Catégories
Uncategorized

L’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie?

Au cours de l’été dernier (2013), l’American Medical Association (AMA) qualifiait officiellement l’obésité comme une maladie dans sa liste des troubles de la santé officiels et répertoriés.

Mais l’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie? Voilà la question qui demeure lorsqu’on prend connaissance des observations proposées par des chercheurs de l’Université du Minnesota, qui publient une étude sur le sujet.

Rapportée par Santé Log, notamment, l’étude en question révèle un impact plus négatif que positif sur la mentalité et les actions des patients souffrant d’obésité, ces derniers affichant une motivation moindre à changer leur situation depuis qu’on les considère comme des « malades » à part entière.

L’étiquette de « maladie » relève donc de la fatalité, ce qui n’est pourtant pas toujours le cas dans des situations de surpoids et d’embonpoint, notent les chercheurs américains.

Si le fait de qualifier l’obésité parmi les maladies a permis un discours plus libre sur le sujet, le geste aurait également banalisé l’affaire, et remis plusieurs patients sur la mauvaise voie alimentaire. Or, rappelle-t-on, il est effectivement possible d’améliorer sa condition ou son état dans cette situation, contrairement à d’autres « vraies » maladies qui s’avèrent réellement une fatalité.

Ces conclusions et réflexions sont publiées dans le magazine Psychological Science.

Catégories
Uncategorized

Les suppléments d’antioxydants pourraient favoriser le développement du cancer du poumon

Une étude proposée par une équipe de chercheurs suédois a de quoi inquiéter les amateurs et consommateurs d’antioxydants et de suppléments de vitamines antioxydantes, rapporte Top Santé.

Selon les chercheurs du Centre du cancer à l’Institut de médecine de Göteborg, menés par le Dr Martin Bergö, les suppléments d’antioxydants pourraient contribuer à un facteur de risque aggravé de cancer du poumon, notamment en accélérant certains processus qui mènent à la maladie.

Pour l’instant limitées aux suppléments, ces observations contredisent plusieurs idéologies véhiculées par de nombreux spécialistes de la santé au cours des dernières années. Pourtant, les chercheurs suédois semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

« Nous avons constaté que ces antioxydants ont triplé le nombre de tumeurs et aussi fortement accéléré leur agressivité. Quand nous avons éliminé cette protéine chez les souris et dans les lignées cellulaires de cancer du poumon humain, les antioxydants n’ont plus eu d’effet », explique le Dr Bergö.

Ce dernier recommande donc, et particulièrement aux fumeurs, d’éviter la prise de ce type de suppléments et de s’en tenir à une alimentation saine et équilibrée.

Catégories
Uncategorized

Un pesticide lié à des cas d’Alzheimer

Top Santé rapporte les conclusions proposées par une équipe de chercheurs américains concernant un type de pesticide, le DDT, qui pourrait favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer.

C’est ce que croient les spécialistes des universités Rutgers et Emory, qui publient leurs observations dans le Journal of the American Medical Association.

L’étude, menée notamment par le Dr Allan Levey, révèle : « Le DDE, composant actif restant après que le DDT a été métabolisé par le corps, est près de quatre fois plus élevé dans le sang des personnes atteintes d’Alzheimer que dans celui des témoins sains. C’est l’une des premières études à identifier un important risque environnemental pour la maladie Alzheimer ».

« L’ampleur de l’effet du DDT est importante, comparable au facteur génétique le plus courant prédisposant à la maladie d’Alzheimer. Le DDT peut rester dans l’organisme de huit à dix ans et le DDE, son métabolite, s’accumule dans les tissus alors que les personnes vieillissent. Ceci pourrait aider à expliquer le fait que l’âge est le plus grand facteur de risque d’Alzheimer. »

Même si le pesticide DDT est interdit sur le territoire américain depuis 1972, le Dr Levey et ses collègues expliquent que nous mangeons toujours des fruits et légumes en provenance d’autres pays qui n’ont pas les mêmes législations que les pays nord-américains.

L’équipe derrière ces résultats veut poursuivre et pousser ses recherches encore plus loin.

On estime que les cas d’Alzheimer vont doubler d’ici 2020, notamment en lien avec le vieillissement de la population.

Catégories
Uncategorized

Glaucome : Maintenant deux fois moins de chances de perdre la vue

Il semble que les risques de cécité dus au glaucome, un problème de santé qui touche les yeux et qui apparait souvent avec l’âge, ont diminué de moitié au cours de la dernière génération, rapporte The National Library of Medicine.

