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L’huile d’olive contre les maladies cardiaques

En fait, cette quantité d’huile d’olive absorbée quotidiennement pourrait réduire les risques de plus de 28 %.

Cette étude est l’une des rares qui se concentrent sur les bénéfices de l’huile d’olive et la réduction des risques de mort à la suite d’une maladie cardiaque.

Même si l’American Journal of Clinical Nutrition mentionne que l’huile d’olive ne réduit pas les risques de décès liés au cancer, elle a un énorme impact sur le nombre de décès dus aux maladies cardiaques.

En fait, ces effets positifs sur la santé seraient même plus bénéfiques qu’on le pensait.

L’huile d’olive est assez riche en acides gras mono-insaturés sains et en polyphénols, qui sont des composés qui atténuent l’inflammation dans le corps et peuvent même réduire les risques de caillots.

Rappelons qu’une consommation régulière d’huile d’olive peut aussi aider à réduire le taux de cholestérol sanguin. Elle réduit donc, par conséquent, les risques de maladies cardiovasculaires, en raison du fait que jusqu’à 83 % des acides gras de l’huile d’olive sont mono-insaturée.

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Le succès en affaires efficace contre les maladies cardiaques

C’est bien connu, les promotions au boulot font le bonheur des employés, mais elles sont aussi bonnes pour leur santé.

Une étude effectuée sur 47 000 employés civils de Whitehall a permis de révéler que les gens ayant bénéficié d’une promotion ont 20 % moins de chances de développer une maladie cardiaque.

Aussi, de précédentes études ont prouvé que les récipiendaires d’Oscars, de Prix Nobel ou les joueurs de baseball ayant accédé au Hall of Fame avaient une meilleure longévité que les autres.

« Des chocs favorables peuvent affecter positivement la santé », selon Sir Michael Marmot, meneur de cette étude et professeur d’épidémiologie à l’University College London.

Il a également dit que les individus capables d’accéder à un niveau socioéconomique plus élevé étaient en meilleure santé.

Rappelons que d’autres moyens existent pour entretenir notre coeur. Manger du poisson deux fois par semaine serait meilleur que de prendre des suppléments d’huile de poisson pour garder le coeur en santé.

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Le cari bon pour le coeur

Le pontage est effectué afin de permettre à plus de sang de se rendre au coeur. Cependant, le coeur peut être endommagé par l’absence de sang durant l’intervention, ce qui augmente les risques de crise cardiaque.

Or, une étude de la Chiang Mai University en Thaïlande a révélé que le cari agirait contre ces risques.

De plus, la curcumine, les pigments jaunes de l’épice, sont reconnus pour avoir des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.

Des recherches ont suggéré que l’inflammation jouait un rôle important dans le développement de plusieurs maladies, dont les maladies cardiaques. En fait, les consommateurs de curcumine auraient 65 % moins de chances de subir une crise cardiaque.

« La curcumine a été utilisée durant de nombreuses années afin de réduire l’inflammation, la toxicité de l’oxygène et le nombre de radicaux libres dans plusieurs expériences », explique une cardiologue de l’University of Arkansas for Medical Sciences, Jawahar Metha.

Toutefois, la cardiologue spécifie que le cari ne remplace pas la médication. De plus, le cari pourrait avoir des conséquences néfastes sur la santé s’il est pris en trop grande quantité.

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Les cardiaques ne devraient pas arrêter de prendre de l’aspirine

Récemment, une étude ne recommandait plus l’utilisation de faibles doses d’aspirine pour prévenir les crises cardiaques.
 
Après avoir analysé de nombreuses données, on disait que l’aspirine avait très peu d’effets préventifs. Les effets anticoagulants aidaient non seulement à prévenir les caillots de sang, mais augmentaient aussi les risques de saignements, surtout dans le système digestif et le cerveau.
 
Le British Medical Journal publie cependant une nouvelle étude britannique qui mentionne que les personnes cardiaques ne devraient pas cesser l’emploi de l’aspirine quotidiennement, car cela augmenterait de 60 % les risques de rechute dans les trois années suivantes.
 
