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Syndrome de Down : un médicament à la rescousse de la mémoire

La qualité de vie des gens atteints du syndrome de Down pourrait être grandement améliorée, car un médicament pourrait stimuler la fonction de leur mémoire et ainsi leur permettre de retenir une foule d’informations importantes. Chose qu’ils ne réussissent plus à faire.

« Jusqu’à maintenant, il n’y avait jamais eu de résultats positifs dans les tentatives d’améliorer les capacités cognitives chez les personnes atteintes du syndrome de Down au moyen de médicaments », explique Alberto Costa, auteur de l’étude de l’École de médecine de l’Université du Colorado.

Les résultats de la recherche qui a duré plus de quatre ans sont publiés dans la revue Translational Psychiatry.

Parmi les 38 adolescents qui ont participé à l’étude, la moitié a pris de la mémantine, et l’autre un placebo pendant 16 semaines. Ceux prenant de la mémantine ont montré une amélioration significative de la mémoire épisodique verbale. L’un des plus graves cas de l’étude a d’ailleurs vu ses compétences de mémoire être améliorées de 10 fois.

M. Costa, qui avait effectué des expériences positives en 2007 sur des souris, dit avoir pour objectif d’entreprendre des tests sur des enfants d’âge scolaire qui sont en pleine période de développement et sur lesquels il serait facile d’avoir un suivi et de percevoir des résultats rapidement.

D’ici cinq ans, l’expert désire aussi savoir si la mémantine peut freiner et même stopper l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes atteintes du syndrome de Down.

Mentionnons que tous les enfants souffrant de la maladie de Down finissent par être atteints d’Alzheimer dans la trentaine.

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Ceinture de sécurité : pas si fiable!

Une étude menée par l’École de médecine de Yale a démontré que 75 % des bébés d’à peine 3 ans sont capables de défaire eux-mêmes leur ceinture de sécurité. Dans le cadre de cette recherche, près de la moitié des enfants l’ont même fait pendant que l’auto roulait.

Ce sont les observations provenant de questionnaires remplis par 100 parents d’enfants âgés de moins de 6 ans. On a aussi pu remarquer que le débouclage était plus fréquent chez les garçons que chez les filles vers l’âge d’un an.
 
Selon les chercheurs, il est possible d’expliquer ce phénomène par l’acquisition d’habiletés motrices avant les capacités cognitives, pour certains enfants. Ainsi, ils peuvent poser un tel geste sans encore comprendre les règles de sécurité.

Le port de la ceinture est pourtant d’une grande importance. Il semble qu’un enfant court 3,5 fois plus de risques de blessures graves s’il n’est pas attaché en voiture.