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Les brocolis bons contre le cancer

Selon une étude clinique réalisée par des chercheurs britanniques et publiée aux États-Unis hier (2 juillet), la consommation régulière de brocolis diminuerait l’incidence de cancer de la prostate ou réduirait l’agressivité d’une tumeur, rapporte Cyberpresse.ca.

Le Dr Richard Mithen, qui a mené cette recherche, a permis de faire un lien entre la consommation de brocolis et les risques de développer un cancer de la prostate.

Lors de cette étude, des hommes, qui étaient plus prédisposés à développer ce type de cancer, ont consommé 400 grammes de brocoli, ou 400 grammes de pois, à chaque semaine durant 12 mois, sans modifier leur alimentation habituelle.

Les chercheurs ont effectué des prélèvements de tissu de leur prostate au début, à six mois et à douze mois, prouvant ensuite que les hommes consommant du brocoli avaient de meilleurs résultats que ceux ayant consommé des pois.

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Du benzène dans les boissons gazeuses

L’agence de santé fédérale a effectué deux tests afin de mesurer le taux de benzène dans les boissons gazeuses.

Sur une centaine de boissons évaluées, seulement trois contenaient plus de ce produit cancérigène que les normes sur l’eau potable.

Même si ces résultats n’inquiètent pas Santé Canada, le fabricant a modifié sa boisson gazeuse afin de diminuer le benzène, dont la présence a été causée par l’interaction de deux agents de conservation dans les mixtures.

Les consommateurs sont aussi invités à diluer les boissons gazeuses avec de l’eau, ce qui diminue le taux de benzène.

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Les femmes, protégées contre le cancer du côlon

Des chercheurs australiens croient que les femmes ont de meilleures chances de survivre au cancer du côlon que les hommes. Selon eux, c’est l’oestrogène qui serait en cause.

Entre 1997 et 2004, le Dr. Jenn H. Koo et ses collègues ont analysé les dossiers médicaux de 2 050 patients ayant reçu un diagnostic de cancer du côlon. 44 % d’entre eux étaient des femmes.

Celles qui étaient âgées de moins de 50 ans voyaient le risque de mourir d’un cancer du côlon chuter de moitié, comparativement à la gent masculine. Ce n’est qu’une fois la ménopause atteinte que les femmes avaient 38 % plus de risques de décéder de la maladie que les hommes, peu importe le stade d’avancement du cancer.

Les résultats complets de cette recherche sont publiés dans l’édition de juin de l’American Journal of Gastroenterology.

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Les cellulaires, dangereux?

Selon des chercheurs de l’Université catholique de Louvain, l’exposition aux téléphones portables et aux réseaux Wi-Fi double le taux de mortalité chez les rats de laboratoire.

Pendant 18 mois, les rongeurs ont subi les effets de trois niveaux d’exposition électromagnétique utilisée dans les technologies mobiles. Ceux qui faisaient partie du groupe à radiation élevée avaient un taux de mortalité de 60 %, comparativement à 29 % chez les rats qui n’étaient pas soumis à la technologie sans fil.

Cette conclusion est d’autant plus inquiétante que l’humain partage avec le rat environ 90 % de son bagage génétique. Le Dr Dirk Adang presse donc les autorités à agir auprès de la population afin de sensibiliser les gens sur les dangers possibles de cette technologie.

Des recherches supplémentaires devront toutefois être effectuées, à la lumière des autopsies qui seront pratiquées chez les 124 rats décédés lors de l’étude, afin d’établir si l’exposition aux micro-ondes a engendré un vieillissement prématuré des rats.

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Percée médicale pour le traitement du mélanome

Une recherche dont les résultats sont publiés dans le New England Journal of Medicine nous en apprend davantage sur une nouvelle technique médicale à base de lymphocytes T de type CD4+.

Cette méthode, qui s’avère très prometteuse en matière de traitement du mélanome, consiste à reproduire en laboratoire cinq milliards de cellules de ce type pour ensuite les transplanter dans l’organisme.

Le sujet de cette expérimentation menée par le Dr Cassian Yee et son équipe était un homme de 52 ans atteint d’un mélanome, dont les cellules cancéreuses s’étaient propagées dans une des glandes lymphatiques de l’aine et dans un poumon.

Deux mois après cette transplantation, toute trace de tumeur avait complètement disparu. « Nous avons été surpris par les effets antitumeur de ces cellules T CD4 et de la durée de leur réponse contre le cancer. Nous avons eu un succès avec ce malade, mais il faut encore confirmer l’efficacité de cette thérapie en effectuant une étude plus étendue », a mentionné le Dr Yee.

