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Le vin rouge contre certains cancers

Le journal Carcinogenesis nous apprend que le vin rouge pourrait prévenir certains types de cancers comme la leucémie, le cancer du sein ou des poumons.
 
Des chercheurs français ont en effet découvert les propriétés anti-inflammatoires et anticancéreuses du resvératrol, une substance présente dans le vin rouge. Toutefois, cet alcool ne peut traiter les cancers ni l’inflammation, rappellent les experts.
 
Le resvératrol est un polyphénol qui agit sur deux molécules (micro ARN) à l’origine de l’inflammation, qui favorisent aussi la naissance de cellules cancéreuses.
 
C’est la trop grande présence de ces molécules dans le sang qui est associée au développement de différents cancers.
 
« Grâce à cela, notre étude pourrait conduire à démontrer l’intérêt de l’emploi du resvératrol comme agent anti-inflammatoire. Si, par ailleurs, l’effet du resvératrol sur le TGF bêta se confirme, on pourrait imaginer le tester en clinique comme adjuvant de traitement anticancéreux, mais la route est encore longue », indique l’auteur principal des travaux, Norbert Latruffe.
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Plus de cancers chez les bébés éprouvette

Une nouvelle étude révèle que les enfants conçus par fécondation in vitro ont plus de chances de développer un cancer. Toutefois, les auteurs de l’étude se font rassurants, les risques demeurent tout de même faibles.
 
Selon la revue Pediatrics, les chercheurs ont suivi 26 692 enfants conçus par fécondation in vitro (FIV) nés entre 1982 et 2005. Ils ont comparé ces naissances avec le nombre de cancers enregistrés en Suède.
 
On a constaté que 53 enfants nés par FIV ont développé un cancer, comparativement à 38 conçus naturellement. La leucémie et le cancer du cerveau étaient les plus fréquents.
 
Les naissances prématurées avant 37 semaines, le faible poids, les problèmes de respiration, l’âge de la mère, le tabagisme, les fausses couches précédentes, l’indice de masse corporelle et les naissances multiples semblaient n’avoir que peu ou pas d’incidence sur les risques accrus de cancer chez les enfants.
 
Par contre, les auteurs de l’étude doutent que les risques accrus de cancer soient liés à la fécondation in vitro et affirment plutôt que cela découle de la génétique des parents et d’un effet non identifié chez les femmes ayant recours à cette méthode de procréation assistée.
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Un test de salive pour détecter certains cancers

Des chercheurs japonais et américains sont parvenus à créer une technique qui permet de déceler les cancers du pancréas, du sein et de la bouche par un simple test de salive.
 
Voici une découverte intéressante puisque les experts mentionnent que la salive est plus facile à prélever que le sang ou les selles.
 
Ce sont des équipes de l’Université Keio à Tokyo et de l’Université de la Californie à Los Angeles qui ont mis au point cette technique, dont la mise en application n’a pas été annoncée pour le moment.
 
Les scientifiques ont analysé 215 échantillons provenant de personnes différentes qui avaient un cancer. Ils ont identifié 54 substances dont la présence peut révéler la maladie. Avec la nouvelle technique, les tests de salive ont permis de déceler 99 % des cancers du pancréas, 95 % des cancers du sein et 80 % des cancers buccaux.
 
La technologie permet en tout d’identifier 500 substances en une seule fois. Non seulement les cancers sont détectés à des stades précoces, mais en plus, les résultats sont connus en une demi-journée au maximum, ce qui facilite grandement les diagnostics.
 
« Les taux de survie pour les cancers du pancréas et de la bouche sont particulièrement bas, car les symptômes ne sont pas clairement visibles dans la phase initiale, ce qui retarde souvent leur découverte », indique le communiqué de presse.
 
On espère également que cette technique pourra être appliquée à d’autres maladies.
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Pas plus de cancers juvéniles près des antennes-relais

La proximité de plus en plus grande des antennes inquiète bien des parents. La plus importante étude réalisée sur un lien possible entre les cancers juvéniles et des logements près de ces antennes vient de conclure qu’il n’y a pas de danger.
 
Selon ce que rapporte le British Medical Journal, les femmes enceintes qui vivent près de ces antennes n’ont pas plus d’enfants atteints de leucémie ou d’autres formes de cancer.
 
Ce sont les conclusions auxquelles arrivent des chercheurs britanniques après avoir suivi 1 400 enfants de 0 à 4 ans qui avaient une leucémie ou une tumeur au cerveau ou au système nerveux central. Chaque cas a été comparé à quatre autres enfants du même âge en bonne santé.
 
Pendant quatre ans, les chercheurs ont également mesuré le niveau de radiation auquel pouvaient être exposées les futures mères, en tenant compte de la distance de leur logis par rapport aux antennes. Les mères avec un enfant atteint de cancer ne vivaient pas plus souvent près de celles-ci comparativement aux autres enfants en bonne santé.
 
