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Les plages des Caraïbes infestées d’algues

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Des bancs d’algues déferlent sur les plus belles plages de la plupart des pays des Caraïbes, résultant des changements climatiques.

C’est autour de 2014 que la transformation des plages s’est amorcée. À cette époque, quelques rares algues s’échouaient sur les plages des pays chauds.

Aujourd’hui, le phénomène est si répandu qu’il menace l’industrie touristique.

Pour attirer encore des touristes, les autorités des pays concernés embauchent des équipes, qui du matin au soir, retirent ces bancs d’algues au prix d’un travail éreintant en plein soleil.

Malgré tous ces efforts, l’industrie tremble. Au Mexique, 50 % des revenus touristiques proviennent de la région de Riviera Maya, aux prises avec des algues, révèle le Daily Mail.

« C’est l’un des plus gros défis que les changements climatiques causent », soutient un porte-parole de l’État de Quintana Roo.

Les touristes ne désirant pas avoir de mauvaises surprises à leur arrivée à destination peuvent consulter le site de The Cleaner Ocean qui cartographie les plages infectées dans le monde par ce fléau.

Photo : Nico Mazzanti/picture-alliance/Cover Images

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À la découverte de Antigua et Barbuda

Les sites incontournables
Antigua
Avec une superficie de 280 km2, Antigua est la plus grande des îles Sous-le-Vent dont le point culminant, Boggy Peak, s’élève à 405 mètres d’altitude. Ses côtes, qui se découpent en une multitude de criques, baies et ports, sont ponctuées d’une myriade de plages propices au farniente et aux sports nautiques.
 
St John’s, la capitale
Antigua ne se résume pas uniquement aux plaisirs balnéaires. Sa capitale, St John’s, s’inscrit comme une visite passionnante. Elle abrite des monuments historiques comme la cathédrale dont la première construction remonte à 1683 et le musée national qui présente une multitude d’objets retraçant l’histoire des îles.
 
English Harbour, un port naturel
Au sud d’Antigua, English Harbour est un port naturel. Ici, le musée et les bâtiments restaurés de Nelson’s Dockyard perpétuent le souvenir des batailles navales livrées par la Royal Navy contre les Français, les Espagnols et les Hollandais aux XVIIIe et XIXe siècles.
 
Barbuda
A 40 km au nord d’Antigua, Barbuda est une île préservée de 160 km2 qui constitue une halte privilégiée pour passer quelques jours en totale communion avec la nature. Avec ses superbes plages dont la plus longue s’étire sur onze kilomètres et son arrière-pays boisé, c’est un lieu de prédilection pour observer les oiseaux dans la réserve naturelle, en particulier les frégates, les cochons sauvages et les daims.
 
Une palette d’activités
A Antigua & Barbuda, il vous sera encore très facile de faire des mini croisières d’une journée à bord d’un catamaran avec à la clé toutes les joies du snorkeling ou de la plongée sous-marine, de prendre des photos exceptionnelles en les survolant en hélicoptère ou de partir pour une randonnée dans la zone forestière tropicale d’Antigua qui propose trois circuits à thème offrant des vues panoramiques d’une incroyable beauté.

Et puis, entre pêche au gros, surf, planche à voile, voile, cricket, golf, tennis ou équitation, ici, vous aurez tout le loisir de satisfaire vos passions sportives.
  
Le saviez-vous ?
Christophe Colomb
C’est Christophe Colomb qui a découvert Antigua en 1493 et l’a appelé ainsi en hommage à la Vierge Miraculeuse Santa Maria de la Antigua de la cathédrale de Séville, en Espagne.
 
Une destination plurielle
Antigua et Barbuda offre la combinaison en un lieu unique de deux aspects différents mais complémentaires : une multitude d’activités et de loisirs à Antigua, une garantie de tranquillité et de vie « nature » à Barbuda. Aujourd’hui, ces deux îles au soleil déclinent 365 plages de sable blanc (une par jour !)
  
