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Les risques associés au mélanome

Le risque d’être frappé par un autre type de cancer est doublé lorsque les patients ont déjà souffert de mélanome, la forme la plus virulente du cancer de la peau, nous apprend une étude publiée dans le British Journal of Cancer.

Afin d’identifier le risque d’être touché par une autre forme de cancer, les scientifiques de l’Université Queen de Belfast ont analysé 21 000 sujets ayant été traités pour des cancers non mélaniques de la peau et 1 800 ayant reçu un diagnostic de mélanome malin.

Dans le premier groupe de participants, ce risque était 57 % plus élevé que dans le reste de la population, alors qu’il doublait chez les patients traités pour un mélanome.

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Les effets anticancer du café

Une étude, menée par le Dr Toru Naganuma et son équipe de l’Université de Tohoku au Japon, démontre que boire une tasse de café par jour diminue l’incidence de cancer de la bouche et de la gorge.

38 000 participants, âgés de 40 à 64 ans et sans antécédent de cancer, ont été suivis pendant 13 ans pour cette recherche. Au cours des années, 157 diagnostics de cancer de la bouche, du pharynx ou de l’oesophage ont été répertoriés.

Les chercheurs ont observé que les buveurs de café avaient 50 % moins de chance de souffrir de ces types de cancer comparativement aux sujets qui ne buvaient pas le breuvage.

Selon les scientifiques, cesser de consommer de l’alcool et des cigarettes est encore le meilleur moyen de prévenir l’apparition de ces formes de cancer.

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Découverte génétique en matière de cancer du sein

Une recherche publiée dans la revue scientifique Cancer Cell nous apprend qu’une mutation génétique du gène MTDH chez les femmes atteintes d’un cancer du sein sévère empêche la prolifération des cellules cancéreuses, ce qui augmente le taux de survie de ces patientes.

« Non seulement nous avons identifié un gène associé à la métastase, mais celui-ci nous permettra éventuellement de trouver un traitement qui bloquera la multiplication des cellules cancéreuses », a souligné le Dr Michael Reiss de l’Institut du cancer du New Jersey.

Cette découverte est importante, dans la mesure où 98 % des femmes touchées par un cancer du sein qui ne se propage pas ont un taux de survie de plus de 5 ans, alors que le taux passe à 27 % chez les personnes dont le cancer se répand à d’autres organes.

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L’obésité et le cancer des ovaires

Une étude, publiée dans la revue Cancer, nous apprend que les femmes obèses qui n’ont jamais suivi d’hormonothérapie lors de la ménopause sont plus à risque de souffrir du cancer des ovaires que les femmes dont le poids est dans la normale.

Cette conclusion ne s’applique toutefois pas aux femmes obèses qui ont pris de l’estrogène lors de la ménopause.

« Voilà une autre recherche qui démontre la relation entre l’obésité et les cancers qui touchent les femmes », a souligné le Dr Jay Brooks, qui pointe également du doigt le tabagisme pour augmenter l’incidence de cancer.

95 000 Américaines âgées de 50 à 71 ans ont participé à cette étude menée par une équipe de chercheurs du U.S. National Cancer Institute. Celles dont l’indice de masse corporelle était de 30 et plus avaient 26 % plus de risque de développer un cancer des ovaires que les participantes ayant un poids santé.

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Un nouveau traitement pour le cancer de la prostate?

Selon le Dr Israel Barken et ses collègues, la noscapine, un dérivé de l’opium, réduit de 60 % la progression du cancer de la prostate chez des souris, qui n’ont pas souffert d’effets secondaires au cours du traitement.

Pour cette recherche, publiée dans la revue Anticancer Research, 10 rongeurs ont consommé quotidiennement de l’eau enrichie de noscapine pendant 56 jours.

Une autopsie a ensuite permis de déterminer que, chez les souris qui avaient bu la substance, les cellules cancéreuses étaient moins nombreuses que chez celles qui n’avaient bu que de l’eau.