Par contre, on mentionne que l’étude en question ne s’est penchée que sur les cancers des quatre ans et moins, certains autres peuvent survenir plus tard au cours de la vie.
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Plus de survivants au cancer

Selon un rapport français de l’Institut national du cancer (INCa), de plus en plus de patients survivent à leur cancer.
 
« La survie des patients atteints de cancers s’améliore grâce en particulier à des diagnostics plus précoces et des traitements plus efficaces. Certains cancers de plus en plus nombreux guérissent; certains conservent un pronostic sombre; d’autres enfin évoluent à long terme, telles des maladies chroniques », mentionnent les auteurs.
 
Ainsi, on affirme que les cancers de la prostate, du sein, de la thyroïde, des testicules, des lèvres, la maladie de Hodgkin, le mélanome et la leucémie sont des cancers ayant un bon pronostic. Le taux de survie de cinq ans atteint 80 %.
 
Pour les cancers notés comme intermédiaires, qui ont un taux de survie de cinq ans entre 20 et 80 %, on retrouve les cancers du côlon, du rectum, de la bouche, du pharynx, de la vessie, des reins, de l’estomac, du col de l’utérus, des ovaires, du larynx ou la leucémie aigüe.
 
Malheureusement, les cancers du poumon, du foie, du pancréas, de l’œsophage et du système nerveux central conservent un mauvais pronostic alors qu’à peine 20 % des personnes atteintes sont encore en vie cinq ans après le diagnostic.
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Les oranges et le thé vert pour une protection contre les cancers

Consommer des oranges ou autres agrumes, comme le citron, les mandarines, les limes ou les pamplemousses, réduit de 15 à 20 % les risques de développer un cancer, et ce, pour tous les types de cancers. Cet effet est encore plus important (une réduction de 37 %) pour les cancers du pancréas et de la prostate.
 
Selon l’étude japonaise qui a suivi 42 470 adultes âgés de 40 à 70 ans pendant neuf ans, l’effet préventif des agrumes contre le cancer est présent uniquement si vous consommez à la fois des agrumes tous les jours, mais aussi du thé vert.
 
Sachez que même sans les agrumes, le thé vert est également reconnu pour avoir des vertus contre le cancer en raison des nombreux antioxydants qu’il contient. Combinés aux agrumes, ses effets sont encore plus notables.
 
« Divers composants des agrumes et du thé vert auraient une action complémentaire qui pourrait expliquer l’effet préventif observé dans cette étude », indique l’auteur principal de la recherche, Wen-Qing Li.
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De nouveaux cancers associés au tabagisme

D’après le Centre de recherche sur le cancer à Lyon, les cancers liés au tabagisme sont encore plus nombreux qu’on le croyait.

Après les cancers de la bouche, de l’oropharynx, du rhinopharynx, de l’hypopharynx, de l’œsophage, de l’estomac, du foie, du pancréas, de la vessie, des reins, de l’uretère, de la moelle osseuse, du nez, du sinus paranasal, du larynx, du poumon et du col de l’utérus, on ajoute que le tabagisme peut causer des tumeurs malignes au colon, au rectum et aux ovaires.

Un groupe de travail, comprenant 30 experts de dix pays, s’est réuni à Lyon afin de mettre à jour l’évaluation des substances cancérigènes selon les habitudes de vie des gens et des expositions ménagères.

On ajoute que le tabagisme peut aussi être lié au cancer du sein, sans compter que la fumée secondaire cause des cancers chez les autres, notamment chez les enfants nés de parents fumeurs.

Le tabagisme est la principale cause de cancer dans le monde. Comme la liste ne finit plus de s’allonger, on ne rappellera jamais assez qu’il vaut mieux laisser tomber pour de bon.

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La vitamine D contre le cancer

Selon la conférence Vitamine D et cancers présentée lors des Journées internationales de biologie, un faible taux de vitamine D augmente les risques de cancers, surtout ceux du sein et du système digestif.

On a étudié 1 100 femmes séparées en différents groupes. Un premier groupe recevait un placebo, un autre avait un traitement comportant du calcium et le dernier recevait un traitement combinant calcium et vitamine D.

On a alors observé que les femmes du dernier groupe avaient 60 % moins de risques de développer un cancer. Toutefois, les spécialistes rappellent que le dosage de la vitamine D devrait toujours être fait par une prescription médicale. Une trop forte dose peut mener à une intoxication fatale.

La majorité des personnes de 50 ans et plus ont un déficit en vitamine D. Une carence importante entraîne le rachitisme chez les enfants et l’ostéomalacie chez l’adulte. Une carence modérée peut éventuellement mener à l’ostéoporose.

D’autres études ont déjà révélé qu’une forte dose de vitamine D chez les personnes âgées diminue les chutes de 20 à 25 %.