Les coups de cœur
Le Doww’s Hill Interpretation Center pour tout connaître sur la vie des Amérindiens.
L’Harmony Hall Art Gallery pour apprécier l’artisanat local.
Betty’s Hope, ancienne plantation de canne à sucre construite en 1650.
Une mini croisière d’une journée à bord d’un catamaran avec à la clé toutes les joies du snorkeling ou de la plongée sous-marine,
Le Grand Princess Casino, à côté du Jolly Beach Resort, l’un des casinos parmi les plus récents et les plus modernes de la Caraïbe de l’Est.
  
A savoir avant de partir
La meilleure période : de décembre à avril.
Quelques précautions : conditions de circulation assez difficiles.
N’oubliez pas d’emporter des lunettes de soleil, de la crème solaire, des vêtements en coton, un maillot de bain, vos médicaments…

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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Venezuela : Plongée sous-marine dans les iles

Los Roques, l’archipel aux pélicans

Los Roques est une dépendance fédérale composée de 350 îles, les cayes, posées sur la mer des Caraïbes à 160 km au large de Caracas, la capitale du Venezuela. Protégé par une barrière de récifs coralliens, cet archipel, également parc national, forme un lagon où les eaux chaudes et translucides invitent à l’exploration sous-marine. Situés entre quinze minutes et une heure de bateau du rivage, les endroits pour pratiquer la plongée sous-marine dégagent une visibilité jusqu’à 35 mètres! Cayo Sal et ses parois trouées de grottes, Boca de Cote et ses tombants spectaculaires, les pinacles de la Guasa, les grottes de Solapa Rabusqui, les épaves de Nordisqui, Boca de Sebastopol et ses requins marteaux, dos Mosquises et ses tortues, tous ces sites sont de véritables petits paradis tels qu’il en existe peu au monde!

Isla Margarita, perle des Caraïbes

Lovée dans les Petites Antilles au nord-est de Caracas, voici une des merveilles du Venezuela, Margarita, accompagnée de ses deux iles sœurs, Cubagua et Coche. C’est la plus grande et la plus peuplée des cayes. Les plages s’étirent sans fin tout autour de l’ile. Branchées, touristiques et chics, sportives ou désertes et secrètes, elles représentent de formidables invitations au bonheur. Celle d’El Yaque accueille les véliplanchistes du monde entier, tandis que sur Parguito, les surfeurs profitent de la force des vagues. Les fonds marins peuplés d’une faune riche et variée attirent tous les plongeurs passionnés sur les sites de l’archipel de Los Frailes, de l’ilot el Farallon et de l’épave de Cubagua. Coche est reliée à Margarita par un transbordeur qui navigue de Punta de Piedra à San Pedro, l’unique village de l’ile.

Les Aves de Barlovento, somptueux parcs marins

Les iles de Barlovento et celles de Sotavento sont deux constellations de poussières d’iles coralliennes quasiment vierges où vivent de nombreuses espèces d´oiseaux, fous, hirondelles, pélicans, toutes sortes d’échassiers, sans oublier les tortues marines et les dauphins… À ne pas manquer!

Les Testigos, un refuge pour les oiseaux

À l’est de Margarita, les sept iles semi-désertiques de l’archipel des Testigos constituent un refuge pour de nombreux oiseaux, comme les frégates, pailles-en-queue, sternes… La beauté des plages de sable blanc et les fonds marins de toute beauté en font un lieu de séjour et de plongée sous-marine inoubliable. Là, les courants froids de l’océan Atlantique se mêlent aux eaux chaudes de l’Amazone chargées de planctons, et la faune marine abonde autour de ces perles tropicales sauvages.

La Blanquilla, havre de paix

L’ile de la Blanquilla, au nord-ouest de Margarita, est un havre de paix habité par quelques pêcheurs. Elle doit son nom à la blancheur du sable constitué d’une poudre de corail. Les plages, tranquilles aux eaux chaudes et cristallines, ne laissent pas soupçonner les étonnantes plongées sous-marines qui s’offrent à quelques mètres sur la falaise de calcaire qui plonge à 3000 mètres! Et sur les affleurements des rochers, on peut admirer les rares coraux noirs qui poussent ici à profusion.

