Un apport avec le public et les gens, qui par le passé l’a affecté, puisqu’il ne vivait pas bien avec le fait que quelqu’un ne puisse pas l’aimer.
C’est après plusieurs années de carrière en tant qu’humoriste qu’il a finalement décidé de mettre les commentaires de côté et de laisser l’opinion de monsieur et madame Tout-le-monde derrière lui.
«Je suis beaucoup plus heureux dans mon métier. Parce que je me laisse beaucoup moins atteindre. J’ai atteint un niveau de lâcher-prise, que je ne pensais pas que j’atteindrais un jour (…) Quand tu es jeune, tu veux te prouver. Asteure, je me dis: Je veux juste faire mon métier le plus longtemps possible. Je ne veux plus rien prouver, je veux juste être là encore, dans 10 ans», se confie Laurent.
Plus tard, sur le talk-show, il a ajouté que ceux qui ne l’apprécient pas ne sont plus un problème pour lui.
«Depuis que je me sacre de déplaire aux gens, j’ai l’impression que ça va mieux (…) Ceux qui m’aiment… m’aiment plus. Puis, ceux qui ne m’aiment pas, je m’en sacre. Je n’ai pas d’énergie à dépenser avec ceux qui ne m’aiment pas. Ils ne viennent pas me voir en show… je ne leur dois rien (…) Moi, je dois quelque chose aux gens qui m’aiment et qui viennent me voir», ajoute-t-il avec franchise.
Un cheminement qui est certainement tout en l’honneur de Laurent!
Elle s’est également confiée sur le fait d’avoir mis une partie de sa carrière de côté, à l’époque, pour soutenir celle de Michel et se consacrer à leurs enfants, en réponse à une question posée par Guylaine Tremblay, qui menait l’entrevue:
«Est-ce que tu as des rôles que tu n’as pas pris, que tu n’as pas faits, parce que tu as préféré privilégier ta vie, ta vie de famille, ta vie de couple?»
«Moi, je me souviens que quand Michel avait vu que Broue continuait et que les billets se vendaient. Puis qu’il allait jouer beaucoup. Il allait aller en tournée et tout ça. J’ai senti… enfin il m’a dit que ça serait le fun que je fasse de la télé, mais que je passe mon tour pour le théâtre. Il me dit ça au début du Womyn’s Land, alors j’ai fait: Comment, comment, moi je vais mettre ma carrière de côté, puis toi? Il a été chanceux parce que je ne suis pas carriériste! Ça ne me dérangeait pas du tout de rester à la maison. Dans le fond moi j’étais bien à la maison, avec les enfants», confie Véronique avec un brin d’humour sur cette partie de leur vie.
On peut ainsi dire que Michel a eu la chance d’avoir Véronique à ses côtés, mais qu’également le grand public en a bénéficié, en voyant le comédien briller dans de nombreux rôles et dans la grande production de Broue!
Au cours de l’émission, elle s’est confiée sur son avenir dans le milieu artistique, et de nombreuses personnes risquent d’être déçues concernant son futur.
L’horticultrice et humoriste exerce ce métier principalement en raison de sa petite fille atteinte du syndrome de Rett. Elle a d’ailleurs fondé un organisme en son honneur, visant à aider les enfants handicapés, en plus d’avoir un but bien précis avant de quitter le monde du spectacle.
«Moi, j’ai un objectif (…) C’est une maison de répit. Je veux une maison de répit sur la Rive-Sud pour les enfants handicapés», confie-t-elle.
«Une fois que tu vas l’avoir, cette maison-là… ça va être ciao, bye?», demande Jean-Philippe Dion.
Marthe confirmait alors cette affirmation par un simple signe d’au revoir…
«On ne te reverra plus?», renchérit l’animateur.
«J’ai 60 ans, je ne dis pas que je n’écrirais plus, mais j’ai un montant à aller chercher et quand je vais l’avoir, je vais l’avoir eu», termine l’horticultrice en hochant de la tête par l’affirmative.
Nous aimerions voir Marthe le plus longtemps possible… mais nous lui souhaitons de rapidement réaliser son rêve.
HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec la sympathique et adorableClaudia Bouvette en marge du lancement de la nouvelle série Projet Innocence (diffusée tous les mardis à 20h sur les ondes de Noovo) dans laquelle elle interprète le personnage de Vicky.
Lors de ce moment très agréable avec la chanteuse et comédienne, celle-ci s’est ouverte sur plusieurs sujets, dont son rôle dans la série, sa carrière et sa passion pour la mode!
HollywoodPQ: «Quelle est la facette de ton personnage qui t’a le plus intéressée?»
Claudia Bouvette: «Moi, ce que j’ai vraiment aimé de Vicky, c’est sa fougue. C’est une femme qui ne se laisse pas piler sur les pieds, qui a son intensité (…) Moi, en fait, ce qui m’intéressait c’est… au-delà de ce qu’on voit d’elle. C’est-à-dire qu’elle est dans le réseau de prostitution, qu’elle vit de la violence, que finalement son destin est fatal et qu’elle finit par en mourir. Je trouvais ça intéressant d’aller exploiter toute l’humanité derrière le personnage et que c’est une femme qui avait de l’ambition et qui avait un mot à dire… qui essayait de sortir de ça et qui avait une tête sur les épaules. Je te dirais que c’est la facette de mon personnage que je trouvais la plus intéressante à pousser. Et c’est important pour moi de défendre mon personnage et de défendre le fait qu’elle était bien plus que seulement une femme qui était victime (…)»
HPQ: «Est-ce qu’on la retrouvera dans les futurs épisodes?»
CB: «Oui. Vicky elle est… c’est sporadique, elle est dans des flashbacks tout au long de l’enquête. Quand on revient sur le cas et qu’on fait des associations, elle est un peu partout, mais c’est comme here and there, des petits sparks!»
HPQ: «Tu me parles de comment est ton personnage, avez-vous des similarités au niveau de la personnalité et du caractère?»
CB: «(…)Je pense que je suis quelqu’un qui a du torque et je sais relativement où je m’en vais dans la vie mais des fois non, c’est pour ça que je dis relativement (rires)! Mais, clairement, Vicky elle a un crunch, peut-être un petit crunch, un petit edge de crunch de plus!»
HPQ: «C’est quelque chose que tu aimes jouer?»
CB: «Je pense que c’est quelque chose que j’ai en moi et c’est pour ça que je suis capable, mais je suis plus nuancée. Je pense que je suis moins d’attaque que Vicky, mais c’est le fun. Moi, j’aime pouvoir faire des rôles qui me sortent de qui je suis et j’aime d’autant plus (…) quand il y a de la force dans le personnage!»
HPQ: «Tu es chanteuse et actrice, est-ce que tu as une préférence entre les deux?»
CB: Je te dirais que la chanson, c’est ma passion de cœur, c’est ce que j’ai toujours voulu faire. Ça a toujours été clair depuis que je suis toute jeune! (…) C’est très chargé pour moi la musique, parce que c’est extrêmement important et c’est un long processus de faire de la musique (…) Autant (que c’est) ardu et pénible des fois de plonger, d’arriver à se faire confiance et de faire fi du syndrome de l’imposteur des fois qui revient (…) c’est mon projet de cœur et c’est la passion première. Mais, le jeu, c’est quelque chose qui est arrivé dans ma vie et qui venait aussi avec le syndrome de l’imposteur, puisque je n’ai pas la formation. Mais, on dirait que Projet Innocence ça m’a fait… ça m’a permis de reconnecter avec cette passion-là (…) ça me permet d’être un petit peu plus pragmatique et calculée, parce que tu apprends tes textes, tu livres quelque chose et après tu passes à un autre appel. La musique, ça obsède, c’est toujours présent. Donc, je ne pourrais pas choisir, c’est juste vraiment différent, les deux m’amènent beaucoup!»
HPQ: «Tu as aussi une passion pour la mode!»
