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Plus de cancers en 2030

Les principaux cancers à être dans la mire des experts sont ceux du côlon, du rectum, du sein, de la prostate, que l’on associe au développement économique et au mode de vie occidental, selon une étude publiée dans la revue The Lancet Oncology.

En fait, 40 % des cas de cancer colorectal sont répertoriés dans les pays développés, tandis que ces pays ne constituent que 15 % de tous les pays.

L’inquiétude vient surtout du fait que le nombre de cancers diagnostiqués augmentera plus vite que l’accroissement naturel de la population.

En 2008, on comptait plus de 12,7 millions de gens atteints d’un cancer. En 2030, on prévoit en compter plus de 20,3 millions.

Toutefois, chez les femmes, le nombre de cancers de l’estomac et du col de l’utérus diminuera de par le monde, tandis que dans les pays riches, ce sera le cas du cancer du poumon chez les hommes.

Rappelons que les femmes qui travaillent au moins deux nuits par semaine ont 50 % plus de risque de développer un cancer du sein.

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L’acide folique peut réduire les risques de cancers pédiatriques

Depuis quelques années, l’acide folique était connu pour réduire le risque d’anomalies du tube neural chez les nouveau-nés.
 
Voilà que des chercheurs des universités de Washington et du Minnesota viennent enrichir les bienfaits de l’acide folique en période prénatale, en démontrant son incidence sur le cancer du rein (tumeur de Wilms) et les tumeurs cérébrales (tumeurs primitives neuro-ectodermiques PNET) chez l’enfant.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont remarqué qu’après 1992, moment où l’apport de 400 microgrammes d’acide folique par jour pour la future mère a été recommandé par la FDA, les taux d’incidence des tumeurs de Wilms et PNET avaient diminué.
 
Les effets bénéfiques d’un apport de vitamine B9 dans l’alimentation ou en suppléments ont surtout été constatés pour les enfants nés à partir de la fin des années 90, révèle l’étude parue dans la revue Pediatrics qui s’est basée sur les données de 8829 bambins enregistrées au National Cancer Institute entre 1986 et 2008.
 
Un surplus d’acide folique chez la femme en âge de procréer n’a pas permis de prouver la réduction des risques de cancers pédiatriques autres que ceux du rein et du cerveau.
 
Les chercheurs précisent toutefois que la bonne nouvelle est que si l’acide folique ne diminue pas les risques d’autres cancers, il ne les augmente pas non plus.
 
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30 % des cancers pourraient être évités

À la veille de la Journée mondiale contre le cancer, l’Organisation mondiale de la santé affirme que 30 % des cancers pourraient être évités. Il faudrait seulement que les gens changent leur mode de vie.
 
Le facteur de risque le plus important demeure le tabagisme, qui est responsable de 22 % de la mortalité par cancer.
 
Parmi les autres facteurs de risques qui augmentent les chances de développer un cancer, il y a l’obésité, la consommation insuffisante de fruits et légumes, le mode de vie sédentaire, l’alcool et la pollution de l’air.
 
De plus, pour réduire les risques de développer un cancer du col de l’utérus, on recommande fortement de se faire vacciner contre le virus du papillome humain (VPH).
 
De même, une exposition moindre au soleil réduit les chances d’avoir un cancer de la peau.
 
Les cancers qui font le plus de victimes demeurent ceux du poumon, de l’estomac, du foie, du côlon et du sein.
 
Dans les pays pauvres, 20 % des décès par cancer sont imputables à des infections virales comme le VPH ou l’hépatite B.
 
Les dernières statistiques mondiales de 2008 rapportent 7,6 millions de décès par cancer, et on prédit que ce nombre atteindra les 13,1 millions de victimes en 2030.
 
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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

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Une mutation génétique joue un rôle dans les cancers rares

Le New England Journal of Medicine indique qu’une mutation génétique jouerait un rôle clé dans l’apparition de plusieurs cancers rares comme celui des ovaires, de l’utérus et des testicules.
 
Cette mutation modifie le fonctionnement du gène Dicer et favorise la formation de cancer. Les chercheurs mentionnent que ce gène joue une fonction vitale dans le développement et le comportement de cellules saines.
 
« Les mutations que nous avons découvertes ne détruisent pas totalement les fonctions de ce gène, mais elles les modifient plutôt. De ce fait, le chef d’orchestre est toujours là, mais il agit comme quelqu’un d’ivre », explique le Dr Gregg Morin.
 
Au Canada, on dénote 850 nouveaux cas de cancer des testicules annuellement. Pour ce qui est du cancer des ovaires, c’est 2600 nouveaux cas par an, et pour le cancer de l’utérus, on enregistre 4700 nouveaux cas chaque année.
 
Cette nouvelle découverte pourrait donc ouvrir la voie à de meilleurs traitements pour ces types de cancers, et même les cancers plus communs.
 
