Catégories
Dans les coulisses

Carlsson ou Fantilli?

Tel que je vous en parlais avant le début des hostilités, il y avait plusieurs joueurs intéressants à épier pour les fans et les dirigeants du Tricolore à Moncton et Halifax.

J’ai donc regardé tous les matchs des principaux espoirs en vue du repêchage de 2023 qui étaient présents au CMJ et, dans un premier temps, je vous ferai simplement part de mes observations et de mes réflexions sur ceux-ci.

Dans un deuxième temps, j’ai aussi suivi de près quelques autres joueurs qui ont fait parler d’eux lors du dernier repêchage, les Cooley, Wright, Kulich et compagnie, et je vous livrerai également quelques commentaires sur eux.

C’est parti!

Les espoirs en vue du repêchage 2023

Connor Bedard | C/AD, Canada | 9 buts, 23 points, +14 en 7 matchs

On ne s’étendra pas trop longuement sur Bedard.

Joueur générationnel? Joueur concession?

Pour l’instant, qu’importe. Ça ne sera rien en bas de ça.

Il n’est pas le plus rapide, mais il y a tellement de nuances et de tromperies (deceptiveness) dans son jeu que l’adversaire ne sait jamais sur quel pied danser.

Un joueur unique.

On pourrait encore le voir comme une version améliorée de Mitch Marner, mais dans les faits, il ne ressemble à aucun autre joueur dans l’histoire de la LNH.

Bref, au rythme où vont les choses pour le CH, le Québec risque de faire exploser le site Tankathon dans les prochains mois!

Next!

Eduard Sale | AG/AD, Tchéquie | 1 but, 6 points, + 6 en 7 matchs

Sale est la définition même du joueur cérébral. Il a bien assuré à la pointe gauche sur le PP1 de la Tchéquie. Sale n’est pas très spectaculaire, mais il est peut-être le joueur le plus intelligent du repêchage 2023. Comme aux échecs, il cherche et réussi à faire constamment le meilleur jeu.

Ses passes ont beaucoup de timing, de finesse et de précision et son tir est aussi très bon, sec et surprenant. On le voit d’ailleurs ici prendre le tir qui mena au but de Kulich hier soir, permettant ainsi à la Tchéquie de s’inscrire au pointage tard en 3e période :

On le sent aussi très solide sur ses patins malgré son physique encore un peu frêle. Sale ne tombe littéralement jamais, mais c’est aussi dû à son style de jeu qui ne le fait pas tellement jouer dans le trafic. C’est d’ailleurs ce petit manque d’implication et de compétitivité qui peut parfois être vu comme une faiblesse chez lui.

Sauf pour un match de la ronde préliminaire où il n’a mystérieusement fait que quelques présences, il a surtout évolué sur le premier trio avec le dangereux Jiri Kulich, sur qui on reviendra dans la seconde partie de cet article. Juste le fait qu’il avait la mission de suivre et d’alimenter Kulich et qu’il était sur la glace à trois contre trois en finale contre le Canada a quoi impressionner. Après tout, on parle d’un jeune qui n’a encore que 17 ans… Il sera logiquement un des principaux fers de lance de la Tchéquie l’an prochain.

En gros, Sale m’apparaît comme un futur excellent passeur dans la LNH, mais pas nécessairement une grande vedette qui sera en mesure de traîner son club.

Leo Carlsson | C/AG, Suède, 3 buts, 6 points, + 4  en 7 matchs

Évoluant exclusivement à l’aile lors de ce tournoi, Carlsson nous a montré une très belle vision du jeu, un peu moins dynamique et impliqué qu’anticipé, mais malkinesque en possession de rondelle dans la zone centrale. On aurait d’ailleurs aimé le voir un peu plus souvent transporter la rondelle pour son équipe…

Il jouait en PP sur le mur droit et a très bien fait. Il sait aussi quand et comment se pointer le nez à l’embouchure du filet d’où il a marqué deux buts très importants contre la Finlande en quart de finale, dont celui-ci qui nous permet de voir toute son intelligence :

Mais, presque à chaque match, on a aussi été de longs moments sans trop le voir… Est-il un joueur qui sera en mesure d’être un game breaker capable de prendre le contrôle d’un match? C’est possible, il n’a eu que 18 ans le 26 décembre dernier, mais on aurait quand même aimé en voir juste un peu plus en général.

