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Gare au cellulaire!

Selon un article dans l’American Journal of Epidemiology, la radio-exposition aux ondes micro-ondes des téléphones cellulaires accroît les risques de souffrir d’un cancer des glandes salivaires.

Un groupe de 460 utilisateurs de cellulaire a été observé pour en arriver à de telles conclusions. Parmi ceux-ci, 58 ont développé des tumeurs cancéreuses et 402 des tumeurs bénignes des glandes salivaires.

Ce phénomène est particulièrement observé lorsque le temps de conversation passe à plus de 22 heures par mois. Le risque d’attraper la maladie devient deux fois plus élevé.

De plus, les scientifiques du centre médical Tel Hashomer de Tel-Aviv recommandent de ne pas placer le cellulaire sur la même oreille puisque le patient s’expose davantage à la radiation.

Le docteur Sigal Sadetzki, auteur principal de l’étude, affirme : « Les résultats suggèrent qu’il existe un lien de cause à effet entre les téléphones cellulaires et le développement de tumeurs de glandes parotides. »

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Obésité rime avec cancer de la prostate

Selon une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université Duke, les hommes obèses s’exposent davantage au cancer de la prostate. En effet, leur volume sanguin est plus élevé que chez les hommes ayant un poids santé. Or, cela rend plus difficile l’évaluation du taux de PSA, une molécule habituellement détectée lors de tests de dépistage précoce. Le diagnostic s’en trouve retardé ainsi que le traitement des patients atteints de cette forme de cancer.

Les scientifiques ont démontré qu’un indice de masse corporelle de plus de 35 % masque de 11 à 21 % le taux de PSA dans le volume sanguin.

Une autre recherche effectuée à l’Université de Harvard dévoile que chez les hommes possédant un surplus de poids, les risques de récidive du cancer sont 1,8 fois plus élevés dans les huit années suivant le premier diagnostic. Dans cette étude, les processus hormonaux, en plus du PSA, pourraient expliquer ce phénomène.

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Une souris à toute épreuve

Une recherche du journal Cancer Research dévoile l’existence d’une souris de laboratoire sur laquelle toutes les formes de cancer ne semblent pas avoir d’emprise.

Comment? Grâce au gène Par-4 implanté chez les souris et qui joue un rôle, notamment dans le traitement du cancer de la prostate.

Il en résulte que non seulement le rongeur est plus résistant au cancer, mais sa durée de vie est plus longue que prévu.

Selon le docteur Vivek Rangnekar, de l’Université du Kentucky, cette conclusion est une lueur d’espoir pour le traitement contre le cancer, mais des études plus poussées doivent être effectuées sur des humains afin d’analyser sur eux les effets du gène.

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L’exposition à l’arsenic liée au cancer

Selon une étude de la Massachusetts Institute of Technology (MIT), le bagage génétique des enfants, dont les mères ont été exposées à une eau contaminée à l’arsenic lors de leur grossesse, se modifie. Cette transformation aurait pour effet d’augmenter les risques de souffrir d’un cancer ou d’autres maladies.

Les chercheurs ont analysé les cordons ombilicaux de 32 mères thaïlandaises qui habitaient une région hautement contaminée par l’arsenic. Ils ont découvert qu’il y avait eu une mutation significative de 450 gènes chez les enfants exposés à l’arsenic.

De plus, l’inflammation du bagage génétique a été observée, ce qui augmente la probabilité de souffrir d’un cancer. Cette découverte devra toutefois être analysée davantage par l’équipe.

L’étude a été publiée le 23 novembre dernier dans le journal scientifique PLoS Genetics.

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Rester mince pour éviter le cancer

Selon une étude internationale, même les gens non obèses devraient perdre un peu de poids afin de tenir à l’écart le cancer.

The World Cancer Research Fund émet de sévères recommandations quant aux habitudes de vie à adopter afin de prévenir l’apparition d’un cancer.

Sont incluses parmi les habitudes à adopter :

  1. Ne pas prendre de poids en vieillissant.
  2. Éviter les boissons sucrées ou alcoolisées.
  3. Ne pas manger de jambon ou bacon.

Les résultats de l’étude démontrent que la graisse corporelle serait l’élément principal favorisant le développement d’un cancer.

D’après le professeur Martin Wiseman, sans être en dessous d’un poids normal, les gens devraient tous chercher à être plus mince, car le cancer est une question de risques à réduire par notre comportement quotidien.

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La pensée positive sans effet

Selon une étude publiée dans le journal Cancer, il est faux de prétendre que la pensée positive peut jouer un rôle dans la guérison chez les personnes atteintes de cancer.