Cette nouvelle recherche a été effectuée auprès de 40 000 personnes qui recevaient de l’aspirine à faibles doses pour leurs antécédents cardiaques.
 
Celles qui avaient arrêté de prendre de l’aspirine ont vu leur risque de crise cardiaque augmenter de deux tiers.
 
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Les cardiaques soumis aux radiations s’exposent plus au cancer

Une étude menée par la Dre Louise Pilote de l’Institut de recherche du Centre de santé McGill révèle que les personnes cardiaques ont plus de risques d’avoir un cancer si elles ont été soumises aux radiations dans une procédure thérapeutique.
 
83 000 dossiers de patients québécois ont été analysés et on relève des milliers de cas de cancers, soit 12 020 chez ceux ayant eu des radiations après une intervention cardiaque à la suite d’une crise. 
 
Dans 77 % des cas, on prescrit une imagerie cardiaque ou des radiations de faible intensité par mesure thérapeutique pour les personnes ayant fait un infarctus du myocarde.
 
Selon les données rapportées par le Journal de l’Association médicale canadienne, de faibles radiations sont suffisantes pour faire augmenter les risques, de sorte que les experts se questionnent et envisagent des traitements mieux adaptés.
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Moins d’activités physiques avec des enfants

L’Institut de cardiologie de Montréal vient de dévoiler les résultats surprenants d’une étude sur l’activité physique de ses patients.
 
Les médecins ont voulu savoir pourquoi la majorité des personnes suivies à l’Institut pour des maladies coronariennes n’arrivaient pas à inclure des activités physiques à leur horaire. Les résultats de leur recherche dévoilent que les enfants seraient en cause.
 
En effet, vivre en couple n’aurait aucune incidence sur le fait que les personnes bougent moins, mais lorsqu’on y ajoute des enfants, il y a plus de sédentarité. Les personnes travaillent et s’occupent de leur famille, donc elles manquent de temps et d’énergie pour s’adonner à des exercices.
 
Ces conclusions forcent les spécialistes à revoir leur stratégie et ils devront dorénavant inciter tous les membres de la famille à bouger. Cela aura comme conséquence également de prévenir certains problèmes plus tard si les enfants adoptent des activités physiques tôt dans leur vie.
 
On constate aussi que le fait de choisir d’avoir des enfants à un âge plus avancé pourrait expliquer la sédentarité. « Celles qui continuent de travailler ou de terminer des études avant d’avoir des enfants deviennent parfois des “Super Woman” capables de tout faire, mais qui s’oublient et qui, à la fin de la journée, sont celles qui en souffrent le plus », déclare la codirectrice de la recherche, Dre Kim Lavoie.
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Une mauvaise dentition serait reliée aux problèmes cardiaques

Depuis quinze ans, il a été démontré qu’une mauvaise santé buccale était reliée à un risque accru de maladies cardiovasculaires, mais pour la toute première fois, une nouvelle étude suédoise établit un lien direct entre le nombre de dents et les problèmes cardiaques.
 
Le Journal de Parodontie rapporte qu’une mauvaise santé dentaire est le premier signe de risque cardiaque. « Les maladies cardiovasculaires et en particulier les pathologies cardiaques coronariennes sont fortement liées au nombre de dents », mentionne l’un des auteurs, Anders Holmlund.
 
« Une personne avec moins de 10 dents a plus de sept fois plus de chances de mourir d’une maladie cardiaque coronarienne qu’une personne du même âge et du même sexe qui a plus de 25 dents. Le nombre de dents joue un rôle dans les maladies cardiaques, car les infections dans la bouche et autour des dents peuvent se répandre dans le système de circulation et créer des inflammations chroniques, un facteur connu d’accidents du cœur », ajoute M. Holmlund.
 
7 671 personnes ont participé à cette étude. La majorité souffrait de maladies dentaires. Elles ont été suivies pendant douze ans. 629 sont décédées et les chercheurs ont examiné les causes de décès.
 
Chaque année, plus de 17 millions de personnes dans le monde meurent des suites de problèmes cardiaques.