Considérant qu’il a manqué un match et qu’il a peut-être été incommodé par une petit bobo en milieu de tournoi, le fait qu’il a de l’avis de plusieurs été supérieur à Adam Fantilli est de nature à lancer un joli débat pour le 2e rang du prochain repêchage. Deux joueurs aux styles presque opposés!

Mais il reste encore beaucoup de hockey à jouer cette saison et, comme en font foi leurs statistiques respectives, ce n’est pas comme si Carlsson avait mis Fantilli dans sa petite poche. Leur rôle était fort différents au sein de leur club respectif et Carlsson jouait sans doute avec un peu moins de pression que Fantilli, dont celle d’évoluer en sol canadien sur le même club que Connor Bedard et d’être comparé à ce dernier depuis le début de la saison…

Adam Fantilli | C/AG/AD, Canada | 3 buts, 5 points, +/- 0 en 7 matchs

Le jeune Ontarien a semblé un peu trop tendu ou excité à plusieurs moments tout au long de la compétition – lui faisant notamment manquer un nombre incalculable de tirs et de passes – et il a rapidement subi une petite rétrogradation dans la hiérarchie des attaquants canadiens.

Cela dit, Fantilli a continué d’évoluer sur la deuxième unité de l’avantage numérique et a quand même bénéficié d’un bon temps de jeu à 5 contre 5. Il a d’ailleurs marqué un but énorme, le but gagnant, lors de la demi-finale contre les États-Unis.

Pour ma part, je ne suis pas encore prêt à dire qu’il a perdu sa place au 2e rang du prochain repêchage. J’aime beaucoup sa fougue et sa vitesse exceptionnelle. Il peut ressembler à un jeune Nathan MacKinnon qui lancerait de la gauche.

En polissant encore un peu son jeu et en y ajoutant de la maturité, on peut entrevoir une joueur qui a tous les atouts pour devenir sinon un joueur concession, certainement un joueur élite. Il devra juste apprendre à respirer un peu plus sur la glace.

Est-ce que le fait qu’il soit un late du mois d’octobre, jouera contre lui au repêchage? S’il était né quelques semaines plus tôt, c’est peut-être vers lui que le CH se serait tourner au premier rang en juillet dernier…

Dalibor Dvorsky | C/AD, Slovaquie | 1 but, 3 points, +/- 0 en 5 matchs

Le bon Dalibor (c’est trop tentant!) est très à l’aise et efficace sur le mur droit en PP. Créatif, bon tir, bonnes mains, bonnes lectures. Son style rappelle un peu celui de Jiri Kulich (on reviendra sur celui-ci en seconde partie de cet article), mais avec moins de puissance et de vitesse pour l’instant.

Il n’a certainement pas fait baisser sa valeur durant cette compétition et on voit mal comment il pourrait être repêché à l’extérieur du top 10 en juin prochain. Avec des tirs comme celui-ci, on peut comprendre pourquoi :

Mais il a été plutôt mauvais sur les mises en jeu et sa vitesse de pointe n’est pas sensationnelle. Il doit aussi jouer la tête un peu plus haute et mieux se protéger. Pas toujours le plus impliqué à 5 contre 5, il a néanmoins été visible pendant pas mal tout le tournoi, générant régulièrement de l’attaque et des chances de marquer. Son nombre de points ne reflète pas vraiment son apport offensif. Cela dit, ç’a été plutôt tranquille pour lui contre le Canada en quart de finale…

On notera toutefois que Dvorsky n’aura 18 ans que le 15 juin prochain, ce qui fait de lui un des plus jeunes joueurs du prochain repêchage.

Charlie Stramel | C, USA, 3 points, -1  en 7 matchs

Avant le début de la compétition, j’avais dit que Stramel, un late né lui aussi en octobre, pourrait être une « cible potentielle » pour le CH si HuGo était capable d’obtenir un troisième choix de première ronde par le biais d’une transaction.

