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Le cannabis augmente-t-il les chances de faire une attaque cérébrale?

Une nouvelle étude controversée sur le cannabis risque de faire jaser. Selon ce que l’on apprend via Santé Log, l’étude révèle des risques d’attaques cérébrales potentiellement à la hausse chez les fumeurs de cannabis.

La marijuana, pourtant prisée par plusieurs et même prescrite par certains médecins, comprendrait un dangereux revers de médaille pour ces chercheurs australiens en tête de l’étude.

Présentées lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference 2013, ces recherches sont parmi les premières sérieuses à tenter de démontrer un risque accru d’AVC chez les consommateurs de la drogue douce.

Une drogue pas si douce, pensent les chercheurs, qui croient fermement à leur théorie. On parle du double, voire du triple, des chances d’AVC chez cette partie de la population, en comparaison aux non-fumeurs.

Cependant, plusieurs facteurs pourraient venir brouiller ces résultats. Notamment, l’usage de la cigarette chez les sujets observés, ainsi que leurs caractéristiques distinctes comme l’âge et leur état de santé préalable.

On s’attend à voir d’autres études sur le sujet être effectuées dans un avenir rapproché.

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Diner plus tôt : un truc pour la perte de poids?

Une étude en provenance de l’Espagne, rapportée par The National Library of Medicine, affirme que les gens qui dinent plus tôt que les autres démontrent de meilleures aptitudes à perdre du poids.

Ainsi, il serait bénéfique de manger dans la première portion de l’heure du diner plutôt que dans la deuxième, ou même en après-midi.

Bien que l’étude ne puisse prouver ou démontrer avec certitude que le fait de manger plus tôt fait perdre du poids de façon directe, les chercheurs croient cependant mordicus au fait que les heures de prise de repas sont des facteurs importants dans la façon pour le corps de réagir aux aliments.

« Nous devrions sérieusement commencer à considérer l’heure de nos repas. Pas seulement ce que l’on mange, mais aussi quand on le mange », lance Frank Scheer, chercheur à Harvard et coauteur d’une étude sur le sujet.

C’est après avoir analysé les réponses de 420 volontaires pour une étude nutritionnelle, sur une période de 20 semaines, que des chercheurs ont constaté qu’à repas égal et activité égale, les gens qui mangeaient plus tôt perdaient étonnamment plus de poids que les autres…

On devra probablement s’attarder davantage à cette facette en matière de nutrition dans le futur, croient plusieurs spécialistes.

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L’acide folique n’augmenterait pas les risques de cancer

L’acide folique est blanchi des accusations qui pesaient contre lui, selon lesquelles il encouragerait le développement de plusieurs types de cancer.

Ainsi, on apprend par l’entremise de la National Library of Medicine que des chercheurs viennent de déposer les résultats de leurs analyses sur le sujet. Selon eux, l’acide folique a été pointé du doigt injustement jusqu’à présent.

Surtout contenu dans les aliments renfermant de la vitamine B ainsi que dans la farine (depuis 1998), on le retrouve aussi dans les légumes verts comme les épinards, les asperges et la laitue, notamment.

Plusieurs experts s’accordaient pour dire que cet acide possédait certains travers qui contrecarraient ses effets bénéfiques sur la santé, ce que démentent ces dernières recherches.

Pour prouver leurs théories, des chercheurs canadiens (Nouveau-Brunswick) se sont alliés à d’autres experts internationaux et ont tout simplement administré des doses quotidiennes d’acide folique à un groupe test, alors que le second groupe ne recevait qu’un placebo.

En ajoutant ces résultats à ceux obtenus dans plus de 13 autres essais cliniques, les experts néo-brunswickois et leurs collègues tranchent : pas de hausse de cancer due à l’acide folique.

L’étude s’est effectuée sur plus de cinq ans et a vu passer près de 50 000 volontaires.

« La conclusion est qu’il n’y a aucun danger à court terme (5 ans) », termine le Dr John Baron, appelé à commenter ces recherches.

