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Aucun lien démontré entre la prise de calcium et le risque cardiaque chez la femme

Les femmes qui consomment des suppléments de calcium pour prévenir ou traiter l’ostéoporose ou la détérioration des os ne seraient peut-être pas aussi à risque de troubles cardiovasculaires que le croyaient les spécialistes.

Une nouvelle étude, rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il n’est pas possible actuellement d’établir un lien entre la consommation de calcium et ce type de risque, à la suite des analyses qui s’avèrent inconsistantes.

Ce sont des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital (BWH) qui tirent ces conclusions, après avoir analysé le dossier de près de 75 000 femmes sur une période de 24 ans, rien de moins.

« Notre étude possède plusieurs forces comparativement aux études précédentes, notamment le nombre vaste de participantes et la durée du suivi », croit l’auteure de l’étude, Julie Paik.

Cette dernière admet toutefois que d’autres recherches exhaustives du genre seront nécessaires afin d’invalider définitivement le risque associé à la prise de suppléments de calcium chez la femme.

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Une nouvelle étude confirme le lien entre le stress et le risque cardiaque

On sait depuis un bon moment que les personnes stressées et anxieuses courent plus de risques cardiovasculaires à long terme, mais ce lien demeure toutefois souvent théorique et sans de réels fondements.

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus ce lien entre le stress et les problèmes cardiaques à long terme, et tente d’en expliquer les causes, rapporte The National Library of Medicine.

La recherche proposée par des chercheurs américains se base sur des analyses physiques de 150 sujets adultes, à qui l’on soumettait des images ou circonstances stressantes afin d’observer les réactions physiologiques inhérentes à cette émotion.

Les participants à l’étude ont démontré une série de réactions et de symptômes liés au développement et au risque de problème cardiovasculaire.

« Ces découvertes abondent dans le même sens que la croyance populaire qui veut que les émotions soient connectées au cœur humain », lance l’auteur de l’étude, Peter Gianaros.

D’autres études ont confirmé que le stress, la colère, l’anxiété et la dépression étaient des émotions capables d’augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les résultats de cette plus récente recherche ont été publiés dans le journal Biological Psychiatry.

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Certains bienfaits du vin remis en question

Une nouvelle étude remet en question certaines propriétés bienfaitrices du vin alléguées dans de précédentes recherches, rapporte MedicalNewsToday.

Ces nouvelles révélations contradictoires proviennent d’une étude menée par des chercheurs de la Johns Hopkins University School of Medicine, et mettent en doute les impacts du resvératrol, un antioxydant, sur la bonne santé des consommateurs de vin.

Le resvératrol est présumément capable de prévenir les risques de maladie cardiovasculaire, en plus de certains types de cancer. Or, selon le Dr Richard D. Semba qui dirige l’étude en question, rien ne serait certain.

« L’histoire du resvératrol s’annonce comme un autre cas de produit qui reçoit beaucoup d’attention pour des bienfaits sur la santé qui ne résistent pas à l’épreuve du temps », lance le Dr Semba, cinglant.

C’est après avoir observé et analysé 783 sujets féminins et masculins âgés de plus de 65 ans que les chercheurs ont pu constater les effets limités du vin et du resvératrol sur la santé.

L’étude propose donc une nouvelle réflexion et invalide toute « certitude » concernant le vin. D’autres recherches seront donc probablement conduites afin d’en savoir davantage sur le sujet.

Les conclusions du Dr Semba et de son équipe ont été publiées dans le JAMA Internal Medicine.

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Les fibres seraient de précieuses alliées santé à la suite d’une crise cardiaque

Une nouvelle étude vante de nouveau les mérites des fibres sur la santé cardiovasculaire, plus spécialement en ce qui concerne les patients qui ont survécu à une crise cardiaque.

Les chercheurs en tête de l’étude estiment que les patients ayant subi un incident cardiaque qui mangent leur part de fibres par la suite vivent plus longtemps que les autres.

Les fibres les plus bénéfiques seraient par ailleurs celles des grains entiers, que l’on retrouve dans l’avoine et dans certains pains et céréales, révèle l’étude.

Ce constat est le fruit d’une analyse des dossiers de 4000 adultes américains qui ont subi une première crise cardiaque, rapporte The National Library of Medicine.

Bien qu’aucune cause à effet ne soit établie, les spécialistes de Harvard derrière la recherche n’hésitent pas à conseiller vivement l’ajout de fibres au régime alimentaire de ce type de patients.

« Les survivants d’une crise cardiaque devraient considérer la consommation de plus de produits à haute teneur en fibres, incluant les grains entiers, les fruits et les légumes », résume le professeur Eric Rimm.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition virtuelle de BMJ.

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La consommation de fer peut augmenterait les risques de maladies cardiaques

Une étude vient renforcer le lien établi entre la consommation de viande rouge et la hausse des risques de maladies cardiaques, rapporte MedicalNewsToday.