Mais après l’avoir vu jouer, je souhaiterais que le CH passe son tour! Il est au mieux une version améliorée de Michael McCarron. Gabarit imposant, coup de patin honnête, mais mains de ciment, sens et vision du jeu sous la moyenne et tir ordinaire. Le voici dans ce qu’il fait de mieux :

Il pourrait aussi bien passer sa carrière dans la AHL qu’on ne serait pas surpris.

Axel Sandin-Pellika | D, Suède | 1 point, – 4  en 7 matchs

Le petit défenseur droitier n’a pas produit des tonnes de points pour la Suède, mais sa mobilité, son assurance et sa vision du jeu lui ont permis de jouer plusieurs minutes tout au long de la compétition. Il ne faut pas trop se fier sur son différentiel négatif pour juger de la qualité de son jeu.

Voilà peut-être une option plus intéressante pour le CH (ou n’importe quelle autre équipe!) en fin de première ronde. Pellika domine outrageusement la ligue junior de Suède (26 pts en 20 matchs, +20) et tire plus que son épingle du jeu à 17 ans dans la ligue élite (5 points en 14 matchs, +3).

Jasons Kukich, Wright, Cooley et compagnie…

Jiri Kulich | C/AD | 7 buts, 9 points, +10 en 7 matchs

Jiri Kukich était encore disponible au 26e rang quand le Tricolore allait monter sur le podium pour annoncer son deuxième choix de première ronde en juillet dernier. Voici d’ailleurs ce que j’avais dit à ce sujet dans les jours suivants le repêchage :

Personnellement, si le Canadien avait plutôt sélectionné le centre Tchèque Jiri Kulich au 26e rang et, un de mes préférés, Jagger Firkus, au 33e, j’aurais été un peu plus emballé!

À ces rangs, ces deux joueurs auraient représenté deux autres élans à coup de circuit avec d’assez bonnes chances de réussite.

Kulich, qui possède un tir sur réception de niveau élite ++ a survolé le dernier U18 en mai dernier avec 11 points en six matchs, dont neuf buts. Il a été le choix des Sabres au 28e rang.

On verra bien qui sera le meilleur dans quelques années entre Beck et Firkus – la sélection de Beck m’apparaît aujourd’hui fort judicieuse –  mais voici ce que je rajoutais sur Kulich quelques semaines plus tard au mois d’août dans un texte sur Filip Mesar :

On ne se fera pas de cachette, si on avait été dans les souliers des dirigeants du CH, c’est vers le Tchèque Jiri Kulich et non vers Mesar qu’on se serait tourné. Kulich possède un tir à faire rêver et il pourrait à notre sens devenir un joueur étoile dans la LNH, peut-être dans les traces de son compatriote Pastrnak.

Après sa performance au U20 qui vient de se terminer, dans le cas de Kukich, il n’y pas juste le CH qui pourrait regretter d’avoir levé le nez sur lui! Seuls Nemec, Cooley et peut-être Snuggerud lui ont été supérieurs durant le tournoi parmi les joueurs qui ont été repêchés l’été dernier. On soulignera aussi la belle performance de son compatriote, le gros défenseur David Jiricek.

Je maintiens donc mon jugement : Kulich me semble une bonne coche au-dessus de Mesar. Le Tchèque est plus explosif, puissant et lourd sur la rondelle que le petit slovaque. Son tir est terrifiant et il possède une volonté de marquer et de faire la différence qui est visible à chacune de ses présence, incluant dans les grands moments.

Dommage pour lui qu’il ait échappé la rondelle et causé le revirement qui a conduit à la défaite des siens à trois contre trois…

Shane Wright | C, Canada | 4 buts, 7 points, +/-0 en 7matchs

Vous connaissez mon avis sur Wright depuis le mois de mai l’an dernier. Wright n’a rien fait durant le tournoi pour faire regretter le CH, les Devils et les Coyotes de ne pas l’avoir repêché. Au contraire, tous ne sont aujourd’hui que plus rassurés par rapport à leur choix respectif.