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Les éclairs et la migraine

Une étude qui nous provient du Missouri, rapportée par The National Library of Medicine, propose l’existence d’un lien entre la migraine et la tombée d’éclairs dans le voisinage.

Il n’est pas nouveau de voir des liens être créés entre les aléas météorologiques et la migraine, mais il s’agit d’une première en ce qui concerne la foudre. Les éclairs sont ciblés précisément ici, et les chercheurs se disent stupéfaits des résultats observés.

Ainsi, on allègue que les gens susceptibles d’avoir des maux de tête le seraient davantage lorsque des éclairs frappent dans un rayon de 25 miles (plus de 30 kilomètres).

« Nous sommes très surpris et très heureux de ces résultats. Il s’agit de la première étude qui réussit à établir un lien entre la foudre et la migraine », explique le Dr Vincent Martin, auteur principal de l’étude en provenance du collège de médecine de l’Université d’Ohio.

Bien que les éclairs ne soient pas des causes, ils seraient plutôt des déclencheurs importants. D’autres déclencheurs connus : le stress, le manque de sommeil et l’humidité.

Au final, les chercheurs croient que d’autres études sur le sujet seront nécessaires pour établir avec certitude cette causalité.

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Les fruits et légumes et la santé mentale

Les « rois de la bouffe » et protecteurs de la santé en alimentation, les fruits et légumes, sont maintenant affublés d’une nouvelle réputation, lance La Presse.

En effet, les fruits et légumes sont non seulement les meilleurs alliés de la minceur et de la santé, mais ils seraient aussi fort bénéfiques sur la santé mentale.

C’est du moins ce que croient des chercheurs néo-zélandais, alors qu’ils ont vérifié cette théorie sur 281 sujets, de jeunes adultes, sur une période de 21 jours. L’étude qui en ressort parle carrément d’un effet sur la bonne humeur!

« Les jours pendant lesquels les sujets mangeaient plus de fruits et légumes, ils rapportaient se sentir plus calmes, plus énergiques et plus dynamiques qu’à leur habitude. », conclut la Dre Tamlin Conner, auteure en chef de l’étude.

De plus, on signale que ces effets seraient observables également le lendemain. On peut donc dire que oui, il existe des impacts sur la santé mentale à manger des fruits et des légumes, puisque la bonne humeur (ou le fait d’être heureux) réduit le stress… et ce dernier est l’ennemi numéro un à abattre en santé dans notre société moderne.

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La gentillesse rendrait plus heureux

Ah! Le karma. Cette notion qui promet que chaque geste aura sa conséquence, que l’on récolte ce que l’on sème, et que le bien engendre le bien et le mal, le mal.

S’il s’agit d’une philosophie bien reconnue et fort véridique pour bien des gens, n’allez pas compter sur la communauté scientifique pour corroborer ce genre de théorie.

Voilà qu’à la surprise totale, certains chercheurs se sont penchés sur la variation du bonheur en fonction de nos actions, rapporte The National Library of Medicine, plus précisément l’impact de nos bonnes actions sur notre bonheur.

Ainsi, effectuer de beaux petits gestes altruistes permettrait d’être plus heureux, selon Sonja Lyubomirsky, professeure en psychologie à l’Université de Californie, qui étudie le phénomène du bonheur depuis plus de 20 ans maintenant.

Pour elle, il est clair que des actions positives engendrent des émotions tout aussi positives, et ainsi de suite. Elle précise également que le dosage de ces actions et activités est un facteur important, et une variable.

Aussi, répéter la même action finirait par atténuer son effet « bonheur ». Il faudrait donc varier nos gestes de générosité et de gentillesse, et en effectuer le plus souvent possible.

Étrangement, elle note que le meilleur rapport gentillesse/bonheur est observé chez les gens qui font une bonne action de façon hebdomadaire.

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La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.

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De la vaisselle qui provoque des pierres aux reins?

