 femmes âgées de 50 à 74 ans, ont permis de vérifier l’efficacité d’un test sanguin pour diagnostiquer plus rapidement le cancer de l’ovaire.

L’équipe de chercheurs, dont le Dr Ian Jacobs, prétend avoir diagnostiqué deux ans plus tôt que la normale ce type de cancer dans presque la moitié des cas.

Alors qu’on évalue qu’environ 100 000 femmes décèdent chaque année du cancer de l’ovaire, l’importance de diagnostiquer la maladie à un stade précoce prend toute son importance. En effet, le taux de survie n’est que de 30 % lorsque le diagnostic arrive après la prolifération des cellules cancéreuses.

Pour le moment toutefois, il semble que les coûts élevés de ce fameux test doivent être évalués en fonction des bénéfices rapportés.

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Lien entre le groupe sanguin et le cancer du pancréas

Tout dépendant de votre groupe sanguin, votre incidence de cancer du pancréas pourrait augmenter, selon des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Harvard de Boston.

En effet, les personnes de type O ont un risque moindre de ce type de cancer, tandis que celles de type B ont le plus grand risque d’être touchées par la maladie.

Ces données, qui sont publiées dans le Journal of the National Cancer Institute, sont basées sur l’analyse de 107 503 dossiers médicaux d’adultes.

Pour l’auteur principal, le Dr Brian Wolpin, ces résultats n’auront pas, à court terme, une incidence sur le traitement de ce cancer, mais peuvent à tout le moins faciliter le diagnostic du cancer du pancréas.

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L’acide folique lié au cancer de la prostate

Une recherche menée pendant 10 ans, dont les résultats sont publiés dans le Journal of the National Cancer Institute, mentionne que les hommes qui prennent trop de suppléments d’acide folique sont plus à risque d’être touchés par le cancer de la prostate.

Selon l’auteur de cette étude, la Dre Jane Figueiredo de l’Université de Southern California, ce risque de cancer est toutefois minime quand on le compare avec des candidats qui prennent les quantités recommandées d’acide folique.

« Nos résultats démontrent que trop d’acide folique n’est pas nécessairement bénéfique, alors qu’une quantité normale peut l’être », a souligné la chercheuse.

643 hommes ont participé à cette recherche à partir de laquelle on conclut que l’incidence de cancer de la prostate est en hausse de 9,7 % lorsque les participants consomment quotidiennement 1 mg de la vitamine.

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Un gène à l’origine du cancer

Des chercheurs espagnols et suédois ont complété une étude sur le rôle que joue le gène p53 dans les cas de cancers et les résultats sont publiés dans la revue Molecular Cell.

Habituellement, le gène p53produit une protéine qui s’assure que la cellule répare ce qui est endommagé ou meure si son ADN est touché. Lorsque le p53 est lui-même en mauvais état, les cellules abimées peuvent se multiplier et mener à un cancer.

Comme le gène p53 est celui qui est le plus modifié dans les cas de cancers, son mauvais fonctionnement serait responsable de la moitié des tumeurs.

Or, de récentes études démontrent qu’un autre gène, le Wrap53, joue un rôle dans le travail du p53. Le Wrap53 crée une molécule nécessaire à la production de la protéine du p53. Des dommages sur le Wrap53 mèneraient donc, indirectement, à des cas de cancers, car si ce gène est bloqué, le p53 ne peut plus fournir sa protéine.

On souhaite pousser plus loin les recherches afin de mieux comprendre le rôle de chaque gène et la régulation du p53. Avec une meilleure connaissance, on espère pouvoir développer de nouveaux traitements.

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Nouvelle alternative pour guérir le cancer

Sans délaisser les traitements de la médecine conventionnelle, il existe maintenant une alternative dans la pratique de la guérison des patients atteints d’un cancer.

Le Bryomixol est introduit dans les traitements par une gamme de produits entièrement naturels qui sont utilisés, avec les méthodes occidentales, pour stabiliser et assurer le bien-être des patients.

Développé en Allemagne il y a de cela plusieurs décennies, le produit était utilisé dans la prévention du cancer et d’autres maladies. Le Bryomixol actuel, un mélange de substances végétales et minérales, a toutefois été développé en Amérique centrale.

Naturellement, le Bryomixol n’abandonne pas la procédure sécuritaire et la structure de la médecine conventionnelle, mais il aide le système immunitaire à lutter contre les cellules cancéreuses.

Les médecins doivent par contre s’assurer de vérifier si le traitement convient à leurs patients.

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De bonnes habitudes pour prévenir le cancer

Le chercheur Michael Marmot, de l’American Institute for Cancer Research, affirme que de saines habitudes de vie permettent de réduire du tiers l’incidence de cancer.

Convaincu que les gens peuvent prévenir l’apparition de la maladie, le Dr Marnot indique qu’une alimentation équilibrée, un programme d’exercices régulier et un poids santé diminuent de 40 % le risque de cancer du côlon et du sein.

22 autres experts ont travaillé avec M. Marmot à décortiquer les habitudes de vie liées à différents types de cancer, dont celui des poumons. Leurs conclusions vont dans le même sens que celles de la World Health Organization, qui recommande une alimentation riche en fruits et légumes, en produits de grains entiers, avec moins de portions de viandes.

« Notre étude démontre qu’en apportant des changements significatifs au quotidien, on peut réduire le nombre de cas de cancer », a conclu le Dr Marmot.

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L’infertilité masculine associée au cancer du testicule

Une recherche, publiée dans Archives of Internal Medicine, mentionne que les hommes infertiles ont plus de chances de recevoir un diagnostic du cancer du testicule.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Thomas J. Walsh a analysé les dossiers médicaux de 22 500 hommes en couple ayant fait appel à des traitements de fertilité entre 1967 et 1998, pour ensuite comparer le taux de cancer chez ces candidats.

Les chercheurs concluent que ces hommes étaient 1,3 fois plus à risque de souffrir de ce type de cancer, comparativement à la population masculine en bonne santé.

Selon la Société canadienne du cancer, environ 24 700 hommes ont reçu un diagnostic de cancer du testicule en 2008 et 4 300 devraient en mourir.

 

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Un verre de trop

Une recherche, publiée dans le Journal of the National Cancer, nous apprend que l’incidence de cancer chez les femmes augmente de 13 % lorsqu’elles consomment quotidiennement un verre d’alcool.

 

Ce risque augmente de 6 % pour chaque consommation supplémentaire bue par jour.

Alors que des études antérieures avaient prouvé le lien entre la consommation d’alcool et le cancer du sein, celle-ci est la première à démontrer que l’alcool, même consommé de façon modérée, peut exacerber d’autres types de cancer, comme ceux du foie et du colon.

À titre d’exemple, l’incidence du cancer du sein augmente de 12 % pour chaque verre d’alcool, tandis qu’il grimpe à 29 % pour le cancer de la bouche.

1,3 million de femmes ont participé à cette vaste recherche menée entre 1996 et 2001.