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La dent sucrée, liée à l’abus d’alcool?

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui trace un lien étonnant – même tiré par les cheveux, diront certains.

Sauf que pour les chercheurs basés dans l’État de l’Indiana, aux États-Unis, il existe bel et bien un lien entre l’amour des friandises et du sucre, aussi appelé la « dent sucrée », et l’abus éventuel d’alcool au cours de la vie d’un individu.

« Précisément, la tendance était que ceux qui consommaient plus d’alcool que les autres […] avaient des réponses du lobe orbitofrontal gauche plus intenses face à une eau intensément sucrée », résume David Kareken, de l’Indiana University School of Medicine.

M. Kereken fait ici référence aux essais effectués sur des groupes tests, formés notamment de jeunes adultes, et qui ont révélé l’existence d’un lien entre l’attirance pour le sucre et celle pour l’alcool.

Ce genre d’étude et d’essai a pour but de tenter de prévenir les risques d’alcoolisme et de dépendance à l’alcool dès le plus jeune âge.

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La pollution de l’air serait liée à des millions de décès dans le monde

Le débat sur l’environnement et le réchauffement climatique fait rage depuis un bon moment déjà, et les avis divergents sont nombreux.

Deux camps s’affrontent, soit celui des environnementalistes et celui des sceptiques, ce dernier trouvant dans ses rangs ceux qui croient que la panique proposée et les catastrophes projetées sont plus exagérées que ce que la réalité propose.

Mais s’il existe un point qui semble rassembler un peu plus les idées, c’est celui de la pollution de l’air. À tout le moins, pour l’Institute of Physics de Londres (IOP), il n’existe aucun débat possible : la réduction de la qualité de l’air est un fléau qui tue.

Plus de deux millions de décès dans le monde annuellement : voilà le bilan de l’IOP en matière de qualité de l’air. Tous ces décès sont attribuables à la pollution, selon les chercheurs.

C’est par le biais d’une étude publiée dans le magazine Environmental Research Letters que l’IOP a fait connaître ses inquiétudes.

Des inquiétudes qui seront sans aucun doute partagées par une bonne partie de la population à la suite de ce bilan.

e débat sur l’environnement et le réchauffement climatique fait rage depuis un bon moment déjà, et les avis divergents sont nombreux.

Deux camps s’affrontent, soit celui des environnementalistes et celui des sceptiques, ce dernier trouvant dans ses rangs ceux qui croient que la panique proposée et les catastrophes projetées sont plus exagérées que ce que la réalité propose.

Mais s’il existe un point qui semble rassembler un peu plus les idées, c’est celui de la pollution de l’air. À tout le moins, pour l’Institute of Physics de Londres (IOP), il n’existe aucun débat possible : la réduction de la qualité de l’air est un fléau qui tue.

Plus de deux millions de décès dans le monde annuellement : voilà le bilan de l’IOP en matière de qualité de l’air. Tous ces décès sont attribuables à la pollution, selon les chercheurs.

C’est par le biais d’une étude publiée dans le magazine Environmental Research Letters que l’IOP a fait connaître ses inquiétudes.

Des inquiétudes qui seront sans aucun doute partagées par une bonne partie de la population à la suite de ce bilan.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le contrôle de soi mènerait au bonheur

En cette ère d’instantanéité, d’individualité et d’abondance, on a tendance à associer plaisir et bonheur.

De plus, chaque besoin et envie est désormais comblé facilement, comme par enchantement, grâce à des produits et services de toutes sortes, abordables et à proximité.

Or, selon ce que rapporte Top Santé, il serait peut-être faux de croire que la satisfaction du plaisir instantané mène directement au bonheur.

En fait, selon une étude en provenance de Chicago et publiée dans le Journal of Personality, plus un individu est capable de faire preuve de patience et de contrôle de soi, plus il serait proche de ce qu’on appelle le bonheur.

C’est après avoir observé et questionné 205 sujets adultes pour cette étude que les chercheurs ont constaté le lien évident existant entre l’épanouissement et le bonheur, et la capacité de se contrôler face à des envies, des besoins ou des désirs.

La patience et le plaisir d’anticipation seraient donc des vertus non négligeables dans la quête ultime du bonheur. Dommage qu’elles soient aussi en voie d’extinction…

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Le truc le plus efficace et le moins dispendieux pour perdre du poids

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui rappelle à tous et toutes l’existence d’un truc quasi infaillible pour perdre du poids, en plus d’être extrêmement peu coûteux.

