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La pilule pourrait prévenir le cancer du côlon

De récentes recherches, effectuées auprès de 90 000 Canadiennes âgées entre 40 et 59 ans, ont démontré que l’usage de la pilule pourrait diminuer le risque de développer un cancer du côlon, rapporte l’International Journal of Cancer.

Les résultats ont démontré que près du cinquième des femmes ayant consommé des anovulants voyait les risques de développer la maladie diminuer pour les 16 prochaines années.

Si plusieurs études suggèrent que l’oestrogène joue un rôle clé dans le développement du cancer du côlon, il serait toutefois trop tôt pour confirmer que l’hormone agit comme une protection contre la maladie. D’autres facteurs comme l’activité physique et la perte de poids pourraient influencer l’apparition du cancer.

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L’obésité associée au cancer

Le Pr Andrew Renehan, de l’Université de Manchester au Royaume-Uni, a épluché 141 études afin d’établir un lien entre le surplus de poids et le cancer.

Parmi ses conclusions, on note qu’un excès de poids de 15 kilos chez les hommes augmente de 52 % le risque de cancer de l’oesophage et de 24 % le risque de cancer du côlon et du rein.

Le risque de cancer de l’utérus et de la vésicule biliaire passe à 59 % chez les femmes dont l’excès de poids est d’environ 13 kilos. Pour le cancer de l’oesophage, le risque est de 51 %.

Les cancers les moins liés à l’obésité sont les cancers du rectum et de la peau chez l’homme, les cancers du sein, du pancréas, de la thyroïde et du colon chez la femme.

Cette conclusion vient donc appuyer la recherche publiée en octobre dernier par le World Cancer Research Fund International.

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Un rapport accablant sur le cancer

Selon l’Association canadienne pour la défense des droits et intérêts des personnes atteintes du cancer, la vision des différents paliers gouvernementaux canadiens concernant la lutte contre cette maladie est complètement dépassée.

Le 10e rapport publié par le regroupement fait état de soins « incohérents, injustes et inefficaces » pour les personnes atteintes par la maladie.

De plus, il semble qu’il y ait d’énormes disparités en matière de diagnostic et de traitement en fonction des différentes régions. « Dites-moi votre code postal et je vous dirai vos chances de survivre au cancer », a mentionné le Dr William Hryniuk, de l’Association.

Le manque de financement de la recherche préventive, le manque de soutien de la part du personnel soignant et le besoin de revoir le système d’études cliniques sont autant d’éléments abordés par ce rapport qui est le seul au Canada à évaluer de manière indépendante la performance du système de santé pour le traitement du cancer.

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Le cancer de la prostate en partie démystifié

Les récentes recherches ont démontré que la prédisposition au cancer de la prostate est en partie causée par les variations du code génétique d’une personne, dont celles des chromosomes 7, 10 et 11.

« Nous sommes en train de trouver les endroits dans le génome humain qui sont liés au risque de développer un cancer de la prostate. C’est important, parce que le cancer de la prostate est une maladie complexe qui n’est pas due à une seule défectuosité génétique ou à une exposition environnementale précise, » indique le Dr Stephen Chanock, directeur de l’une des études.

De telles trouvailles permettraient éventuellement de déterminer quelles personnes sont susceptibles de développer la maladie et d’établir le traitement adéquat à leur administrer.

L’exposition à un environnement néfaste et l’ingestion ou l’inhalation de certaines substances pourraient aussi favoriser l’apparition du cancer.

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Quand le cancer résiste…

Une recherche publiée dans la revue médicale Nature fait la lumière sur la chimiothérapie à base de platine qui semble parfois inefficace chez certaines patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire.

En effet, si les tumeurs à l’ovaire répondent initialement très bien à la chimiothérapie à base de platine, 70 à 80 % des sujets traités finissent par développer une résistance à cette médication selon des chercheurs du Centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson, à Seattle (Washington).

Il semble que ce soit des mutations secondaires du gène BRCA2 qui expliquent cette résistance.

Selon les chercheurs, ce phénomène pourrait sans doute s’appliquer à d’autres types de cancers et permettrait de trouver des moyens de redonner à des tumeurs leur sensibilité à la chimiothérapie.