Serait-il possible que la vaisselle qui se trouve dans votre cuisine puisse provoquer des pierres aux reins? Cette allégation semble plutôt farfelue à première vue, mais selon ce que rapporte The National Library of Medicine, il semble qu’il s’agisse bel et bien d’une possibilité.

C’est une petite étude américaine qui parle des risques possibles associés à certains éléments de vaisselle, spécialement ceux fabriqués à partir de mélamine.

Ce dernier élément en est un chimique, retrouvé dans plusieurs objets qui vous sont probablement familiers.

« La mélamine est un élément utilisé massivement par les différentes industries et retrouvé dans plusieurs produits retrouvés dans nos maisons. Pour les consommateurs, la source d’exposition la plus commune est celle contenue dans les assiettes, les bols, les tasses, etc. Elle est reconnue pour sa capacité à se transposer de ces éléments à votre nourriture », explique le Dr Kenneth Spaeth, l’un des directeurs de l’hôpital North Shore dans l’État de New York.

Il appert que les aliments très chauds, ainsi que ceux très acides, ont la meilleure capacité de transfert.

En contrepartie, Spaeth croit que même s’il s’agit d’un fait, l’exposition à la mélamine ne mérite pas que l’on jette toute sa vaisselle à la maison. Il veut attendre d’autres études afin de déterminer les niveaux de danger de façon plus précise.

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L’aspirine pointée du doigt pour des cas de cécité

L’aspirine possède de belles vertus, notamment celle de prévenir certaines maladies cardiaques à long terme. Plusieurs praticiens n’hésitent donc pas à recommander à leurs patients d’en consommer sur une base régulière.

Si cela ne s’avère pas un mauvais conseil en soi, basé sur ce que l’on sait de ses effets jusqu’à maintenant, l’aspirine pourrait également créer certains autres problèmes à long terme.

C’est ce que l’on comprend de l’étude américaine rapportée par The National Library of Medicine, qui pense pouvoir démontrer que la médaille possède bel et bien deux revers dans le cas de l’aspirine.

On parle notamment de cas de cécité ou de perte de vision qui apparaitraient chez certaines personnes qui utilisent le médicament quotidiennement. On note aussi que ces cas sont rapportés surtout chez les personnes vieillissantes qui en font l’usage depuis un bon moment.

Pour Jie Jin Wang, de l’Université de Sydney, il faut bien peser le pour et le contre : « Les risques de problèmes oculaires avec l’âge n’ont été découverts qu’il y a dix ou quinze ans. Il faut être vigilant dans le cas de l’aspirine, mais sans minimiser ses effets bienfaiteurs sur la santé cardiaque et le cœur en général ».

On conseille vivement de consulter son médecin avant de prendre de l’aspirine sur une base régulière, puis de penser à des solutions de rechange pour éviter les effets secondaires observables avec l’âge.

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Les caroténoïdes au service de l’humeur

Santé Log s’attarde aux effets possibles sur l’humeur de certains légumes qui contiennent des caroténoïdes. En effet, on avance que ces légumes pourraient bien avoir un impact sur votre humeur, et ainsi influencer vos réactions.

C’est du moins ce que concluent des chercheurs de la prestigieuse université Harvard, qui publient leurs conclusions sur le sujet dans le magazine scientifique Psychometric Medicine.

On y apprend notamment l’impact possible de ces aliments sur l’optimisme, ou le fait de voir les choses du bon œil. Pour prouver ces dires, les chercheurs donnent des statistiques qui démontrent que les gens qui se disent optimistes présentent des taux de caroténoïdes dans le sang plus élevés que les autres.

Pour étoffer le dossier, les experts de Harvard ont pris le temps d’étudier les cas de près de 1000 hommes et femmes qui se sont prêtés au jeu. Après avoir soustrait plusieurs autres facteurs et isolé celui-ci, les chercheurs sont convaincus : les gens plus joviaux et optimistes présentent des niveaux de caroténoïdes haussés de 3 à 13 %, selon les individus.

Outre ces nouvelles révélations, on rappelle qu’il est de notoriété publique que la consommation quotidienne de fruits et légumes est bénéfique pour la santé.