James Coynes, auteur principal de l’étude réalisée par l’Université de Pennsylvanie auprès de 1 000 patients atteints d’un cancer à la tête ou au cou, affirme que l’état d’esprit d’un individu, qu’il soit optimiste ou pessimiste, n’influence pas la progression du cancer.

Les auteurs de l’étude sont conscients qu’ils viennent de briser un mythe, tant auprès des patients que dans le milieu médical, qu’avoir un bon moral influence la guérison du cancer.

Selon le docteur Coynes, la psychothérapie devrait donc être envisagée afin d’aider les cancéreux à mieux gérer leur souffrance psychologique liée à la maladie, et non pas pour augmenter leur chance de survie.

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Comment expliquer le cancer aux enfants

L’étape de la perte des cheveux peut être très éprouvante pour une femme atteinte du cancer, et pourrait l’être encore plus pour ses enfants. La vue d’une maman sans cheveux pourrait être une épreuve moins difficile à traverser si l’enfant est bien préparé.

Kim Goebel, une rescapée du cancer du sein, a inventé dans ses plus difficiles moments, une poupée chauve vendue avec un livre expliquant aux enfants ce qui arrivera à leur maman et pourquoi.

Il y a cinq versions ethniques différentes de cette poupée. Ainsi, l’enfant apprivoisera mieux la nouvelle tête de maman lorsque ses cheveux tomberont en raison des traitements agressifs qu’elle devra suivre pour se battre.

Tous les profits de la vente de la poupée appelée Kimmie Cares seront remis à des organismes ou fondations afin de lutter contre le cancer.

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Un médicament contre les tumeurs infantiles

C’est lors d’expériences en laboratoire que des scientifiques de l’Université du Manchester ont découvert l’efficacité du médicament le RH1 dans le traitement de trois types de cancer infantile.

Le médicament aurait des aptitudes à détruire les cellules des tumeurs dans les cas de neuroblastome (cancer du système nerveux sympathique), d’ostéosarcomes et de sarcome d’Ewing (des cancers de tissus osseux) chez les enfants.

Ces types de cancer infantile sont reconnus pour être extrêmement difficiles à supprimer, vu leur résistance aux traitements actuels.

L’étude a démontré que 50 % des cellules de ces cancers se détruisaient entre elles lors de traitement par le RH1.

Selon le docteur Bruce Morland, du Children’s Cancer and Leukaemia Group, plusieurs enfants deviennent résistants à leurs médicaments et auraient besoin de nouvelles options.

Des études plus complexes devront être faites pour prouver l’efficacité de ce médicament dans la lutte contre les cancers infantiles.

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Le contraceptif oral, pas si nocif qu’on le croit

Selon des chercheurs britanniques, prendre un anovulant n’entraînerait pas un plus grand risque de cancer. Celui-ci pourrait même être bénéfique pour les femmes qui le prennent.

En effet, la pilule contraceptive diminuerait de 3 à 12 % les risques d’avoir le cancer, comparativement aux femmes ne l’ayant jamais prise.

Selon l’étude britannique portant sur le suivi de 45 000 femmes, les résultats ont démontré que la diminution du risque de cancer associée à la prise de la pilule concernait plus spécifiquement les cancers du colon, du rectum, de l’endomètre et des ovaires.

Cependant, l’étude parue dans le  British Medical Journal révèle que l’effet de la prise de la pilule contraceptive serait différent d’une femme à l’autre, et dépendrait aussi du nombre d’années de l’utilisation de ce moyen de contraception.

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La vitamine C contre le cancer

Selon une étude réalisée par la Faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland), la vitamine C, reconnue pour ses vertus antioxydantes, agit sur la protéine dite HIF-1 (facteurs induits par l’hypoxie).

Découverte il y a une dizaine d’années, cette protéine joue un rôle dans les cancers foudroyants, comme celui du foie. En effet, cet enzyme contrebalance la diminution d’oxygène à l’intérieur des cellules qu’occasionne le cancer.

Toutefois, la HIF-1 est efficace uniquement lorsqu’il y a combinaison avec des radicaux libres. Ces derniers sont détruits par la vitamine C, bloquant ainsi l’accroissement des cellules cancéreuses.

Le cancérologue Chi Dang, qui a dirigé l’étude, ajoute : « Les vertus anticancéreuses potentielles des antioxydants ont motivé de nombreux essais cliniques et des études» depuis ces dernières décennies. En découvrant le mécanisme par lequel agissent les antioxydants, nous pouvons maximiser leurs effets thérapeutiques. »