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Une autre étude trace un lien entre la bière et la santé cardiaque

Plusieurs études publiées récemment affirment que la bière n’est pas si dommageable pour la santé qu’on pourrait le croire, à condition bien sûr de la consommer avec modération et jugement, et il semble que cette théorie ne fasse que s’étayer avec le temps.

Le Daily Mail (UK) rapporte justement une nouvelle étude sur le sujet qui abonde dans le même sens et qui explique les bienfaits d’une bonne bière froide sur le cœur et la santé cardiaque en général.

C’est qu’une bière ou encore une pinte permettrait d’améliorer la qualité de la performance des vaisseaux sanguins, en plus de rendre les artères plus « flexibles ». Une relaxation de l’organisme, en bref, qui ne serait pas ressentie que par l’individu qui consomme la bière, mais aussi par son système cardiovasculaire.

Certains chercheurs avancent même que le fait de boire une pinte de bière par jour pourrait réduire les risques d’ACV de 30 %!

À noter, cet effet ne serait pas observable en ce qui concerne les bières non alcoolisées, ce qui fera plaisir aux puristes.

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Les anti-inflammatoires pourraient causer des problèmes cardiaques

L’ibuprofène et ses homologues de la famille des anti-inflammatoires s’avèrent souvent la solution la plus efficace et abordable pour plusieurs problèmes de santé.

Qui n’a jamais utilisé les anti-inflammatoires, véritables sauveurs, pour se soulager! Cependant, une nouvelle étude vient mettre en garde les consommateurs contre une utilisation massive et à long terme de ces produits.

Des chercheurs de l’Université d’Oxford se sont penchés sur la question et ont découvert certains effets potentiellement désastreux des anti-inflammatoires sur la santé cardiaque, rapporte Top Santé

L’étude est bien étoffée, comptant sur l’analyse de près de 400 000 patients consommateurs de ce type de médicaments.

Les risques de troubles cardiaques ou d’infarctus sont bien réels, notent les chercheurs, mais les chiffres restent relativement et heureusement bas.

On note une hausse de huit patients affichant des problèmes cardiaques sur un bassin de mille. Plusieurs cas d’ulcères ont cependant été rapportés.

« Ces risques de maladie cardiovasculaire ou d’infarctus ne concernent que les patients qui prennent de fortes doses quotidiennes et sur le long terme. Mais ces patients ne doivent pas perdre de vue ce risque, et ne pas hésiter à en parler à leur médecin traitant », conclut le professeur Colin Baigent, directeur de l’étude. 

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Une super-étude vilipende les oeufs

Il y a de ces aliments qui semblent ne jamais cesser d’attiser la polémique. Les œufs font manifestement partie de cette catégorie, les spécialistes et nutritionnistes de ce monde y allant constamment d’opinions divergentes sur le sujet.

Cette fois, c’est une super-étude publiée dans le magazine Atherosclerosis, et rapportée par Nutrition News, qui risque de faire jaser. La recherche étoffée, qui compilait les données de plusieurs autres études précédentes sur le sujet, accuse les œufs de faire grimper les risques de diabète et de maladies cardiovasculaires.

Ceux qui mangent le plus d’œufs hebdomadairement verraient leurs risques de développer ce genre de problème de santé bondir de plus de 60 %!

Pire encore, les gens déjà aux prises avec des problèmes liés au diabète auraient, quant à eux, 83 % plus de chances de développer un problème cardiaque dans l’avenir.

D’autres études ont cependant vanté plusieurs propriétés des œufs dans le passé, ce qui témoigne de l’absence de consensus en la matière.

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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Les raisins à la défense de votre coeur

Medical News Today rapporte une étude publiée dans le Journal of Nutritional Biochemistry qui vante les bienfaits des raisins sur le cœur.

Les chercheurs américains, basés à l’Université du Michigan, ont identifié un processus remarquable de défense du cœur initié par certains aliments, notamment le raisin.

Ce dernier permet une réponse défensive de l’organisme, dans ce cas-ci le cœur, par la stimulation de gènes responsables de la production d’antioxydants.

Déjà connu pour sa forte teneur en antioxydants et en polyphénols, le raisin favoriserait donc une réponse particulièrement intense de la part du cœur.

L’ajout de raisins à l’alimentation de certaines personnes souffrant de haute pression et de troubles cardiaques permettrait ainsi de mieux prévenir d’éventuels accidents cardiovasculaires.

« Nos études précédentes démontraient les effets protecteurs des raisins sur le cœur, mais nous ne connaissions pas le mécanisme. Grâce à cette étude, qui démontre l’influence génétique des raisins sur l’organisme et sa défense, on prouve que ceux-ci fonctionnent à de multiples niveaux pour produire cet effet bénéfique », résume E. Mitchell Seymour, qui participe à l’étude.

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Abuser de l’alcool tôt peut mener à des problèmes cardiaques rapidement

Les cas d’AVC et de troubles cardiovasculaires à un jeune âge chez les gens qui ont abusé de l’alcool très tôt dans leur vie sont fréquents, à tout le moins plus qu’on l’imagine.

Et ils pourraient être en hausse, car le phénomène du binge drinking (le fait de consommer beaucoup d’alcool dans un court laps de temps et de façon répétée) est de plus en plus populaire sur les campus et dans les établissements scolaires.

Les étudiants et les autres jeunes adultes croient à tort que la jeunesse est gage d’invincibilité, et que leur comportement n’aura pas vraiment d’incidence. Or, si c’est vrai pour certains, plusieurs autres pourraient avoir de mauvaises surprises, rapporte Santé Log.