C’est une nouvelle étude en provenance du Minnesota, aux États-Unis, qui dresse ce portrait beaucoup plus optimiste en la matière, et qui fait état de soins de santé qui se seraient globalement et constamment améliorés au cours des dernières années.

Si les statistiques concernant le glaucome et les chances de voir la maladie se développer n’ont pas vraiment bougé, il en va autrement du risque de perdre la vue à la suite de son diagnostic, relèvent les chercheurs en tête de l’étude.

« C’est un testament du talent et des efforts des chercheurs, des physiciens et des autres membres du personnel de santé qui ont travaillé aux soins des yeux au cours de cette période », lance le Dr Arthur Sit, ophtalmologiste à la Clinique Mayo et auteur en chef de l’étude.

Le Dr Sit et son équipe rappellent cependant que la meilleure façon de prévenir des problèmes aux yeux est de consulter le plus régulièrement possible.

Les conclusions de l’étude en question ont été publiées dans le journal Ophtalmology.

Catégories
Uncategorized

Le mariage influencerait la santé des os des hommes

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude des plus intéressantes sur l’impact du mariage sur la santé des hommes, particulièrement sur celle des os et de la solidité de ceux-ci.

Étranges mais vérifiables, semble-t-il, ces constatations sont celles d’une équipe de chercheurs de la UCLA menée par les docteurs Carolyn Crandall et Arun Karlamangla, et publiées dans le journal médical Osteoporosis International.

Selon les chercheurs, le mariage influence véritablement la santé des hommes et leur « charpente », alors que l’on dévoile qu’un mariage passé l’âge de 25 ans aurait tendance à solidifier et faire grossir la masse osseuse des hommes.

Cependant, un mariage avant l’âge de 25 semble avoir l’effet contraire, c’est-à-dire que les jeunes époux présentent des caractéristiques osseuses moins puissantes.

Les chercheurs précisent que ces impacts seraient davantage vérifiables dans certaines régions du corps, comme la colonne vertébrale, par exemple.

Plusieurs autres études ont déjà révélé l’impact du mariage sur divers aspects de la santé des hommes, notamment sur la condition cardiaque et les chances de survie à une grave maladie. 

L’équipe américaine en profite également pour rappeler qu’une bonne santé passe aussi par une bonne alimentation et de l’exercice physique sur une base régulière. 

Catégories
Uncategorized

Maladie cardiovasculaire cause importante de décès pendant ou après la grossesse

Les statistiques sont troublantes, affirme Afshan B. Hammed, médecin responsable de l’étude effectuée par le California Department of Public Health.

« Les femmes qui donnent naissance sont habituellement jeunes et en bonne santé », explique-t-il, « alors les maladies cardiovasculaires ne devraient pas être la première cause de décès reliée à la grossesse, mais c’est le cas. »

Entre 2002 et 2005, ce sont 732 femmes qui sont décédées pendant la grossesse ou moins d’un an suivant la naissance de leur enfant. Parmi ces cas, 209 décès étaient directement reliés à la grossesse, et 52 attribuables à une maladie cardiovasculaire.

Sur ces 52 cas, seulement 6 d’entre elles avaient été diagnostiquées avec un trouble cardiaque avant la grossesse. La cardiomyopathie a été responsable, à elle seule, de 32 des 52 décès.

Le quart des décès reliés à une cause cardiaque relevait de la haute pression pendant la grossesse, et les femmes afro-américaines, obèses ou toxicomanes étaient les plus sujettes à la mortalité.

« Les femmes devraient s’assurer de maintenir ou d’atteindre un poids santé avant et pendant la grossesse et consulter leur médecin si elles sont aux prises avec un historique familial cardiaque », avertit le Dr Hammed.

L’étude a été publiée dans l’American Heart Association’s Scientific Session 2013.

Catégories
Uncategorized

Mâcher de la gomme peut contribuer à la migraine

Si vous êtes victime de violents maux de tête ou constamment en train de lutter contre la migraine, une partie de la solution (ou du problème) pourrait résider dans une simple habitude : celle de mâcher de la gomme.

Selon une étude sur la migraine, en particulier chez les jeunes, il semble que le fait de mâcher de la gomme aurait une incidence majeure sur les risques de maux de tête et de migraines constantes. Les mouvements de la mâchoire et des lèvres seraient directement liés à une tension accrue au niveau du crâne, à cause de l’articulation temporo-mandibulaire.

Cette observation, rapportée par Santé Log, est celle du Dr Nathan Watemberg, appelé à démystifier les raisons qui pouvaient expliquer les nombreux cas de migraine chez les adolescents. Après avoir vérifié plusieurs théories, le Dr Watemberg aurait remarqué qu’un grand nombre de ses patients mâchaient de la gomme, lui faisant alors envisager l’hypothèse qu’il propose maintenant.

