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Alcool et marijuana : une consommation transmise de génération en génération

Une nouvelle étude sur les risques intergénérationnels en matière de dépendance aux drogues et à l’alcool estime que la consommation est une habitude qui peut être transmises aux générations suivantes, rapporte Top Santé.

Tout comme les bonnes habitudes et les bons exemples, les mauvais sont aussi calqués par les enfants, et il semble que ce soit particulièrement vrai dans le cas de l’alcool et des drogues douces comme le cannabis.

L’étude américaine sondait près de 2000 parents et leurs enfants, demandant à ces derniers de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes quant à l’alcool et au cannabis.

Le résultat est clair pour les chercheurs de la Sam Houston State University, Dre Kelly Chevalier en tête, et démontre que les risques sont nettement plus élevés pour les enfants de parents consommateurs et adeptes de ces drogues douces d’en faire eux-mêmes l’expérience sur une base régulière dans le futur.

On parle d’un risque cinq fois plus grand en matière d’alcool et deux fois plus grand concernant la marijuana, comparativement aux enfants de parents qui n’en consomment pas.

« Cette étude est unique et rare. Elle prédit l’usage de la substance sur plusieurs générations. Cette relation identifiée entre les générations peut fournir des informations importantes sur l’impact du comportement des parents dans l’adolescence et l’âge adulte de l’enfant », mentionne Dre Chevalier.

Les chercheurs croient donc qu’il est important pour les parents de revoir leurs habitudes à l’arrivée des enfants, ou de s’assurer de s’adonner aux vices des drogues douces et de l’alcool dans le plus grand secret, si absolument nécessaire.

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George Michael ne touche plus à la drogue

Comme le rappelle PurePeople, George Michael pouvait fumer jusqu’à 25 joints par jour. En 2010, il a reçu un verdict de condamnation pour conduite sous l’influence de drogue et a fait 4 semaines de prison. Cela ne l’a pas arrêté pour autant.

Par contre, il y a maintenant 18 mois qu’il a cessé toute consommation. « J’ai changé de vie », a-t-il déclaré au Daily Mail.

Une décision que George Michael a sans doute réfléchi avec les dernières épreuves qu’il a traversées. Le chanteur de 50 ans a été durement frappé par des problèmes de santé, la même année que son arrestation.

Le type de pneumonie qui l’a cloué sur son lit d’hôpital aurait pu être fatal. « Ça a failli me tuer », se rappelle-t-il. « Inconsciemment, ça m’a tellement effrayé que plus jamais je ne pourrai me sentir en pleine forme et en sécurité comme auparavant. »

S’il s’en est remis, l’accident de voiture mystérieux dont il est ressorti vivant, il y a quelques mois, l’aura sans doute convaincu de vivre sa vie sans l’influence de la drogue.

De retour à sa passion, la musique, George Michael s’apprête à lancer un nouvel opus intitulé Symphonica.

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George Michael ne touche plus à la drogue

Comme le rappelle PurePeople, George Michael pouvait fumer jusqu’à 25 joints par jour. En 2010, il a reçu un verdict de condamnation pour conduite sous l’influence de drogue et a fait 4 semaines de prison. Cela ne l’a pas arrêté pour autant.

Par contre, il y a maintenant 18 mois qu’il a cessé toute consommation. « J’ai changé de vie », a-t-il déclaré au Daily Mail.

Une décision que George Michael a sans doute réfléchi avec les dernières épreuves qu’il a traversées. Le chanteur de 50 ans a été durement frappé par des problèmes de santé, la même année que son arrestation.

Le type de pneumonie qui l’a cloué sur son lit d’hôpital aurait pu être fatal. « Ça a failli me tuer », se rappelle-t-il. « Inconsciemment, ça m’a tellement effrayé que plus jamais je ne pourrai me sentir en pleine forme et en sécurité comme auparavant. »

S’il s’en est remis, l’accident de voiture mystérieux dont il est ressorti vivant, il y a quelques mois, l’aura sans doute convaincu de vivre sa vie sans l’influence de la drogue.

De retour à sa passion, la musique, George Michael s’apprête à lancer un nouvel opus intitulé Symphonica.

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Prévenir la consommation de cannabis des adolescents passe par la communication

Selon Top Santé, le premier pas consiste à être attentif, à l’écoute, plutôt que de tomber dans le harcèlement trop incisif. Le pédopsychiatre Olivier Revol a répondu à quelques questions que se posent les parents.

Si vous savez que les copains de votre ado consomment du cannabis, il ne faut pas juger, critiquer ou l’empêcher de les fréquenter. Vous devez plutôt instaurer un climat de confiance et lui donner vos conseils, sans trop le questionner. Laissez-le s’ouvrir plutôt que le forcer.

Il semble qu’il soit inutile de plaider la cause de la santé. Mieux vaut mettre l’accent sur l’information. Entre autres, les effets désagréables, notamment l’angoisse et le délire parfois associés à la marijuana. Appuyez-vous sur de vraies expériences, des faits… et insistez sur la dépendance.

Si vous le prenez la main dans le sac ou que l’école le fait à votre place, il est encore préférable d’insister sur le côté judiciaire que de lui faire la morale.

