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Vaste étude canadienne sur le cancer du poumon

L’Institut de Recherche Terry Fox (IRTF) et le Partenariat Canadien contre le cancer lancent une étude qui sera effectuée auprès de 2 500 fumeurs et ex-fumeurs canadiens. L’objectif de cette recherche est de mieux détecter et traiter le cancer du poumon, qui est le type de cancer causant le plus de décès au pays.

Grâce aux questionnaires combinés à des tests sanguins et d’haleine, les chercheurs ont espoir de développer une technique de détection du cancer du poumon, moins coûteuse que le scanneur CT hélicoïdal et la bronchoscopie.

« La détection précoce et le traitement du cancer du poumon sont les moyens les plus prometteurs pour réduire la mortalité du cancer du poumon. On pourrait aboutir à un taux de survie, à 5 ans de plus, de 70% au lieu de 16% actuellement. Cela correspond à 4 fois le taux de succès sans intervention précoce », ont souligné les Dr Stephen Lam et Dr Ming Tsao.

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Le bisphénol A dans la lorgnette des chercheurs

Une équipe de scientifiques de l’Université d’Exeter, en Grande-Bretagne, ont analysé les conséquences du bisphénol A (BPA), un produit chimique que l’on retrouve dans plusieurs produits de consommation, et son incidence sur la santé des personnes.

Les chercheurs ont observé que les concentrations les plus élevées de BPA dans des échantillons d’urine augmentaient de 39 % le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2 et d’anomalies des enzymes du foie.

« L’analyse de statistiques représentatives de la population adulte américaine a mis en évidence une relation entre les concentrations les plus fortes de BPA dans l’urine et un accroissement de la prévalence des maladies cardiovasculaires, du diabète et d’anomalies hépatiques », a souligné l’auteur de cette recherche, le Dr David Melzer.

1 455 sujets, de 18 à 74 ans, ont participé à cette vaste étude.

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Vaccin prometteur pour le cancer du sein

Une équipe d’oncologues de l’Université Wayne State sont en train de développer un vaccin contre le cancer du sein, qui consiste à introduire un gène qui détruit les cellules cancéreuses.

Ce gène attaque la tumeur causée par un excès de la protéine HER2, qui compte pour 20 à 30 % des cas de ce type de cancer.

Si les essais cliniques de ce traitement sont positifs, les chercheurs ont espoir qu’il puisse être utilisé pour traiter d’autres types de cancers, comme celui des ovaires et le cancer colorectal, où l’on observe une grande quantité de la protéine HER2.

Au Canada, le cancer du sein est celui qui est le plus souvent diagnostiqué chez les femmes. En 2008, on estime à 22 400 le nombre de Canadiennes qui recevront un diagnostic de cancer du sein et à 5 300 le nombre de celles qui en mourront.

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Prévenir le cancer du sein par la nutrition

Une étude, menée par le Département de nutrition de l’Université de Montréal, s’est penchée sur la relation entre l’alimentation et la prévention du cancer du sein.

Les travaux, menés par Vishnee Bissonauth, sous la supervision du professeur Parviz Ghadirian, ont permis de conclure que les fruits et légumes, les produits laitiers, la vitamine D, le calcium et les phytoestrogènes pouvaient réduire le risque de cancer du sein.

Toutefois, d’autres aliments, comme les viandes rouges, auraient l’effet contraire et augmenteraient l’incidence de cancer du sein. Le risque est accru lorsque les viandes sont grillées plutôt que bouillies ou cuites à la vapeur.

Il semble également que le nombre de calories ingérées quotidiennement joue un rôle. En effet, le risque d’être frappé par ce type de cancer augmente de 8 % si la femme prend plus de 2 000 calories par jour.

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La fumée d’encens, cancérigène ?

Des chercheurs taïwanais croient que les composés chimiques dégagés par la fumée d’encens augmenteraient le risque de cancer du poumon.

Les chercheurs prétendent que le taux de substances nocives dans l’air est 40 fois plus élevé dans un temple mal ventilé que dans une maison où l’on fume la cigarette.

De plus, l’encens génèrerait plus de pollution que celle de la circulation routière à un carrefour urbain.

Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont analysé la qualité de l’air d’un temple de Taipei. Ils y ont trouvé des concentrations 19 fois plus élevées que la normale d’hydrocarbures aromatiques polycycliques, composants hautement cancérigènes.

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Le polonium 210, caché pendant 40 ans

Pendant plus de 40 ans, les fabricants de cigarettes ont caché aux consommateurs l’existence d’un élément radioactif toxique et carcinogène, le polonium 210, dans leurs produits, selon des chercheurs oeuvrant à la Clinique Mayo de Rochester et de l’Université de Stanford.