L’articulation temporo-mandibulaire, se situant à la croisée de la mâchoire et du crâne, serait trop affectée par le mouvement effectué en mâchant de la gomme, au point de déclencher de violents maux de tête chez certaines personnes.

On conseille donc aux patients souffrant de migraines de cesser toute activité du genre, et d’observer les résultats au bout de quelques jours.

Catégories
Uncategorized

L’utilisation à long terme d’antiacides liée à une carence en B12

Les gens qui ont recours aux antiacides pour contrer leurs maux d’estomac pourraient faire face à une carence en vitamine B12, selon ce que rapporte MedicalNewsToday.

C’est ce que révèle une recherche sur l’utilisation à long terme de ces produits vendus pour contrer les maux liés au reflux d’acidité, un phénomène somme toute assez répandu. Les personnes qui utilisent les antiacides depuis une certaine période de temps devraient donc être vigilantes à cette possible carence en B12, une vitamine nécessaire au maintien et au bon fonctionnement du système nerveux (cerveau, nerfs, etc.).

« Une déficience en B12 est relativement commune, spécialement chez les adultes plus vieux. Elle comprend cependant plusieurs complications médicales potentielles, si elle s’avère non diagnostiquée », expliquent les chercheurs californiens en tête de cette recherche.

Les consommateurs d’antiacides depuis plus de deux ans devraient donc considérer la prise de suppléments de vitamine B12, mais comme pour toute prise de suppléments, non sans avoir d’abord consulté un médecin.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine JAMA.

Catégories
Uncategorized

L’utilisation des téléphones intelligents va de pair avec l’angoisse

Des spécialistes et professeurs de l’Université Kent publient une étude dans laquelle ils tracent une corrélation directe entre la surutilisation des téléphones intelligents chez les jeunes adultes et les adolescents, et les hausses observables d’angoisse et de détresse psychologique, rapporte Santé Log.

Les professeurs en tête de l’étude ont cherché à savoir si l’utilisation abondante de ces appareils technologiques, désormais indissociables de la vie quotidienne, pouvait avoir un lien avec les cas d’anxiété et d’angoisse qui semblent en constate hausse chez les jeunes adultes.

La recherche, par ailleurs publiée dans le journal Computers in Human Behaviors, se base sur un sondage effectué auprès de près de 500 étudiants universitaires. En mesurant le temps d’utilisation moyen du téléphone intelligent par chaque individu, puis en soumettant les sujets à une série de tests et de questionnaires, les chercheurs de Kent ont conclu que l’utilisation de ces appareils va de pair avec une baisse des résultats scolaires et une hausse de l’anxiété.

Quelques autres études du genre abondaient déjà dans le même sens, notamment en ce qui a trait aux médias sociaux. On suggère donc de limiter le plus possible l’utilisation de ces appareils et de s’octroyer des pauses technologiques, ce qui semble désormais représenter un véritable tour de force pour les nouvelles générations.

Catégories
Uncategorized

Les fruits et légumes rendraient aussi plus beau

Les fruits et légumes n’ont plus besoin de présentation en santé et nutrition, et leur importance n’est plus à démontrer. Mais voilà qu’une nouvelle étude vient ajouter un avantage de taille à la consommation de fruits et légumes, qui pourrait bien en convaincre certains de s’y mettre illico.

Selon ce que rapporte Top Santé, une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Cambridge, en Angleterre, trace un lien entre la consommation de fruits et légumes et la beauté physique, affirmant que ceux qui en mangent le plus peuvent améliorer leur aspect.

Plus particulièrement, c’est le visage qui gagnerait davantage en luminosité, et le teint et la texture de la peau seraient grandement améliorés à la suite d’une consommation fréquente de fruits et légumes. Comme le démontrent les chercheurs britanniques à l’aide d’un test d’opinion, les gens aux visages plus éclatants et à la peau plus claire et saine sont davantage courtisés et appréciés que les autres.

« Ces résultats suggèrent que nous utilisons la couleur de peau comme un moyen rapide d’identifier la bonne santé des autres. De la même manière, les gens bronzés paraissent toujours en meilleure forme que les autres. En général, les gens ne sont pas attirés par des personnes qui ont l’air malade. Il est préférable et meilleur pour la santé de manger des fruits et des légumes que de s’exposer trop longuement au soleil », explique Carmen Lefèvre, de l’Université York.

La consommation minimale de fruits et légumes proposée pour obtenir un résultat beauté optimal se situerait à deux portions par jour.