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Une vie malsaine est à l’origine de la moitié des cancers

Une vie saine ne peut garantir que vous n’aurez jamais le cancer, mais cela diminue les risques d’en avoir un, selon une nouvelle étude publiée dans le British Journal of Cancer.
 
14 facteurs ont été évalués. Seulement au Royaume-Uni, on mentionne que quatre cancers sur dix sont causés par le tabac, le manque d’exercice, une trop grande consommation de sel, un surpoids, une surconsommation d’alcool et le fait de ne pas avoir d’enfant.
 
Déjà, nous savions que des milliers de cancers pourraient être évités chaque année en réduisant l’exposition au soleil et aux produits chimiques, mais cette fois, on affirme que cesser de fumer, perdre du poids ou diminuer la consommation d’alcool aiderait grandement à réduire les risques de développer un cancer.
 
De plus, adopter de saines habitudes de vie permettrait également de réduire les risques d’avoir d’autres maladies graves, voire mortelles, comme des maladies cardiovasculaires, respiratoires ou rénales.
 
Le tabagisme à lui seul est responsable du cinquième des cas de tous les cancers. L’alcool est à l’origine de 6,4 % des cancers du sein et d’un cancer du foie sur dix.
 
Quant au cancer de l’estomac, les trois quarts pourraient être évités seulement en cessant le tabac, en consommant moins de sel et plus de fruits et légumes.
 
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De nombreux cancers pourraient être facilement évités

Une étude allemande effectuée dans huit pays d’Europe auprès de 364 000 personnes démontre que 10 % des cancers chez les hommes et 3 % chez les femmes sont directement liés à la consommation régulière d’alcool
 
Selon les données recueillies, seulement en 2008, 44 % des cancers des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, sinus) chez les hommes et 25 % de ces cancers chez les femmes étaient attribuables à une consommation d’alcool, soit plus de deux verres par jour pour la gent masculine et plus d’un verre pour le sexe opposé.
 
L’étude publiée dans le British Medical Journal démontre que l’alcool serait aussi lié au cancer du foie à 33 % pour les hommes et 18 % pour les femmes. 17 % des cancers colorectaux pour les hommes et 4 % pour les femmes sont aussi liés à la boisson et 5 % des cancers du sein également.
 
« Nos résultats montrent que de nombreux cas de cancer auraient pu être évités en limitant la consommation quotidienne d’alcool à deux verres pour les hommes et à un verre pour les femmes, comme le recommandent de nombreux organismes de santé », explique le Dr Madlen Schütze.
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Les fruits et légumes aident à prévenir de nombreux cancers

Un récent rapport de l’American Institute for Cancer Research démontre que 30 % des  décès par cancer pourraient être évités simplement en abandonnant certaines mauvaises habitudes comme le tabagisme, une trop grande consommation d’alcool, la sédentarité, un surplus de poids, mais aussi une consommation insuffisante de fruits et légumes. Ces aliments sont des atouts majeurs dans le maintien d’une bonne santé.
 
En effet, les fruits et légumes non féculents sont reconnus pour aider à prévenir notamment les cancers de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, de l’estomac, des poumons, du pancréas, de la prostate et le cancer colorectal.
 
Sans oublier que la consommation régulière de fruits et légumes comble nos besoins en vitamines et minéraux, comme les vitamines A, C, E et K, le calcium, le potassium, le fer, le magnésium et les fibres.
 
Tout ceci permet de conserver un système immunitaire fort qui éloigne les maladies. De plus, ils aident à maintenir toutes les fonctions essentielles du corps et du cerveau en bon état. Ainsi, les fruits et légumes peuvent vous sauver la vie et vous permettre une plus grande longévité en santé. Voici donc de bonnes raisons pour revoir votre alimentation.
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Les méduses pour aider à détecter des cancers

La technique utilisée par les méduses pour briller dans le noir pourrait servir à la recherche sur le cancer.
 
Des scientifiques britanniques ont trouvé le moyen d’utiliser des cellules lumineuses des méduses pour repérer des tumeurs cancéreuses profondes dans le corps humain.
 
Ces tumeurs profondes sont très souvent difficiles à diagnostiquer à un stade précoce et, nous le savons, plus un cancer est détecté tôt, plus les chances de guérison sont grandes.
 
Selon les scientifiques, les cellules lumineuses des méduses seraient dix fois plus efficaces que les scanneurs habituellement utilisés.
 
Ainsi, on insère dans les cellules cancéreuses des protéines des cellules lumineuses des méduses. Grâce à un appareil photographique spécial, on parvient donc à déterminer où se trouvent les tumeurs, car celles-ci s’illuminent.
 
Le Daily Mail mentionne que la technique n’en est qu’au stade de développement pour le moment, mais on espère pouvoir l’appliquer d’ici cinq ans.