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La solitude, dure pour les artères

Une étude menée par la Dre Rebecca C. Thurston et son équipe, de la Faculté de médecine de l’Université de Pittsburgh, démontre que l’incidence de maladies coronariennes augmente de 76 % chez les femmes qui avouent se sentir seules.

L’analyse des dossiers médicaux de plus de 3 000 adultes a permis à la chercheuse et ses collègues de conclure que cette disparité entre les sexes est attribuée à l’importance accrue que les femmes accordent aux relations interpersonnelles. De plus, ils croient que celles-ci sont plus stressées que les hommes par ces relations lorsqu’elles sont insatisfaisantes.

Cette recherche réalisée par la Dre Thurston s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont associé la sociabilité et l’isolement aux maladies cardiovasculaires.

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Oui au chocolat après un infarctus!

Une recherche publiée dans le Journal of Internal Medicine nous apprend que le chocolat, à raison de plus de deux fois par semaine, fait diminuer d’environ 33 % le risque de mortalité cardiaque à la suite d’un premier infarctus.

Pendant huit ans, le Dr Imre Janszky et son équipe, de l’Institut Karolinska en Suède, ont surveillé le risque de mortalité cardiaque auprès de 1 169 adultes âgés entre 45 à 70 ans et ayant déjà fait un infarctus.
 
Selon les chercheurs, la diminution du risque de décès chez les patients est attribuée aux flavonoïdes, des antioxydants que l’on retrouve dans les fèves de cacao, particulièrement dans le chocolat noir.
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Les vertus de l’optimisme

À la suite d’une recherche menée pendant huit ans auprès de 97 000 femmes ménopausées, la Dre Hilary A. Tindle, de l’Université de Pittsburgh, a pu conclure qu’une personnalité optimiste et joyeuse a un effet protecteur sur le coeur.

Les sujets devaient répondre à un questionnaire où l’on mesurait leur degré de cynisme.

Les femmes jouissant d’un haut niveau d’optimisme ont 9 % moins de risques de souffrir d’une maladie coronarienne et 14 % moins de risques d’en décéder. Quant aux natures pessimistes, leur risque de mortalité augmenterait de 16 %.

Bien que cette étude ait été conduite exclusivement auprès des femmes, la Dre Tindle croit que ces résultats peuvent sans doute être similaires auprès de la gent masculine.

 

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Une bonne hygiène de vie payante

Une étude, dont les résultats se trouvent dans le Journal of the American Medical Association, arrive à la conclusion qu’une bonne alimentation, un programme d’exercice physique et un poids santé sont la clé pour un coeur en santé.

Le Dr Luc Djousse, de la faculté de médecine de l’Université Harvard, a travaillé avec 83 882 femmes et 20 900 hommes chez qui il a évalué le risque de maladies cardiovasculaires et les habitudes de vie.

Parmi toutes les bonnes habitudes à adopter, l’auteur de cette étude croit que c’est l’exercice physique qui se distingue. À titre d’exemple, le risque de défaillance cardiaque chez les sportifs est de 11 % et augmente à 14 % chez les sédentaires.

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Les glucides et le risque de maladies cardiovasculaires

Une autre recherche a démontré qu’une alimentation riche en glucides, comme le pain blanc et les flocons de maïs, fait augmenter le taux de sucre dans le sang et ainsi l’incidence de maladies cardiovasculaires.

Pour en arriver à ces conclusions, des chercheurs du Chaim Sheba Medical Center en Israël ont travaillé avec 56 patients en bonne santé, mais avec une surcharge pondérale. Aucun d’entre eux ne souffrait de diabète ou n’avait été hospitalisé pour une maladie cardiovasculaire.

Ces derniers ont subi différents régimes et on a ensuite mesuré leur indice glycémique. Plus ce résultat était élevé, plus l’hypoglycémie faisait de même. Or, les scientifiques ont prouvé que l’hypoglycémie joue un rôle sur l’endothélium, un tissu qui recouvre la paroi interne du coeur et des vaisseaux sanguins.

« À la lumière de nos résultats, nous encourageons les consommateurs à avoir une alimentation avec moins de glucides pour une meilleure santé », a mentionné le Dr Michael Shechter, cardiologue de l’Université de Tel-Aviv.

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Pourquoi adopter le régime méditerranéen?