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Découverte en matière de chirurgie bariatrique

Une recherche, dont les résultats ont été présentés lors de la 25e réunion annuelle de l’American Society for Metabolic & Bariatric Surgery, se penche sur les effets que semble avoir la chirurgie bariatrique chez les patients atteints d’obésité morbide.

Entre 1986 et 2002, des chercheurs de l’Université McGill ont comparé le risque de cancer auprès de 1 035 patients ayant subi une chirurgie bariatrique et 5 746 patients qui n’en avaient pas subi.

« Le lien entre l’obésité et plusieurs formes de cancer est bien établi. Il s’agit de l’une des premières études à suggérer que la chirurgie bariatrique pourrait prévenir le risque de cancer chez un pourcentage statistique et clinique important de personnes obèses morbides », a observé l’auteur principal de l’étude, le Dr Nicholas Christou.

L’incidence de cancer du sein est notamment réduite de 85 %, tandis que le risque de cancer du côlon et du pancréas chute de 70 % chez les personnes ayant subi ce type d’opération. Pour le cancer de la peau, le risque baisse de 60 %.

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La marche, un exercice à adopter

Selon des chercheurs taïwanais, les patients atteints de leucémie et qui suivent des traitements de chimiothérapie sont beaucoup moins fatigués lorsqu’ils font régulièrement de la marche, à raison de 12 minutes par jour, 5 fois par semaine.

En plus de se sentir moins épuisés, les participants étaient moins stressés, anxieux ou dépressifs.

« Nos résultats démontrent qu’un programme d’exercice physique léger comme la marche devrait être entrepris par les patients dès qu’ils reçoivent des traitements de chimiothérapie », a recommandé l’auteur principal de l’étude, le Dr Yeur-Hur Lai.

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Vaste étude sur le cancer mise en branle

Le Projet de partenariat canadien contre le cancer en est à la phase de recrutement des participants à l’étude baptisée Espoir pour demain, qui s’échelonnera sur plusieurs décennies.

Les scientifiques comptent sur la participation de 300 000 volontaires âgés entre 35 à 69 ans afin d’étudier s’il existe un lien entre le cancer et leurs habitudes de vie, leur bagage génétique, leur alimentation, les facteurs environnementaux et leur milieu social.

« Cette étude représentera une contribution importante à la recherche mondiale, dont le but est d’identifier les causes qui favorisent le développement du cancer. Ultimement, les résultats de l’étude pourront nous aider à prévenir la maladie », a souligné le ministre fédéral de la Santé, Tony Clement.

Chaque année au pays, 166 400 nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués, ce qui représente une proportion de 39 % des femmes et 45 % des hommes qui seront touchés par la maladie dans leur vie, selon la Société canadienne du cancer.

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Trop d’attente avant le traitement du cancer du sein

Lors de la 5e conférence mondiale sur le cancer du sein qui se tenait à Winnipeg, le Réseau canadien sur le cancer du sein a dévoilé les résultats d’une récente enquête : plusieurs patientes souffrant du cancer du sein doivent attendre avant d’avoir accès aux traitements.

Le regroupement d’organismes déplore que les autorités de la santé n’aient pas de normes d’attente en ce qui concerne la chirurgie ou la chimiothérapie. En matière de radiothérapie, seulement la moitié des provinces affichent des temps d’attente qui égalent ou surpassent la norme nationale de quatre semaines.

Pire encore, dans certaines provinces, le temps d’attente n’est pas compilé par les autorités.

Pour la présidente du Réseau canadien sur le cancer du sein, Mme Diana Ermel, les temps d’attente pour obtenir un traitement du cancer du sein et l’accès aux médicaments doivent demeurer au premier plan des préoccupations.

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Un nouveau traitement contre le mélanome ?

Dans le cadre du colloque organisé par l’American Society of Clinical Oncology, les premiers résultats des tests cliniques sur l’ipilimumab sont dévoilés. Cette immunothérapie expérimentale du cancer améliore le taux de survie des patients atteints d’un mélanome métastatique.

« Les données des études sur l’ipilimumab sont importantes, car les chercheurs ont pu observer une amélioration du taux de survie d’un an. Historiquement, seulement de 25 à 30 % des patients atteints d’un mélanome métastatique sont vivants un an après le diagnostic. Ipilimumab a la capacité d’accroître la réponse immunitaire contre les tumeurs, qui est vitale dans le cas du mélanome, puisque ce genre de traitements peut être associé avec des rémissions de longue durée. Avec ipilimumab, le système immunitaire est mieux équipé pour combattre le cancer de façon énergique », a souligné le Dr Michael Smylie du Cross Cancer Institute, en Alberta.

Ce type de cancer se caractérise par une croissance non contrôlée des cellules responsables de la pigmentation situées dans la peau.