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Amélioration notable du taux de survie chez les patients en cardiologie

The National Library of Medicine rapporte des statistiques proposées par la Clinique Mayo, aux États-Unis, et qui dressent un bilan positif des avancées dans le domaine de la cardiologie au cours des dernières années.

Tellement qu’il semble que de moins en moins de patients admis en cardiologie meurent d’une maladie ou d’un trouble cardiovasculaire. Ces patients auraient maintenant plus de chances de mourir d’une autre maladie que de succomber aux traitements d’un trouble cardiovasculaire.

Ces étonnantes révélations se basent sur les observations effectuées par des spécialistes de la Clinique Mayo au cours de trois périodes distinctes, soit de 1991 à 1996, de 1997 à 2002, et de 2003 à 2008.

« Nous avons découvert que les patients aux prises avec une maladie cardiovasculaire établie dans l’ère moderne ont environ une chance sur trois de mourir des suites de ce problème, contre deux chances sur trois de mourir à la suite d’un autre problème, non cardiaque », résume le Dr Rajiv Gulati, de la Clinique Mayo.

Un phénomène étonnant, mais qui confirme bien les superbes avancées et percées observées au cours des dernières décennies dans le monde médical, notamment en cardiologie.

Ces observations ont été publiées dans le journal Circulation en février.

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La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.