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Le Botox associé à un risque accru de dépression

Si vous pensiez avoir recours au fameux Botox pour conserver votre mine des beaux jours, vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil à cet article avant de passer à l’acte.

Selon une étude rapportée par Top Santé, les injections de Botox n’ont pas toujours l’effet escompté par le patient ou la patiente. Si le fait d’améliorer son image procure en soi un effet de joie, les chercheurs de l’Université de Cardiff croient qu’il existe également un effet retour.

En fait, les chercheurs pensent fermement qu’en « bloquant » ainsi les expressions du visage, le corps envoie des messages mixtes au cerveau. Lorsqu’une personne sourit, l’expression faciale affichée envoie un message au cerveau qui indique que nous sommes heureux, content.

Mais lorsque le sourire ne change plus notre expression, et que celle-ci est « figée », le cerveau ne reçoit jamais ces messages de bonheur et croit finalement, à long terme, que son propriétaire est dépressif.

« … les expressions de notre visage affectent aussi notre moral. Nous sourions parce que nous sommes heureux, mais c’est aussi le fait de sourire qui nous rend heureux », explique le Dr Lewis, en tête de l’étude.

Il faut noter que cette cause à effet est notable selon le type et l’endroit de l’intervention. Si l’on « fige » des parties du visage qui s’activent lorsque nous sommes fâchés ou déprimés, on pourrait alors être témoin de l’effet inverse, soit de moins ressentir les émotions négatives.

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L’anxiété affaiblit aussi le système immunitaire

L’anxiété n’a pas que des répercussions sur la santé psychologique, mais aussi physique. C’est ce qui ressort de cette étude américaine, rapportée par Top Santé, qui parle des dangers entourant une anxiété chronique.

Les angoissés quotidiens sont sujets à contracter diverses maladies et certains virus plus que les autres, signale l’étude, puisque le stress affaiblirait le système immunitaire.

Les chercheurs de l’Université d’Ohio expliquent le phénomène par une hausse de la protéine C, caractéristique de l’inflammation. Cette dernière rend le corps plus fragile et vulnérable aux nombreuses maladies.

Deux groupes de femmes ont été formés pour cette recherche, et chacun des groupes devait simuler un entretien d’embauche. Le premier pouvait ensuite se détendre en pensant à des choses « neutres », alors que le deuxième devait revivre l’expérience et se questionner.

Le deuxième groupe a aussitôt enregistré des hausses de la protéine C.

Les chercheurs rappellent donc l’importance d’être calme et de se libérer de l’emprise du stress quotidien et de l’angoisse, car il s’agit d’émotions qui empoisonnent l’organisme.

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L’épuisement professionnel augmente aussi les risques de crise cardiaque

Santé Log rapporte une étude qui dévoile les risques pour la santé reliés à un épuisement professionnel, mieux connu sous le nom de burnout.

Le stress et l’épuisement dus au travail ou à des raisons professionnelles sont un fléau de plus en plus grandissant, notamment à cause de la course incessante à l’argent qui prévaut en Amérique, et du marché économique instable que l’on connait depuis maintenant plus de cinq ans.

Tous ces facteurs, et bien d’autres, contribuent à l’épuisement professionnel, qui n’a pas que des impacts sur la santé psychologique. En effet, selon l’étude israélienne en provenance de l’Université de Tel-Aviv, les risques de faire une crise cardiaque ou de développer une maladie cardiovasculaire se verraient augmentés de 40 % lorsqu’une personne se retrouve en burnout.

Des chiffres inquiétants, qui découlent d’une analyse intensive des cas de près de 10 000 personnes, des hommes et des femmes, sur leurs habitudes professionnelles et leur santé psychologique.

Du nombre, ceux qui ont vécu un épuisement professionnel ont aussi démontré des symptômes et des réactions qui ont mené aisément à la conclusion rapportée ici.

Cette étude a été publiée dans la plus récente édition du magazine Psychosomatic Medicine.

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L’insomnie affecte également la santé cardiaque

Être incapable de trouver le sommeil, ou à tout le moins d’en trouver de qualité, n’influencerait pas que la santé psychologique, apprend-on par Santé Log.

Ces derniers rapportent une étude sur le sommeil en provenance de la Norvège, qui parle des effets de l’insomnie sur la santé cardiaque, notamment.

Les résultats, publiés dans l’édition du 5 mars de l’European Heart Journal, dévoilent des risques accrus de troubles cardiaques chez les gens qui éprouvent des problèmes de sommeil.

Des risques d’insuffisance qui seraient multipliés par quatre, si l’on en croit ces conclusions. Ce risque peut se traduire à court terme, ou plus loin au cours de la vie, semble-t-il, et c’est l’une des premières fois (sinon la première) que des chercheurs établissent une cause directe entre l’insomnie et la santé cardiaque.

C’est après avoir sondé et analysé plus de 50 000 patients que les experts norvégiens ont pu confirmer leur théorie initiale.

Les chercheurs de la Norwegian University of Science and Technology croient que ces recherches pourraient mener les praticiens à considérer le sommeil lorsqu’ils posent un diagnostic concernant le cœur, ou encore en prévention.

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Un régime fort en sel peut mener à diverses maladies chroniques

The National Library of Medicine rapporte une étude qui accuse le sel, mais qui y va de précisions intéressantes.

Notamment en ce qui concerne les maladies chroniques qui peuvent apparaitre à cause d’une alimentation trop riche en sodium. Du lot, on apprend que la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde sont susceptibles de se développer chez les personnes qui mangent trop de sel.