Il s’agit tout simplement de boire de l’eau.

Ce n’est certainement pas la première fois que vous entendez le principe, mais une nouvelle étude sur le sujet vient corroborer ce fait : boire au moins un litre d’eau par jour permet de perdre du poids de façon appréciable.

L’étude en provenance de Virginia Tech démontre que les sujets ayant consommé deux verres d’eau avant les repas ont perdu jusqu’à quatre livres de plus que les autres. On explique le phénomène par plusieurs raisons, à commencer par une plus grande dépense énergétique et une sensation de satiété accrue.

N’oublions pas également que lorsque vous buvez de l’eau, un geste efficace en soi, vous n’êtes pas en train de consommer la tonne de sucre contenue dans les jus de fruits et les boissons gazeuses!

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

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Être plus instruit peut-il prévenir certains troubles de santé?

Top Santé rapporte des statistiques avancées par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui tendent à démontrer un lien entre la bonne santé et le niveau d’instruction.

Ces chiffres sont proposés dans le rapport Regards sur l’éducation, le 21e du genre, et font état d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure chance d’accéder à un emploi de qualité durant une crise financière, le rapport faisant bien sûr allusion à celle que le monde a connue depuis 2008.

Plus encore, l’OCDE trace un lien direct entre le niveau d’éducation d’un individu et d’éventuels troubles de santé. Par exemple, on note que plus une personne est instruite, moins elle a de chance d’être fumeuse ou encore d’afficher un surpoids ou d’abuser de l’alcool.

« Aujourd’hui, il est plus important que jamais de quitter l’école avec un bon niveau de qualification. Les pouvoirs publics doivent axer leurs efforts sur les mesures en faveur des jeunes, plus particulièrement des jeunes moins qualifiés, les plus exposés au risque de bas salaire », résume José Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE.

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La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.

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Un lien entre la surconsommation de viande rouge et le diabète de type II est établi

Medical News Today rapporte les conclusions d’une étude traçant un lien entre la surconsommation de viande rouge et un risque accru de développer du diabète, notamment de type II.

Ce sont des chercheurs basés en Chine, à la National University of Singapore, qui publient cette recherche dans le prestigieux Journal of the American Medical Association.

Ces chercheurs asiatiques ont analysé le cas de près de 150 000 Américains en donnant suite à trois études sur le sujet, toutes concluantes.

Tout comme leurs prédécesseurs, les chercheurs en tête de l’étude ont constaté les effets à long terme d’une consommation élevée de viande rouge. On parle d’une durée moyenne de quatre ans avant de voir les risques de diabète de type II augmenter grandement à la suite d’une consommation accrue de ce type de viande.

En contrepartie, les sujets analysés qui avaient abaissé leur consommation de viande rouge ont vu leurs risques de développer ce type de diabète descendre de 14 %, toujours sur une période de quatre ans.

Les chercheurs confirment donc l’effet observable, mais rappellent que la viande peut apporter du bon, notamment du fer, mais que la modération est de mise.

Dans ce cas-ci, il semble que ce soit spécialement vrai!

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Abus d’alcool : un traitement pour les cheveux comme solution?

Les gens qui abusent de l’alcool et qui souhaitent arrêter ou abaisser leur consommation et ainsi reprendre le chemin d’un régime de vie plus équilibré pourront peut-être compter sur une aide supplémentaire, selon The National Library of Medicine.

En effet, un traitement utilisé en prévention de la calvitie et de la perte des cheveux pourrait présenter une deuxième utilité et permettre de boire moins d’alcool.

C’est ce qui ressort d’une étude proposée par des chercheurs basés à Washington, qui en sont venus à découvrir cette intéressante facette du Propecia, un traitement bien connu, après avoir reçu le mandat d’en vérifier les effets secondaires.

Malheureusement, les chercheurs ont aussi découvert que le Propecia comprend bien d’autres effets possibles, dont une perte de libido. Ce serait justement ceux-là qui admettent ressentir un moins grand besoin de boire, par la même occasion.

« Des hommes qui admettent des effets secondaires sur leur sexualité malgré l’arrêt du traitement, deux tiers de ceux-ci ont remarqué qu’ils buvaient beaucoup moins d’alcool qu’avant », explique le Dr Michael Irwig, de la George Washington University.

Il faudra donc voir quelle utilisation on pourra faire de cette découverte, par ailleurs publiée dans l’édition du 13 juin du magazine Alcoholism : Clinical & Experimental Research.