CB: «Oui, ben oui! En plus que là, depuis deux ans je travaille avec une styliste et ça… ça part en couille (…) On est devenus super proches, Laurence Morissette de son nom. Puis, les deux, on est passionnées de la mode, mais elle c’est à un autre niveau. L’avantage d’avoir une styliste c’est que tu peux élargir tes horizons et essayer des trucs que je n’aurais pas pensé! Elle me sort beaucoup de ma zone de confort et j’aime me faire sortir de ma zone de confort et elle, elle aime jouer avec ça. Donc, on est un bon mariage (…) j’adore expérimenter et oser.»
HPQ: «Comment tu définirais l’évolution de ton look dans les dernières années?»
CB: «Oh mon Dieu! Je pense que… ce qui est le fun, c’est de ne pas se limiter et moi je n’ai pas envie de me limiter! (…) En fait, ça part d’assumer (…) c’est par rapport à assumer ce que je porte!»
HPQ: «De ne pas avoir peur de ce que les gens vont dire?»
CB: «Non, exact, exact. Et j’aime pouvoir explorer dans le côté un petit peu plus féminin, sexy (…) On dirait qu’il y a une petite partie de moi qui est un peu… des fois c’est peut-être ma petite révolte personnelle de faire: Je peux être sexy et crédible! Longtemps, je me suis sentie pas crédible en étant femme et sexy, donc là, pour moi, c’est important de le faire et de ne pas être affectée par personne!»
HPQ: «2024 vient de commencer. As-tu pris des résolutions?»
CB: «Oui! Une de mes premières résolutions, cette année… j’ai envie de concrétiser et d’accomplir les choses que j’ai envie de faire. Exemple, ça fait des années que je dis que je veux faire de la poterie et je ne le fais pas. Donc, cette année, je prends un cours de poterie! (…) Cette année, j’ai envie de pouvoir découvrir de nouvelles affaires et essayer de nouvelles affaires, de le faire, de ne pas juste le dire! (…)»
Un grand merci à Claudia Bouvette pour sa générosité et ce bel entretien fort intéressant!
Ne manquez pas Projet Innocence, diffusée chaque mardi à 20h sur les ondes de Noovo.
Samuel Montembeault a connu une bonne saison 2022-23 avec une moyenne de 3,42 et .901 % en 40 rencontres.
Globalement, le portier a été très solide dans un club qui effectue actuellement un virage jeunesse et qui a terminé au 28e rang de la LNH.
Le 2 octobre 2021, Montembeault avait été réclamé au ballottage par le Canadien des Panthers de la Floride.
Avec Spencer Knight, les dirigeants de la formation floridienne avaient pris la décision de laisser une chance au québécois pour qu’il puisse évoluer dans une autre organisation.
Le natif de Bécancour tentait de trouver son rythme dans la grande ligue après avoir connu un impressionnant parcours dans la LHJMQ dans l’uniforme de l’Armada de Blainville-Boisbriand.
À ses 11 premiers matchs avec les Panthers, il avait conservé une moyenne de 3,04 et .894 %.
Sur les ondes du 98,5 Sports, Stéphane Waite vient toutefois de faire une déclaration qui fait beaucoup réagir les fans du Tricolore.
À son avis, Cayden Primeau est en avance sur Samuel Montembeault au même âge.
Qu’en pensez-vous ?
Cliquez sur le lien plus bas pour entendre ses propos :
C’est officiellement terminé pour Craig Anderson dans la LNH alors qu’il vient d’annoncer qu’il prend sa retraite.
À 41 ans, le natif de Park Ridge a connu une brillante carrière depuis 2002.
Il a porté les couleurs des Blackhawks de Chicago, des Panthers de la Floride, de l’Avalanche du Colorado, des Sens d’Ottawa, des Capitals de Washington ainsi que des Sabres de Buffalo.
Anderson a disputé un total de 709 matchs, affichant une moyenne de 2,86 et .912 %.
Le 30 juin 2022, il avait signé un contrat d’une saison à 1 500 000 $ pour revenir s’aligner à Buffalo.
Une très belle carrière et un homme fort sympathique !