L’Ontarien ne s’est vraiment pas démarqué du lot parmi les joueurs « supérieurs » à surveiller durant le tournoi. En fait, sa 17e place au classement des marqueurs et son différentiel de +/- 0, et son seul but marqué à forces égales sont assez représentatifs de sa performance. Une chance qu’il évoluait sur le PP1 du Canada…

Wright est capable de faire les « petites choses », mais ses habilités et son niveau de confiance ne semblent pas lui permettre de réaliser les grandes très souvent…

C’est comme si Wright n’avait tout simplement pas progressé depuis 2-3 ans. Son année « sabbatique » durant la COVID aura-t-elle été la pire décision de sa carrière?

Au moins, son but en finale le jour de son anniversaire est venu embellir sa performance en demi-teinte.

Un très beau but, il faut le dire!

Logan Cooley | C, USA | 7 buts, 14 points, + 3 en 7 matchs

Cooley a été tout à fait égal à lui-même. Une belle démonstration de rapidité, de mains agiles, de passes lumineuses et évidemment, des tirs précis et un flair pour le filet.

Dans un rôle similaire, il a offert une performance très clairement supérieure à celle de Shane Wright. Mais pour une raison qui m’échappe, Cooley ne semblent pas toujours inspirer les siens. Peut-être un peu trop d’égoïsme par moments? Après un départ canon contre le Canada en demi-finale, plus le match avançait, moins on le voyait…

Qu’à cela ne tienne, Cooley a pris de la maturité physique et devrait être prêt à faire ses débuts avec l’Arizona dès l’automne prochain. En général, il avait l’air d’un joueur de la LNH durant le tournoi.

Conclusion

Aucun des espoirs anticipés en première ronde parmi les Carlsson, Fantilli, Sale, Dvorsky et Stramel ne s’est réellement démarqué du lot durant le CMJ. Peut-être Carlsson a-t-il été légèrement supérieur, mais si on écarte Stramel (qui ne sera peut-être pas repêché en première ronde, à bien y penser), ils ont tous été bons à titre de joueurs de 17-18 ans.

Mais, dans le même souffle, on voit aussi très mal comment ces joueurs pourraient être prêts à jouer dans la LNH dès l’automne prochain. On les voit plutôt comme des beaux projets qui prendront quelques années avant d’arriver à terme.

Ainsi, on a pu voir des flashs de leurs belles qualités ici et là, mais s’ils ne nous ont pas déçu, on est aussi un peu resté sur notre faim presque à chacun de leur match dans la plupart des cas.

Évidemment, s’ils retournent à la même compétition l’an prochain, plus forts, plus expérimentés, certains pourraient être en mesure de dominer comme le font généralement les bons joueurs de 18-19, un an après leur repêchage. Mais ne perdont pas de vue que s’ils deviennent souvent des vedettes, ces joueurs deviennent très rarement de futurs joueurs « concession ».

En gros, pour les espoirs en vue du prochain repêchage il y avait Connor Bedard… et loin derrière, les autres. Mais encore une fois cette année, le printemps et le début de l’été risquent d’être fort intéressants pour les fans de la Flanelle!

Pour les joueurs repêchés en juillet dernier, en rétrospective, on aurait vraiment aimé que Juraj Slafkovsky y soit! Qui sait ce qui serait advenu du Canada en quart de finale?

Chose certaine, aucun joueur parmi les Nemec, Cooley, Wright et compagnie n’est parvenu à semer un sérieux doute dans notre esprit quant à la décision du Canadien d’avoir opté pour le gros Slovaque.

On les choisirait encore aujourd’hui dans le même ordre… mais probablement avec Kulich devant Wright!

Catégories
Uncategorized

Une Smart avec votre Carlsson C25

Le préparateur allemand Carlsson avait fait sensation au Salon de Genève en présentant la très impressionnante C25 de 742 chevaux sur base de Mercedes SL65 AMG.

La marque revient aujourd’hui en présentant une préparation sur base de Smart baptisée Carlsson Smart C25 Edition.

L’idée derrière cette minisportive est de la vendre en supplément aux 25 propriétaires du « vrai » modèle, comme Aston Martin avec la Cygnet.

Au menu, on retrouve donc une carrosserie abaissée, des éléments visuels (bouclier, feux de jour en DEL, quatre sorties d’échappement) et de l’habillage intérieur (cuir Nappa et Alcantara, sièges sport, frein à main en aluminium, etc.).

