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La vie future des jeunes cancéreux

Une étude parue dans le Journal of Clinical Oncology présente un constat inquiétant pour les jeunes survivants du cancer. Menée par le St. Jude Children’s Research Hospital, elle suggère que ces enfants développeront d’autres tumeurs plus tard dans leur vie.

Sur 14 358 sujets ayant eu le cancer à un jeune âge, on a reporté 1 382 nouveaux cas de cancer quelques années plus tard, ce qui revient à 9,6 %. De plus, pour 30 % de ces survivants, 386 auront développé une troisième tumeur.

Dans le cadre de cette étude en particulier, les sujets avaient survécu au moins 23 ans après leur diagnostic de cancer durant l’enfance.

Les chiffres ne sont pas plus encourageants au fil des ans : chez 153 sujets, au moins 4 tumeurs seront apparues. Cette recherche fait donc la lumière non seulement pour les cas de cancer subséquent à l’enfance, mais aussi à la plus grande exposition de ces personnes à diverses formes de la maladie.

On déplore, parallèlement, le manque de suivi hâtif pour les survivants. Par exemple, le test pour le cancer du sein devrait être fait dès l’âge de 25 ans pour les survivants d’un cancer infantile, non pas à 40 ans comme chez les autres femmes.

Mentionnons finalement qu’à l’heure actuelle, aux États-Unis seulement, 360 000 enfants survivent du cancer. Le taux de rémission est de 80 % et l’on prévoit qu’il sera croissant.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Lueur d’espoir pour le traitement du cancer

La Dre Katherine Borden, de l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC) de l’Université de Montréal, a publié les résultats de sa recherche concernant l’efficacité de la ribavirine, un antiviral, dans le traitement de patients atteints de cancer.

Selon la chercheuse, ce médicament agit sur le gène eIF4E qui est déréglé dans 30 % des cancers.

« Les résultats que nous avons obtenus sont les premiers à montrer que le ciblage du gène eIF4E chez l’humain procure des bienfaits cliniques. Nous avons non seulement démontré que la ribavirine bloque l’activité du gène eIF4E, mais aussi constaté qu’elle n’avait aucun effet indésirable chez les patients », a fait savoir la Dre Borden.

Tous les participants à l’étude souffraient de leucémie myéloïde aiguë M4 ou M5 pour laquelle aucun traitement n’avait été efficace jusqu’ici. « Nous avons observé un degré spectaculaire d’amélioration de l’état des patients, y compris des rémissions partielles et complètes », ont conclu les chercheurs.

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L’acupuncture pour les patients cancéreux

Selon le Dr Mark S. Chambers, de la Faculté d’oncologie dentaire de l’Université du Texas, les traitements d’acupuncture pourraient enlever l’impression de bouche sèche provoquée par les traitements de radiation chez des sujets souffrant d’un cancer à la tête.

« La qualité de vie des patients qui se plaignaient de xérostomie a grandement été améliorée. Ce type de trouble s’accompagne aussi de caries dentaires, d’infections buccales et de difficultés à parler, manger et avaler », a souligné le Dr Chambers.

Cette étude a été menée auprès de 19 patients qui ont reçu 2 traitements d’acupuncture hebdomadaires pendant 4 semaines. Leur état s’est grandement amélioré au cours de la recherche, dont tous les détails se trouvent dans le site Web de Head & Neck.

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Le taux de récidive du cancer du sein

La Dre Beth M. Beadle, de l’Université du Texas, s’est penchée sur le taux de récidive du cancer du sein chez les femmes âgées de moins de 35 ans.

Elle en conclut que ces dernières sont plus à risque que les femmes plus âgées de voir réapparaître la maladie. L’incidence de cancer diminue toutefois, pour atteindre 15,1 %, lorsque les patientes ont été traitées à la radiation, en plus de subir une mastectomie.

Le risque passe à 19,8 % quand les femmes conservaient leur sein et à 24,1 % quand il y avait uniquement l’ablation.

Ces résultats font conclure à Mme Beadle que les traitements de chimiothérapie devraient être sérieusement considérés par les femmes atteintes du cancer du sein, particulièrement si elles ont mois de 35 ans.

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De l’encens contre le cancer

Une recherche, dont les détails sont publiés dans le site Web BMC Complementary and Alternative Medicine, fait état des vertus de l’encens que l’on utilise pour détruire les cellules vésicales cancéreuses chez les patients atteints de cancer de la vessie.

« L’encens représente une thérapie alternative bon marché pour les patients souffrant d’un cancer de la vessie », a souligné l’auteur derrière cette découverte, le Dr Hsueh-Kung Lin de l’Université d’Oklahoma.

Il semble toutefois que l’usage de l’encens en matière de cancer soit contesté par certains membres de la communauté scientifique. En effet, une étude publiée en septembre dernier affirmait qu’il pouvait augmenter le risque de certains types de cancer, comme celui de la langue, des sinus et de la bouche.

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Dépression va de pair avec cancer

Selon la Dre Susanne O. Dalton et ses collègues de la Société danoise du cancer à Copenhague, les cancéreux sont plus à risque d’être hospitalisés parce qu’ils souffrent de dépression majeure.

Ce risque d’hospitalisation est plus élevé dans l’année qui suit un diagnostic de cancer et demeure, même après une rémission de la maladie.

Pour mieux comprendre l’association entre la dépression et le cancer, les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de 608 591 adultes ayant reçu un diagnostic de la maladie. Ils ont découvert que l’incidence d’hospitalisation pour cause de dépression doublait dans la première année où les patients apprenaient qu’ils souffraient d’un cancer.

Les chercheurs espèrent donc que les médecins porteront une attention particulière aux symptômes de la dépression chez leurs patients cancéreux afin d’agir plus rapidement et de prévenir l’hospitalisation.

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Un timbre pour soulager la douleur

Selon le Dr Philippe Poulain, de l’Institut Gustave-Roussy, à Villejuif en France, le timbre cutané à base de buprénorphine pourrait soulager les patients qui souffrent d’un cancer et qui éprouvent de la douleur.

Cette étude, menée auprès de 289 personnes, a permis de démontrer que ce timbre est très efficace pour atténuer la douleur. Cette dernière diminuait de 5 points, sur une échelle de 10, quand les sujets consommaient du buprénorphine.

En plus du timbre cutané, le groupe-test avait aussi le droit de prendre des comprimés de buprénorphine lorsque la douleur était trop intense.

« Ces résultats démontrent une diminution de la douleur et la prise de comprimés de buprénorphine était en baisse au fil des semaines », a souligné le Dr Poulain.

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Un journal pour les cancéreux

Des chercheurs américains encouragent désormais les patients atteints de cancer à écrire un journal. Selon eux, cet exercice littéraire permettrait d’améliorer la communication entre le médecin et son patient, mais aussi de favoriser le bien-être ainsi que la diminution de la douleur.

234 sujets cancéreux ont participé à cette recherche. Ils ont été répartis en 3 groupes. Les membres du premier groupe tenaient un journal dans lequel ils notaient en détail leurs symptômes. Le second groupe se contentait de répondre à un questionnaire sur leurs symptômes. Les patients du troisième, eux, suivaient simplement leurs traitements.

Le Dr M. Soledad Cepeda a découvert que le premier groupe avait un meilleur moral et avouait ressentir moins de douleur que les deux autres groupes ayant participé à l’étude.

Seule nuance au tableau, d’autres recherches devront être menées afin de corroborer cette hypothèse auprès des cancéreux en phase terminale.