Se concentrant sur la consommation de fer, l’étude en provenance de l’Université de l’Indiana trace un parallèle évident entre celle-ci et les risques de décès à la suite d’un problème coronarien ou cardiovasculaire.

On parle même d’un risque accru de 57 % chez les grands consommateurs de viande, rapporte cette même source, alors que l’on peine à établir un tel parallèle avec le fer retrouvé dans les sources végétales.

Il est également étonnant d’apprendre que le fer se stocke dans le corps de telle manière qu’il est presque impossible de l’éliminer. Donner du sang serait l’une des seules options possibles. La consommation de café pourrait cependant empêcher ou ralentir l’absorption du fer dans le sang.

L’étude confirme donc une nouvelle fois que la consommation de viande rouge doit être modérée, et qu’il est préférable de se tourner vers des options végétales dans les choix alimentaires

Cette nouvelle étude a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Les suppléments de testostérone potentiellement dangereux

Les hommes qui consomment des suppléments de testostérone sont peut-être plus à risque de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une nouvelle recherche de l’Agence européenne du médicament (EMA).

La nouvelle rapportée par Top Santé fait état d’un risque accru de crise cardiaque, même si la FDA américaine n’a pas encore statué sur le sujet, après avoir promis de se pencher sur le dossier. La prise de ces suppléments est particulièrement élevée en Amérique du Nord, et l’EMA veut s’assurer de la sécurité des Européens en la matière.

Les risques sont évidemment plus élevés chez les hommes de 60 ans et plus. Une étude publiée par PLoS One avait d’ailleurs lancé une alerte après avoir constaté deux fois plus de cas d’arrêt cardiaque dans cette tranche d’âge, chez les hommes qui consommaient de la testostérone.

Les chercheurs de l’EMA veulent notamment déterminer si les dangers relatifs à la prise de suppléments de testostérone sont liés à la consommation directement ou encore aux comportements ultérieurs, comme une vie sexuelle plus active ou un entraînement physique plus intense.

Un dossier à suivre donc, mais qui laisse sous-entendre que la prudence est de mise en ce qui concerne les hommes et les suppléments de testostérone.

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Les fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol.

Les taux de mauvais cholestérol, appelé LDL, représentent un facteur de risque pour la santé cardiovasculaire. La hausse observable du phénomène au sein de la population pousse les chercheurs à tenter de trouver des solutions naturelles et alimentaires au problème.

C’est ainsi que des chercheurs canadiens se sont penchés sur les propriétés des pois et des lentilles, en se basant sur l’analyse de 26 études alimentaires sur le sujet, comprenant au total de plus de 1000 sujets volontaires.

Les résultats démontrent que seulement une portion par jour (3/4 de tasse) de ces légumes permet une réduction du LDL de 5 %.

5 % qui signifient aussi directement une baisse du risque cardiovasculaire de 5 %, selon le Dr John Sievenpiper de l’Hôpital St. Michaels de Toronto.

Même si aucune cause à effet n’a été démontrée, tous les spécialistes ayant travaillé à ces études ou ayant été questionnés sur le sujet n’ont pas hésité à conseiller vivement la consommation des pois, fèves et lentilles pour améliorer les taux de cholestérol dans le sang.

Les résultats de cette plus récente méta-analyse ont été publiés dans le Canadian Medical Association Journal.

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La dépression est un facteur de risque d’insuffisance cardiaque

Alors qu’on pourrait croire que la dépression et les troubles dépressifs nous font tourner au ralenti et que, par conséquent, ils nous éloignent de la crise ou du problème cardiaque, il semble que ce soit le contraire.

Une nouvelle étude dévoile des statistiques alarmantes en la matière, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs norvégiens évaluent la hausse du risque d’insuffisance cardiaque à 40 % chez les personnes dépressives.

« Nous avons constaté une relation entre les symptômes dépressifs et le risque de développer une insuffisance cardiaque. Cela signifie que le plus vous vous sentez déprimé, plus vous êtes à risque d’infarctus » explique l’infirmière Lise Tuset Gustad.

C’est en évaluant 1500 cas d’insuffisance cardiaque au cours de l’étude que les chercheurs ont découvert que 40 % d’entre eux vivaient des problèmes de dépression. On recommande maintenant aux personnes qui se sentent déprimées de consulter rapidement un spécialiste.

« Les personnes qui ont perdu tout intérêt pour les choses auxquelles elles prenaient plaisir, comme lire ou regarder une série télévisée, peuvent présenter les premiers signes de la dépression. C’est une bonne idée de les inciter à consulter le médecin pour obtenir quelques conseils sur la façon de réduire le niveau de dépression », estime Mme Lise Tsuet Gustad.

Les conclusions de l’étude ont été présentées dans le cadre de l’EuroHeartCare, un congrès annuel de la Société européenne de cardiologie.