Prônez par l’exemple. Si vous fumez vous-même et qu’il vous pose des questions, évitez de mentir. Mieux vaut cesser avant qu’il ne vous questionne.

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Utilisation du cannabis pour éliminer les nausées pendant la grossesse

Selon SheKnows, le cannabis serait utilisé pendant la grossesse pour diminuer les nausées sévères et la douleur, surtout lorsque les femmes souffrent d’hyperémèse gravidique (HG).

Le Dr Joey Rottman, un associé médical de Intergr8 Health à Burlington, explique que la marijuana est en effet reconnue pour apaiser les nausées et vomissements. « Dans plusieurs cas, elles considèrent le cannabis plus sécuritaire que la médication sous ordonnance ».

Le plus surprenant, c’est que certains spécialistes de la santé vont même approuver ce choix, voire le conseiller. « Mon médecin est d’avis qu’il y a des circonstances où les bienfaits surpassent les risques, et je suis dans cette catégorie », affirme une mère du Texas, qui a profité des bienfaits de la marijuana pendant sa grossesse.

Les résultats : moins de stress, élimination des nausées, retour de l’appétit. La consommation du cannabis se fait alors à l’aide d’un vaporisateur qui chauffe la marijuana à une température élevée afin qu’elle soit inhalée à l’aide d’un masque, sans aucune fumée.

Selon le Dr Rottman, les résultats des recherches sur les risques associés au cannabis sont nébuleux. « Ils ne séparent pas la consommation de cannabis et sa combinaison avec l’utilisation d’alcool », ce qui est un constat erroné, selon lui.

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Hausse des cas d’accidents de la route liés à la marijuana aux États-Unis

The National Library of Medicine rapporte des statistiques alarmantes démontrant une hausse significative des cas d’accidents de la route mortels liés à la consommation de marijuana, au cours des dix dernières années.

Ironiquement, la publication de ces statistiques en provenance des États-Unis survient au même moment où certains États américains viennent de légaliser le cannabis, notamment au Colorado et à Washington.

Selon les informations proposées par des chercheurs de l’Université Columbia, les accidents mortels liés à la consommation de cette drogue douce auraient triplé au cours de la dernière décennie.

« En ce moment, un conducteur sur neuf impliqué dans un accident de la route mortel serait testé positivement à la marijuana. Si la tendance se maintient, dans cinq ou six ans, les drogues auront dépassé l’alcool comme substance la plus impliquée dans les décès à survenir sur les routes », s’inquiète le Dr Guohua Li.

Le cannabis est donc de loin la substance qui affiche la plus grande progression à ce chapitre, un phénomène auquel il faudra s’attaquer vigoureusement, selon les chercheurs de Columbia.

L’un des principaux problèmes des autorités est la difficulté à créer et mettre sur pied des tests de dépistage. On estime cependant que de sérieuses percées pourraient être effectuées en ce sens au cours des cinq prochaines années.

Ces révélations ont été publiées en ligne dans l’American Journal of Epidemiology.

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Les États-Unis ouvrent leurs premiers coffee shops

À la suite d’une loi votée en novembre, les premiers coffee shops ont ouvert leurs portes mercredi (1er janvier) dans le Colorado, où les consommateurs pourront acheter légalement, à condition d’avoir au moins 21 ans, jusqu’à 28 grammes de cannabis à chaque visite. Dans l’État de Washington, dans le nord-ouest du pays, les premiers magasins devraient ouvrir d’ici le printemps.

Au Kush Club à Denver, dans le Colorado, on vend maintenant l’herbe sous différentes formes. Sur le comptoir, des bocaux de semences portent des noms évocateurs comme Fraises Kush, Amnésie, Diesel acide, Chèvre dorée ou Crack vert. On y trouve aussi des bonbons enrobés de THC, l’agent chimique actif du cannabis.

Le propriétaire de la boutique, Darin Smith, s’attend désormais à accueillir quelque 400 consommateurs par jour, maintenant que la vente est légale, contre une centaine lorsqu’il vendait la drogue uniquement à des fins thérapeutiques.

Le principal groupe de pression pour la légalisation du cannabis, le Marijuana Policy Project (MPP), a salué dans un communiqué « la fin de la Prohibition du cannabis », en référence aux 13 années (1920-1933) pendant lesquelles l’alcool était interdit aux États-Unis.

Cette loi est une première sur le continent américain, où la politique combinait plutôt interdiction et répression pour les consommateurs, et lutte armée contre les producteurs et les trafiquants.

Mais en mai, l’Organisation des États américains (OEA) (pays du continent hors Cuba) a publié un rapport invitant à étudier une éventuelle légalisation du cannabis.

Et le 10 décembre, le Sénat uruguayen a approuvé la légalisation de la production et la vente de cannabis avec une mise en oeuvre au premier semestre 2014.

Le Mexique commence à l’envisager, et le Canada envisage de se contenter d’infliger une amende aux consommateurs de cannabis.