Des conséquences bien plus graves, donc, qu’une simple montée de la pression sanguine, déjà observée chez les amateurs de sel.

« La diète affecte en effet le système immunitaire d’une façon qui n’a peut-être jamais été observée jusqu’à maintenant », lance le Dr David Hafler, professeur en neurologie et immunobiologie à Yale.

C’est après avoir découvert un peu par hasard que les amateurs de restauration rapide affichaient des résultats de tests médicaux inquiétants sur divers plans que les chercheurs ont voulu pousser l’étude plus loin, en précisant les dangers réels d’une consommation de sodium élevée.

Les chercheurs recommandent à tout le monde, mais spécialement aux gens qui souffrent de maladies chroniques comme la sclérose en plaques, d’entamer le plus rapidement possible une diète pauvre en sel.

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L’optimisme et les taux de cholestérol : cause à effet?

Les gens de plus de 40 ans qui voient la vie d’un bon œil pourraient améliorer leur bon taux de cholestérol dans le sang, suggère une nouvelle étude.

C’est ce que rapporte The National Library of Medicine, qui prétend qu’il est possible de tracer un lien entre le cholestérol et le fait d’être positif à 40 ans.

Les tests effectués démontreraient en effet que les personnes à mi-chemin dans leur vie qui ont d’excellents résultats en matière de cholestérol dans le sang ont bel et bien une vision plus légère et enjouée de la vie en général… ou serait-ce l’inverse?

« Il s’agit d’une nouvelle pièce de preuve qui suggère que la santé psychologique et la santé physique sont interreliées, et que voir le monde de façon optimiste peut avoir des effets tangibles sur la santé », résume l’auteure de l’étude, Julia Boehm, de la Harvard School of Public Health de Boston.

Des propos qui laissent croire que non seulement un bon taux de cholestérol dans le sang peut améliorer l’attitude, mais que l’inverse serait aussi vrai.

D’autres tests doivent être effectués sur le sujet, car les chercheurs ne veulent pas trop s’avancer sur les effets possibles d’une attitude positive sur l’organisme. Une cause à effet reste à prouver.

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Le manque de sommeil mènerait à de mauvaises habitudes alimentaires

Les gens qui dorment trop peu ont plus de risques de se tourner vers la malbouffe que les autres, croient des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, les gens aux prises avec des troubles de sommeil, ou qui en manque, seraient plus enclins à se ravitailler dans les restaurants de fast-food et même commander de plus grosses portions!

Ce sont des chercheurs suédois qui arrivent à de telles conclusions, à la suite des tests et analyses effectués sur 16 sujets masculins de poids « normal ».

On a d’abord vérifié les habitudes et les envies de ces sujets après des nuits de sommeil réparatrices de huit heures, en moyenne, avant de répéter le stratagème à la suite de nuits blanches.

Étrangement, les participants ont automatiquement choisi des portions plus grandes que d’habitude, eux qui avaient préalablement reçu un petit déjeuner en plus.

On croit donc que le manque de sommeil crée un besoin calorique plus élevé chez l’homme, ce qui peut également mener tout droit à l’obésité.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Le vin rouge et l’ouïe

Une étude américaine rapportée par Top Santé révèle que le vin rouge pourrait posséder des vertus cachées qui protègeraient l’ouïe.

En effet, les chercheurs de l’hôpital Henry Ford, à Detroit, constatent que certaines composantes du vin rouge seraient bénéfiques à l’audition chez l’homme, notamment le resvératrol, un antioxydant.

Ces conclusions étonnantes sont le fruit d’un travail en laboratoire de sept semaines, période au cours de laquelle les chercheurs ont observé les réponses auditives de rats, dont certains recevaient des doses de resvératrol.

Ceux qui étaient au contraire placés sous une simple solution saline voyaient leurs capacités auditives baisser de façon plus évidente que ceux qui recevaient l’antioxydant.

Le Dr Michael Seidman, de l’équipe en tête de l’étude, résume : « Notre dernière étude met l’accent sur le resvératrol et ses effets sur les réactions du corps à la suite d’un traumatisme. On pense que ces réactions sont la cause de nombreux problèmes de santé comme la maladie d’Alzheimer, le cancer, le vieillissement et la perte d’audition ».

Le constat va donc plus loin que l’impact du vin sur l’ouïe, car on ouvre la porte à un possible effet préventif des maladies dégénératives et cognitives.

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Pas de lien entre l’Accutane et la maladie de Crohn, selon une étude

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une nouvelle étude qui « blanchit » le traitement contre l’acné Accutane.

On traçait des liens présumés entre ce puissant traitement et certains cas de la maladie de Crohn et de colites chez la femme, mais ceux-ci relèveraient du mythe.

Ces deux troubles sont aussi associés au syndrome du côlon irritable, un type de diagnostic récent. C’est du moins ce qu’affirme l’étude, qui invalide ces théories et vient offrir son support au médicament.

Accutane est reconnu pour son efficacité, mais plusieurs spécialistes s’en méfient. Une peur non fondée, selon les chercheurs qui publient leurs conclusions dans l’édition de février du magazine JAMA Dermatology.

« Il y a eu beaucoup de spéculations entourant Accutane et le syndrome du côlon irritable. Les dermatologistes ont été découragés d’utiliser le traitement et les créateurs d’Accutane ont même dû arrêter la production à cause de ces allégations. », explique Michele Green, dermatologiste.

Elle ajoute que l’acné est un trouble qui peut causer énormément de stress et de détresse psychologique, et que les médecins ne devraient pas laisser la mauvaise réputation du traitement les décourager à le prescrire.