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Le téléphone cellulaire sans risque

Selon une recherche publiée sur le site Internet du British Journal of Cancer, les personnes qui utilisent fréquemment leur téléphone cellulaire, à raison d’une fois par semaine pendant six mois, ne courent pas davantage de risques d’être frappées par le cancer du cerveau.

Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont analysé les niveaux de radiation dans différentes parties du cerveau chez 683 personnes en bonne santé et 322 sujets atteints de tumeur cérébrale. Ces derniers étaient répartis en trois groupes de cancer différents : gliomes, méningiomes et adénomes.

Le professeur Naohito Yamaguchi, de l’Université médicale pour femmes de Tokyo, et son équipe ont ensuite analysé les radiations de 76 types de téléphones portables et leurs effets sur les différentes parties du cerveau, pour ensuite conclure qu’il n’y a aucune relation significative entre l’usage du téléphone mobile et le cancer.

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Un nouveau moyen pour dépister le cancer

Le cancer des ovaires est souvent découvert tardivement, ce qui diminue les chances de pouvoir bénéficier d’un traitement. Les symptômes de la maladie s’apparentent à ceux d’autres maux et il n’existe pas de tests pour la dépister.

La découverte de nouveaux marqueurs moléculaires permet toutefois de déterminer plus rapidement si le tissu prélevé de l’ovaire pour examen est cancéreux.

Selon les spécialistes, cette technique diagnostique pourra également s’appliquer au dépistage d’autres cancers. Un bon moyen pour détecter rapidement la maladie et ainsi sauver des vies.

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Le sapin pour traiter le cancer

Des scientifiques travaillant pour la Chaire de recherche sur les agents anticancéreux d’origine naturelle de l’Université du Québec à Chicoutimi s’apprêtent à effectuer des essais cliniques afin de tester l’efficacité d’une molécule tirée des épines du sapin baumier, qui pourrait traiter le cancer.

Jean Legault, l’un des titulaires de la chaire, s’est entretenu avec Radio-Canada : « On pense commencer les essais cliniques chez l’humain en 2008-2009. C’est un composé qui, lorsqu’on le combine avec des agents anticancéreux déjà utilisés, augmente leur efficacité et diminue leur toxicité. »

En plus de cette molécule, l’équipe analyse un autre composé se trouvant dans le bouleau blanc, qui pourrait traiter les mélanomes, une tumeur maligne de la peau; les chercheurs s’intéressent aussi à l’écorce du mélèze et aux bourgeons de certains feuillus.

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Un mythe concernant le cancer de la prostate

Une étude publiée récemment dans le Journal of the National Cancer Institute écarte les hormones sexuelles dans l’explication du cancer de la prostate.

Andrew Roddam, du département de la recherche sur le cancer à l’Université d’Oxford, a analysé 18 autres recherches sur le sujet afin de déterminer s’il existe un lien entre ce type de cancer et les hormones.

« Pendant longtemps, on a cru que les variations des hormones sexuelles chez l’homme pouvaient être liées au cancer de la prostate. Or, nos conclusions nous portent à croire que ces variations d’androgène et d’oestrogène n’augmentent pas le risque de cancer », a précisé le chercheur.

Le cancer de la prostate est celui qui touche le plus les Américains. En 2007, 220 000 nouveaux cas ont été diagnostiqués dans ce pays. 27 000 hommes en sont décédés.

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La pilule protège du cancer

Bien que l’on ait déjà attribué des effets néfastes à la pilule, soit le risque de développer un cancer du sein ou du cerveau, l’effet des anovulants serait plutôt bénéfique. Il se poursuivrait même trente ans après l’arrêt de leur consommation.

 

Des chercheurs britanniques estiment que la prise d’anovulants aurait permis à 200 000 femmes d’éviter le cancer en plus de sauver la vie de 100 000 autres, depuis les années 1960. L’étude ne peut toutefois pas expliquer la cause de ce phénomène, rapporte Radio-Canada.

 

On croit par ailleurs que la pilule contraceptive sauvera la vie de plus de 30 000 femmes d’ici 2018.

 

Cette étude a été menée dans 21 pays auprès de 110 000 femmes; elle s’est échelonnée sur une période de quarante ans.