L’équipe de chercheurs du Dr Benoît Lamarche de l’Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels de l’Université Laval (INAF) a présenté les résultats d’une recherche où l’on mesurait les vertus d’une diète méditerranéenne.

Selon eux, l’incidence de maladies cardiovasculaires chute, même chez les personnes obèses, si l’alimentation est riche en poissons, fruits et légumes, huile d’olive et antioxydants.

26 hommes âgés en moyenne de 50 ans ont participé à cette recherche. Lors des cinq premières semaines, ces patients ont consommé une diète typiquement canadienne, comme celle que la majorité des gens consomme tous les jours. Les cinq semaines suivantes, les chercheurs les ont nourris à un régime entièrement méditerranéen. Ensuite, ces derniers ont subi un régime amaigrissant qui leur a fait perdre près de 10 % de leur poids en moyenne.

Les scientifiques ont découvert que ce type d’alimentation a réduit de 22 % le taux de protéine C réactive, souvent associée aux maladies coronariennes.

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Des marches plus longues et fréquentes

Le Dr Philip A. Ades, de la Faculté de médecine de l’Université du Vermont, soutient que les marches quotidiennes d’une durée de 45 à 60 minutes, mais à un pas plus lent, sont meilleures pour la santé que les marches rapides.

Selon le chercheur américain, ce type de marche favorise la perte de poids et améliore les fonctions cardiaques chez les patients en réadaptation.

« Les bienfaits de la perte de poids chez les patients cardiaques ne sont pas encore clairs. Mais on sait que si ces derniers ne maigrissent pas, c’est parce qu’ils ne brûlent pas suffisamment de calories », affirme le Dr Ades, qui est persuadé que la marche permet de brûler plus de calories que le vélo et la natation.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans l’édition en ligne de Circulation.

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Des marches plus longues et fréquentes

Le Dr Philip A. Ades, de la Faculté de médecine de l’Université du Vermont, soutient que les marches quotidiennes d’une durée de 45 à 60 minutes, mais à un pas plus lent, sont meilleures pour la santé que les marches rapides.

Selon le chercheur américain, ce type de marche favorise la perte de poids et améliore les fonctions cardiaques chez les patients en réadaptation.

« Les bienfaits de la perte de poids chez les patients cardiaques ne sont pas encore clairs. Mais on sait que si ces derniers ne maigrissent pas, c’est parce qu’ils ne brûlent pas suffisamment de calories », affirme le Dr Ades, qui est persuadé que la marche permet de brûler plus de calories que le vélo et la natation.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans l’édition en ligne de Circulation.

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Les conséquences de prises de poids trop rapides

Une étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Diabetes, nous apprend que les adolescents qui engraissent trop rapidement au cours de cette période charnière du développement sont plus à risque de souffrir de maladies cardiovasculaires à l’âge adulte.

Ce phénomène est attribué à la graisse abdominale qui est plus importante.

Des chercheurs suédois associés à l’Université de Gothenburg ont travaillé avec 612 jeunes hommes de 18 à 20 ans et ont découvert que ceux dont l’indice de masse corporelle avait considérablement augmenté au cours de l’adolescence avaient plus de graisse abdominale, souvent associée au diabète de type 2 et aux maladies coronariennes.

L’un des auteurs, la Dre Jenny M. Kindblom, recommande donc de surveiller davantage la prise de poids chez les adolescents.

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L’allaitement, bon pour le coeur

Selon une étude, dont les résultats sont publiés dans Obstetrics & Gynecology, les femmes ménopausées ayant allaité sont 10 % moins à risque d’être touchées de maladies cardiovasculaires que celles qui n’ont pas allaité leur bébé.

Celles qui ont donné le sein pendant au moins un mois avaient une tension artérielle plus basse, un taux de cholestérol plus faible et moins de risque de souffrir de diabète, tous des facteurs de risque associés à la crise cardiaque et à l’accident vasculaire cérébral.

« Plus longtemps une mère nourrit son bébé au sein, mieux c’est pour elle et l’enfant. Cette étude constitue une autre bonne raison d’encourager les femmes à nourrir leur enfant au sein dans les entreprises et autres lieux de travail », a noté l’un des auteurs, la Dre Eleanor Bimla Schwartz, professeure de médecine à l’Université de Pittsburgh.