Évidemment, on retrouve sur cette C25 Edition le thème de peinture et décoration de la C25 GT, avec ses jantes noir et orange, son capot noir et la bande orange courant le long de la carrosserie.

La Carlsson Smart C25 Edition sera facturée environ 39 000 $ CA aux clients de C25 souhaitant l’obtenir. La plupart des éléments pourront également être achetés par les clients « normaux ».

Catégories
Uncategorized

Genève 2010 : Carlsson C25 en clair

À quelques heures désormais de l’ouverture à la presse du salon de Genève, les dernières annonces officielles « présalon » finissent de tomber. Parmi elles, voici les premières véritables images de la Carlsson C25 Super GT.

Basé sur la Mercedes SL65 AMG Black Series, le supercar sera limité à 25 exemplaires pour 25 pays. Le préparateur mise donc sur l’exclusivité absolue pour vendre ce monstre de débauche.

Avec sa teinte deux tons, ses énormes jantes, son diffuseur arrière décoré de quatre grosses sorties d’échappements, ses phares à DEL et sa carrosserie très musclée, les 25 propriétaires auront du mal à passer inaperçu.

À moins qu’ils ne décident d’appuyer vraiment sur l’accélérateur, auquel cas il faudra s’accrocher pour espérer suivre la C25 Super GT.

En effet, la spécialité normale de Carlsson reste le travail sur les motorisations Mercedes. On retrouve donc dans la C25 un V12 biturbo développant 753 chevaux!

Avec une puissance aussi gigantesque à disposition, la Carlsson C25 n’a aucun mal à passer de 0 à 100 km/h en 3,7 secondes et atteint 352 km/h en vitesse de pointe.

Dommage que l’intérieur soit si… particulier.

 

Catégories
Uncategorized

Carlsson lance son supercar

Carlsson fait partie de ces gens qui considèrent que 550 chevaux dans une Mercedes ne suffisent pas. Leur métier consiste en général à aller chercher de la puissance tout au fond des cylindres, puis à habiller leurs créations d’artifices pas toujours du meilleur goût. De temps en temps leur vient toutefois l’envie de réaliser leur propre voiture.

C’est le cas en ce début d’année et le salon de Genève sera marqué par la présentation de la Carlsson C25, tout de même basé sur la SL65 AMG Black Series.

Limitée à 25 exemplaires, celle-ci abrite sous son capot avant un V12 6 litres d’origine Mercedes. Grâce à ses deux turbos, la C25 développe 743 chevaux! Avec une telle puissance, la Carlsson peut atteindre les 100 km/h en 3,7 secondes et culmine au-delà des 350 km/h.

Le préparateur a déjà annoncé que tous les exemplaires pouvant être produits cette année ont déjà été vendus. Il a également expliqué que pour préserver l’exclusivité aux propriétaires, un seul exemplaire serait autorisé par pays.

Le tarif n’a pas été communiqué.

Catégories
Uncategorized

Carlsson lance son supercar

Carlsson fait partie de ces gens qui considèrent que 550 chevaux dans une Mercedes ne suffisent pas. Leur métier consiste en général à aller chercher de la puissance tout au fond des cylindres, puis à habiller leurs créations d’artifices pas toujours du meilleur goût. De temps en temps leur vient toutefois l’envie de réaliser leur propre voiture.

C’est le cas en ce début d’année et le salon de Genève sera marqué par la présentation de la Carlsson C25, tout de même basé sur la SL65 AMG Black Series.

Limitée à 25 exemplaires, celle-ci abrite sous son capot avant un V12 6 litres d’origine Mercedes. Grâce à ses deux turbos, la C25 développe 743 chevaux! Avec une telle puissance, la Carlsson peut atteindre les 100 km/h en 3,7 secondes et culmine au-delà des 350 km/h.

Le préparateur a déjà annoncé que tous les exemplaires pouvant être produits cette année ont déjà été vendus. Il a également expliqué que pour préserver l’exclusivité aux propriétaires, un seul exemplaire serait autorisé par pays.

Le tarif n’a pas été communiqué.