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Feu vert au Degarelix

Un nouveau médicament injectable contre le cancer de la prostate, le Degarelix, a reçu l’autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) américaine pour être commercialisé au pays de l’oncle Sam.

Ce traitement, qui vise les patients atteints d’un cancer à un stade avancé, inhibe la production de testostérone, ce qui ralentit la progression des cellules cancéreuses.

« Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus mortel chez les hommes aux États-Unis et nous avons besoin de traitements supplémentaires pour ces patients », a noté le Dr Richard Pazdur, qui oeuvre pour la FDA.

Parmi les traitements offerts aux hommes qui souffrent du cancer de la prostate, il y a l’ablation, la radiation, la chimiothérapie et l’hormonothérapie.

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Les vertus anticancer de l’huile d’olive

Une recherche, dont les détails sont publiés dans BMC Cancer, démontre que l’huile d’olive extravierge a des vertus anticancer du sein.

Des chercheurs espagnols ont divisé l’huile d’olive en fractions, les lignanes et les sécoiridoïdes, et ont découvert que les polyphénols de l’huile inhibaient le gène HER2 associé au cancer du sein.

« Notre étude est la première du genre à démontrer clairement que les polyphénols dans l’huile d’olive diminuent radicalement l’effet du gène HER2 dans les cellules humaines », a souligné le Dr Javier Menendez de l’Insitut catalan d’oncologie.

Le Dr Menendez affirme toutefois que ces résultats devront être corroborés avec ceux de d’autres recherches.

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Le bonheur conjugal et le cancer du sein

Une étude, publiée dans la revue scientifique Cancer, nous apprend que les femmes dont l’union bat de l’aile ont un niveau plus élevé de stress, font moins d’activité physique, sont traitées plus longtemps et ont des symptômes plus sévères du cancer du sein que les patientes heureuses en amour.

« Le bonheur conjugal ne devrait pas être le premier élément dont les femmes se soucient quand on leur annonce le diagnostic, mais il est évident qu’un mariage heureux les aide à mieux traverser cette épreuve, tant physiquement qu’émotionnellement », a mentionné la Dre Hae-Chung Yang, chercheuse à l’Université de l’Ohio.

La Dre Yang soutient que le stress causé par le diagnostic est moindre chez les femmes heureuses.

100 femmes cancéreuses ont participé à cette recherche. Parmi elles, 72 avouaient connaître un mariage heureux.

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L’hormonothérapie et la radiation

Des chercheurs suédois affirment que les hommes souffrant d’un cancer de la prostate devraient envisager une double thérapie s’ils souhaitent augmenter leurs chances de survie.

L’hormonothérapie et des traitements de radiothérapie devraient être jumelés afin de réduire le taux de mortalité lié à ce type de cancer, soutient le Dr Anders Widmark de l’Université Umeå, même si le degré de sévérité est considérable.

875 hommes souffrant d’un cancer avancé de la prostate ont participé à cette recherche. Ces derniers ont consommé du Eulexin (flutamide), qui bloque la sécrétion d’androgène, une hormone qui favorise la propagation du cancer de la prostate. Après 10 ans, 23,9 % des sujets qui suivaient uniquement l’hormonothérapie étaient décédés, tandis que 11,9 % des participants sont morts quand ils suivaient la double thérapie.

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Des fruits et légumes contre le cancer

Une recherche, publiée dans le Journal of Clinical Oncology, nous apprend que le risque de récidive du cancer du sein chute du tiers lorsque l’alimentation des patientes est riche en fruits et en légumes.

Ce sont toutefois uniquement les femmes qui souffrent de bouffées de chaleur à la suite de leur chimiothérapie qui sont touchées par cette découverte, a précisé l’une des auteurs de cette étude, la Dre Ellen B. Gold de l’Université de la Californie.

Ce phénomène s’explique par le fait que 5 portions quotidiennes et plus de fruits et légumes diminuent le taux d’oestrogène dans l’organisme, alors que cette hormone augmente le risque de cancer du sein.