Une étude américaine, parue dans le journal de l’American College of Cardiology, fait état de cas de plus en plus nombreux d’AVC et de problèmes cardiovasculaires directement liés à l’alcool, et qu’on peut relier à une consommation massive entre l’âge de 18 et 25 ans.

L’American College of Cardiologycroit qu’un travail colossal de sensibilisation est à faire auprès de la jeune génération, car on ignore pour l’instant si les dommages causés par le binge drinking sont réversibles.

Plusieurs études sur le sujet sont en cours…

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Percée importante en prévention des AVC

Plusieurs personnes qui ne présentent pourtant pas de symptômes se retrouvent subitement avec des problèmes cardiovasculaires ou subissent une attaque cardiaque soudaine.

Ces cas pourraient bientôt être évités grâce à une nouvelle découverte, rapporte Santé Log.

Selon la publication, des chercheurs de la Cleveland Clinic ont découvert un composé du sang qui pourrait prédire les facteurs de risques cardiovasculaires et ainsi prévenir plusieurs décès avant que le mal frappe.

C’est l’oxyde de triméthylamine, selon l’étude, qui pourrait indiquer le risque imminent d’un AVC chez un patient qui semble pourtant en bonne santé.

L’oxyde, aussi nommé TMAO, permet de prédire les risques éventuels lorsqu’on analyse ses niveaux dans le sang d’un sujet.

Cette recherche innovatrice, publiée dans la plus récente édition du New England Journal of Medicine, rend les spécialistes très optimistes.

Après avoir testé la théorie sur plus de 4000 patients, les chercheurs de la Cleveland Clinic sont convaincus d’avoir là un procédé qui va sauver des vies dans un avenir rapproché.

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La pollution urbaine favoriserait les troubles cardiovasculaires

Voici une étude qui risque d’inquiéter plusieurs citoyens de certaines des grandes villes du monde, souvent aux prises avec des problèmes de pollution grandissants.

Selon cette nouvelle recherche, rapportée par Top Santé, les taux de pollution élevés seraient de sérieux facteurs de risques dans le développement de certains troubles cardiaques et de certaines maladies cardiovasculaires.

Après avoir analysé les cas de près de 6000 patients, les chercheurs du Michigan sont arrivés à ces inquiétantes conclusions, qui sont publiées dans la plus récente parution du magazine PLoS Medicine.

À l’aide de tests effectués sur la carotide des sujets, notamment, et en compilant une foule de facteurs comme la qualité de l’air des villes habitées par ces derniers, les chercheurs sont décidément convaincus de ce qu’ils avancent.

Ce sont les particules fines retrouvées dans l’air pollué qui affecteraient les citoyens, augmentant du même coup les risques d’accidents et de problèmes cardiovasculaires. Heureusement, le pourcentage de risque ne grimpe que de quelques degrés.

Sara Adar, l’auteure de l’étude, explique : « Ces résultats suggèrent que les personnes vivant dans les parties les plus polluées de la ville ont un risque d’AVC plus élevé de 2 %, par rapport aux personnes qui habitent dans des parties moins polluées de la même région métropolitaine ».

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La calvitie liée aux problèmes cardiovasculaires

Des chercheurs japonais viennent confirmer une théorie lancée il y a quelque temps, à savoir qu’un lien est observable entre la calvitie chez l’homme et d’éventuels problèmes cardiovasculaires.

C’est The National Library of Medicine qui rapporte cette nouvelle, dans laquelle les chercheurs en tête de l’étude précisent toutefois que ce lien serait vérifiable seulement chez les hommes qui perdent leurs cheveux sur le sommet du crâne.

Une précision étonnante, mais la recherche se base sur l’analyse de six autres études, impliquant au total 37 000 hommes. On peut donc parler de profondeur pour l’étude publiée notamment dans le journal BMJ Open.

Le Dr Tomohide Yamada, de l’Université de Tokyo, rappelle qu’il est difficile d’expliquer ce lien, mais que la résistance à l’insuline, les infections chroniques et une sensibilité à la testostérone peuvent expliquer le phénomène. Ces facteurs sont d’ailleurs tous reliés aux maladies cardiovasculaires.

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les hommes inquiets par ces révélations ne sont toutefois pas sans recours.

On suggère notamment de prendre la chose au sérieux et de se mettre à l’exercice physique, de surveiller son alimentation et de limiter le stress en général.

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Les gens plus résilients afficheraient une meilleure capacité cardiaque

Une nouvelle étude affirme qu’il existe un lien remarquable entre la santé et la capacité du cœur, appelée ici « santé aérobique », et la résilience d’un individu.

C’est ce que rapporte The National Library of Medicine, qui fait état de la découverte. Selon les conclusions de l’équipe de chercheurs du Florida State University College of Medicine, les gens plus résilients, notamment, afficheraient de plus belles aptitudes et de meilleurs résultats en ce qui concerne leur capacité métabolique et la santé de leur cœur.

Les chercheurs ne savent cependant pas lequel influence l’autre, mais confirment le lien. Un cœur solide et une santé cardiaque optimale favoriseraient-ils la résilience chez l’humain, ou est-ce plutôt l’inverse?

Les chercheurs promettent de répondre à la question, mais se réjouissent d’avoir pu tracer un tel lien, sans toutefois parler de cause à effet.

L’étude analysait les cas de 650 adultes, de 31 à 96 ans, sur une période de quatre ans. La résilience est définie comme la capacité à faire face aux obstacles et au stress, ou à rebondir rapidement et efficacement après un échec ou un événement négatif.