Dès les années 1960, les industriels du tabac savaient que les cigarettes contenaient du polonium 210 et ont choisi de cacher délibérément cette information en suspendant la publication de leurs recherches internes.

Ce n’est qu’en 1998, lors d’un procès intenté au Minnesota contre les fabricants, que la communauté scientifique a eu accès à 50 millions de pages de documents tenus secrets par les cigarettiers.

Une note interne datant de 1978 mentionnait qu’il valait mieux taire la présence du polonium-210 dans les produits du tabac : « Nous risquerions de réveiller un géant endormi! »

Accusées de jouer à l’autruche et de minimiser les risques associés à la cigarette, les compagnies de tabac devraient afficher la mention « Produit radioactif » sur leurs paquets de cigarettes, recommandent les chercheurs.

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L’effet domino du cancer de la peau

Le Dr Anthony Alberg, de la faculté de médecine de l’Université de Caroline du Sud, affirme que le cancer bénin de la peau, donc sans mélanome, double l’incidence de souffrir d’autres types de cancer.

769 patients ayant souffert de cancer de la peau sans mélanome ont participé à cette recherche qui a duré 16 ans.

Le taux de cancer chez ces sujets était de 293,5 pour 10 000 personnes, comparativement à 77,8 pour 10 000 chez le groupe test.

Le risque semble plus élevé chez les patients âgés de 25 à 44 ans et le Dr Alberg n’a pas émis d’hypothèse pour expliquer ce phénomène.

Selon la Société américaine du cancer, environ un million d’Américains reçoivent un diagnostic de cancer de la peau chaque année, ce qui en fait le cancer le plus fréquent.

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Homologation américaine pour le Previstage

Une filiale de DiagnoCure Inc., DiagnoCure Oncology Laboratories, a annoncé hier (26 août) qu’elle avait reçu l’homologation américaine Clinical Laboratory Improvement Amendments (CLIA) pour son test de dépistage contre le cancer colorectal, Previstage.

« Cette homologation réglementaire est une réalisation majeure dans la stratégie de croissance de DiagnoCure, puisqu’elle nous permet de solidifier notre position de chef de file dans le marché des diagnostics moléculaires à haute valeur ajoutée pour le cancer. Nous sommes désormais en mesure de fournir, aux médecins et aux patients, un test utilisant une technologie 100 000 fois plus sensible que la méthode actuelle de stadification », a expliqué le président de la société, John Schafer.

Déjà, la promotion du test est amorcée auprès des professionnels de la santé américains et plusieurs médecins ont déjà signifié leur intérêt pour le test.

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Quand les fausses croyances nuisent à la prévention du cancer

Une recherche publiée par l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) démontre que les croyances erronées en matière de prévention du cancer persistent encore auprès de la population.

À titre d’exemple, les chercheurs citent que les participants préfèrent manger des fruits et des légumes pour mieux se protéger contre la maladie, mais ne cessent pas de consommer de l’alcool.

« Beaucoup ont des croyances erronées sur ce qui cause le cancer, et ont tendance à surestimer la menace venant de facteurs environnementaux, qui ont relativement peu d’impact, tout en minimisant les dangers de leur propre comportement », estiment les chercheurs qui ont sondé les perceptions de 30 000 sujets venant de 29 pays pour arriver à ces conclusions.

Pour 59 % des répondants, bouder les fruits et légumes équivaut à augmenter l’incidence de cancer, alors que 51 % d’entre eux ne croient pas que la consommation d’alcool est un facteur de risque.

« Les preuves scientifiques d’un éventuel effet protecteur des fruits et légumes sont beaucoup plus faibles que celles établissant le caractère nocif de la consommation d’alcool. En général, les gens ont tendance à croire que les facteurs qui ne sont pas sous leur contrôle (comme la pollution de l’air) sont plus importants que les facteurs qui dépendent de leur comportement (comme l’obésité et le tabac) », a souligné l’UICC.

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La sécurité des crèmes hydratantes remise en cause

Une étude publiée sur le site du Journal of Investigative Dermatology démontrerait que des crèmes hydratantes provoqueraient des cancers sur des souris exposées à des rayons ultraviolets.

Ces conclusions sont contestées par les sociétés de beauté. L’une d’elles, Beiersdorf, propriétaire entre autres des marques Nivea et Eucerin, rappelle qu’aucun incident avec des humains n’a été remarqué et que la comparaison entre la peau des souris utilisées et celle des humains n’est pas établie.

Beiersdorf affirme que les effets néfastes observés viendraient d’abord de l’exposition aux UVB.