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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Venezuela : Plongée sous-marine dans les iles

Los Roques, l’archipel aux pélicans
Los Roques est une dépendance fédérale composée de 350 îles, les cayes, posées sur la mer des Caraïbes à 160 km au large de Caracas, la capitale du Venezuela. Protégé par une barrière de récifs coralliens, cet archipel, également parc national, forme un lagon où les eaux chaudes et translucides invitent à l’exploration sous-marine. Situés entre quinze minutes et une heure de bateau du rivage, les endroits pour pratiquer la plongée sous-marine dégagent une visibilité jusqu’à 35 mètres! Cayo Sal et ses parois trouées de grottes, Boca de Cote et ses tombants spectaculaires, les pinacles de la Guasa, les grottes de Solapa Rabusqui, les épaves de Nordisqui, Boca de Sebastopol et ses requins marteaux, dos Mosquises et ses tortues, tous ces sites sont de véritables petits paradis tels qu’il en existe peu au monde!
 
Isla Margarita, perle des Caraïbes
Lovée dans les Petites Antilles au nord-est de Caracas, voici une des merveilles du Venezuela, Margarita, accompagnée de ses deux iles sœurs, Cubagua et Coche. C’est la plus grande et la plus peuplée des cayes. Les plages s’étirent sans fin tout autour de l’ile. Branchées, touristiques et chics, sportives ou désertes et secrètes, elles représentent de formidables invitations au bonheur. Celle d’El Yaque accueille les véliplanchistes du monde entier, tandis que sur Parguito, les surfeurs profitent de la force des vagues. Les fonds marins peuplés d’une faune riche et variée attirent tous les plongeurs passionnés sur les sites de l’archipel de Los Frailes, de l’ilot el Farallon et de l’épave de Cubagua. Coche est reliée à Margarita par un transbordeur qui navigue de Punta de Piedra à San Pedro, l’unique village de l’ile.
 
Les Aves de Barlovento, somptueux parcs marins
Les iles de Barlovento et celles de Sotavento sont deux constellations de poussières d’iles coralliennes quasiment vierges où vivent de nombreuses espèces d´oiseaux, fous, hirondelles, pélicans, toutes sortes d’échassiers, sans oublier les tortues marines et les dauphins… À ne pas manquer!
 
Les Testigos, un refuge pour les oiseaux
À l’est de Margarita, les sept iles semi-désertiques de l’archipel des Testigos constituent un refuge pour de nombreux oiseaux, comme les frégates, pailles-en-queue, sternes… La beauté des plages de sable blanc et les fonds marins de toute beauté en font un lieu de séjour et de plongée sous-marine inoubliable. Là, les courants froids de l’océan Atlantique se mêlent aux eaux chaudes de l’Amazone chargées de planctons, et la faune marine abonde autour de ces perles tropicales sauvages.
 
La Blanquilla, havre de paix
L’ile de la Blanquilla, au nord-ouest de Margarita, est un havre de paix habité par quelques pêcheurs. Elle doit son nom à la blancheur du sable constitué d’une poudre de corail. Les plages, tranquilles aux eaux chaudes et cristallines, ne laissent pas soupçonner les étonnantes plongées sous-marines qui s’offrent à quelques mètres sur la falaise de calcaire qui plonge à 3000 mètres! Et sur les affleurements des rochers, on peut admirer les rares coraux noirs qui poussent ici à profusion.
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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Potins

Courteney Cox s’offre une escapade romantique pour ses 50 ans

La vedette de Friends et de Scream, Courteney Cox, s’offre une escapade romantique pour souligner de belle façon l’arrivée de ses 50 ans, rapporte ELLE Canada.

L’actrice, maintenant en couple depuis plusieurs mois avec Johnny McDaid, s’est envolée samedi dernier (14 juin) en compagnie de ce dernier pour une virée aux Amanyara Turks et Caicos, dans les Caraïbes.

« Son anniversaire était dimanche (15 juin), et ils ont passé tout l’après-midi sur la plage. Ils étaient seuls et se sont trouvé un petit coin tranquille. Courteney semblait ne pas vouloir être ailleurs dans le monde. Ils sont ensuite rentrés à leur chambre », mentionne une source, visiblement trop curieuse.

Un anniversaire paradisiaque pour la star de Cougar Town, qui rend parfaitement justice à son personnage en fréquentant Johnny McDaid, de la formation Snow Patrol, de 13 ans son cadet.