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La marijuana pour être un meilleur parent

Comme le rapporte Parent Society, on ne condamne pas les parents qui prennent une bière en revenant du travail ou une coupe de vin pendant le repas, ou encore la mère qui partage un cocktail avec une amie pendant une visite avec les enfants.

Alors, pourquoi fumer du pot serait-il garant d’une mauvaise réputation pour un parent? Mickey Martin, fondateur de Parents4pot et activiste pour la légalisation de cette drogue, s’oppose à cette étiquette.

D’ailleurs, il n’est pas le seul à revendiquer les bienfaits du cannabis. Dale Gieringer, représentant du groupe NORML pour la légalisation de la marijuana, y va d’arguments simples mais véridiques : « Le cannabis est moins toxique que le tabac et l’alcool ou un bon nombre de plantes d’intérieur ».

Il existe même un regroupement de mères en Californie, sous le pseudonyme Marijuana Moms, qui déclarent que le pot fait d’elles de meilleurs parents, alors qu’elles sont plus créatives et détendues.

Un récent sondage de Gallup a même atteint un record de 58 % des Américains qui sont en faveur de la légalisation de la marijuana. Jusqu’à présent, 20 États l’utilisent à des fins médicales.

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La consommation de cannabis chez les adolescents en baisse au Canada

On avait l’habitude d’associer la richesse d’un pays avec une présence accrue de consommation de cannabis chez les jeunes. Or, de nouvelles statistiques démontrent que les choses ont changé. Désormais, le cannabis est en baisse dans les pays développés, mais en hausse dans les pays en développement.

Une nouvelle étude publiée dans la revue en ligne Addiction a sondé des adolescents de 15 ans dans 30 pays européens et en Amérique du Nord, en 2002, 2006 puis 2010. Les données indiquent une diminution marquée de la consommation du cannabis, particulièrement dans ces pays : Belgique, Canada, Danemark, France, Allemagne, Irlande, Italie,  Pays-Bas, Portugal, Espagne, Royaume-Uni et États-Unis. Ces données concernent autant les filles que les garçons.

Quant aux pays où l’utilisation est en hausse, il s’agit pour les garçons de la Macédoine, de la Lettonie et la Lituanie. Chez les filles, c’est surtout en Russie que la consommation de cannabis a monté en flèche.

Medical News Today rapporte que les chercheurs croient que la mise en place de politiques nationales de santé dans les pays riches peut avoir contribué à cette forte diminution.

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De plus en plus d’appuis à la légalisation de la marijuana

<On sent que le vent est en train de tourner lorsqu’il est question de l’épineux et controversé dossier de la légalisation de la marijuana, alors que plusieurs appuis de taille s’accumulent depuis un certain temps.

Et on ne parle pas de simples amateurs de cannabis, mais plutôt d’éminents spécialistes, de médecins et de politiciens.

On se rappelle des commentaires récents de Justin Trudeau, chef du parti libéral du Canada et aspirant au titre de premier ministre canadien, quant à regarder avec attention la possibilité de légaliser la marijuana.

Plusieurs autres avant lui ont risqué de tels propos, et quelques États américains sont même passés de la parole aux actes lors de la dernière élection générale.

C’est maintenant au tour du Dr Sanjay Gupta, de CNN, de pencher en faveur de la légalisation, rapporte le Daily Mail (UK). Pourtant, le célèbre praticien s’était pourtant montré réfractaire à l’idée jusqu’à tout récemment…

Il mentionne un risque de dépendance plus faible qu’initialement démontré, des bénéfices médicaux actuellement marginalisés, et un manque de renseignements en général sur la question.

De plus, tout comme Trudeau, Gupta mentionne la question financière…. car une légalisation signifierait des gains substantiels pour les gouvernements.

Le Dr Sanjay Gupta propose un documentaire sur le sujet, présentement disponible sur CNN et au www.cnn.com.

sent que le vent est en train de tourner lorsqu’il est question de l’épineux et controversé dossier de la légalisation de la marijuana, alors que plusieurs appuis de taille s’accumulent depuis un certain temps.

Et on ne parle pas de simples amateurs de cannabis, mais plutôt d’éminents spécialistes, de médecins et de politiciens.

On se rappelle des commentaires récents de Justin Trudeau, chef du parti libéral du Canada et aspirant au titre de premier ministre canadien, quant à regarder avec attention la possibilité de légaliser la marijuana.

Plusieurs autres avant lui ont risqué de tels propos, et quelques États américains sont même passés de la parole aux actes lors de la dernière élection générale.

C’est maintenant au tour du Dr Sanjay Gupta, de CNN, de pencher en faveur de la légalisation, rapporte le Daily Mail (UK). Pourtant, le célèbre praticien s’était pourtant montré réfractaire à l’idée jusqu’à tout récemment…

Il mentionne un risque de dépendance plus faible qu’initialement démontré, des bénéfices médicaux actuellement marginalisés, et un manque de renseignements en général sur la question.

De plus, tout comme Trudeau, Gupta mentionne la question financière…. car une légalisation signifierait des gains substantiels pour les gouvernements.

Le Dr Sanjay Gupta propose un documentaire sur le sujet, présentement disponible sur CNN et au www.cnn.com.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net