Sean Monahan vient tout juste de s’adresser aux médias pour la dernière fois de la saison 2022-23.
L’attaquant a fait une importante déclaration concernant son avenir avec le Canadien, mentionnant qu’il souhaite revenir avec le club.
Selon lui, l’organisation est ouverte à lui offrir un contrat et les deux partis souhaitent trouver un terrain d’entente.
Monahan mentionne que le groupe chez le Tricolore est spécial et très talentueux.
Il n’est pas inquiet avec les blessures et pour son avenir, il sait qu’il lui reste encore beaucoup de hockey à jouer et il est confiant de revenir en force.
Vous pouvez suivre le point de presse en cliquant sur le lien plus bas :
Phillip Danault fut un joueur très apprécié de ses coéquipiers et des partisans lors de son passage avec le Canadien de Montréal. Désormais avec les Kings de Los Angeles, Danault continue de s’éclater.
En effet, la saison dernière, Danault avait amassé 27 buts ce qui représentait un meilleur en carrière. Cette saison, bien qu’il ait seulement 18 buts, celui-ci a amassé plus de points qu’auparavant.
Effectivement, en 80 matchs joués jusqu’à présent, Danault a accumulé 18 buts et 35 mentions d’aide pour un total de 53 points.
Le Québécois écoule présentement la deuxième année de son contrat d’une durée de 6 ans lui rapportant annuellement 5,5 millions de dollars.
D’ailleurs, il faut mentionner que Danault a toujours une grande place dans le coeur des joueurs du CH comme nous vous le rapportions plus tôt cette semaine.
Jeudi soir, le Canadien a tourné le couteau dans la plaie des Capitals, qui manqueront les séries éliminatoires pour seulement la deuxième fois depuis 2008.
Lors de la victoire de 6 à 2, Joel Armia a certainement été la vedette du match, récoltant son deuxième tour du chapeau en carrière. Toutefois, il s’agissait également de la 100e partie dans la LNH pour Samuel Montembeault.
Le gardien de 26 ans a couronné son exploit avec une solide performance, arrêtant 24 tirs sur 26 en route pour un impressionnant pourcentage d’efficacité de .923.
Renaud Lavoie en a même profité pour complimenter Montembeault après les faits sur les ondes de BPM Sports :
« J’aime énormément ce que je vois de lui. J’aime vraiment ce que Samuel est en train de faire avec cette équipe-là »
Renaud Lavoie
Le natif de Bécancour connaît une bonne séquence depuis le 21 mars : il a remporté 3 matchs sur 5 avec une moyenne de buts alloués de 2,6 ainsi qu’un pourcentage d’arrêts .915. Malgré la fiche perdante du CH, le numéro 35 en a une de 16-16-3.
Avec des statistiques pareilles, tout porte à croire que Montembeault pourrait être un partant solide avec un alignement amélioré à Montréal.
Hier, nous vous rapportions le communiqué du Canadien de Montréal qui annonçait que la saison du vétéran attaquant Sean Monahan était officiellement terminée puisqu’il avait dû être opéré une fois de plus, cette fois à l’aine.
À ce point-ci, avec les multiples opérations qu’il a dû subir au cours des dernières années, il y a lieu de se demander si la carrière de Monahan était compromise.
Mais de nouvelles informations ont fait surface depuis.
Selon ce que rapporte le journaliste Eric Engels de Sportsnet, Monahan en aura pour 6 à 8 semaines de récupération suite à son opération avant de penser effectuer un retour au jeu. Toujours selon le journaliste, il n’aurait pas perdu sa motivation et tentera d’effectuer un retour en santé en vue de la prochaine saison, lui qui sera libre comme l’air et devra signer un nouveau contrat cet été.
Voyons voir si ce sera à Montréal, avec le Canadien.
Âgé de 28 ans, Sean Monahan a compilé une fiche de 6 buts et 11 passes pour un total de 17 points en 25 matchs cette saison. Il écoule présentement la dernière année de son contrat qui lui rapporte en moyenne 6.375 millions de dollars. Il deviendra agent libre sans restriction cet été.