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Dévoilement des finalistes pour le Jutra du film qui s’est le plus illustré hors Québec

Les finalistes pour le Jutra du film s’étant le plus illustré à l’extérieur du Québec ont été dévoilés. Cette année, la lutte se fera entre cinq films qui ont tous fait le circuit des festivals internationaux.
 
Ce qu’il faut pour vivre de Benoît Pilon. Sacré meilleur film aux Jutra l’année dernière, il a été présenté dans de nombreux festivals et a récolté plusieurs prix, dont le Prix spécial du jury à Washington.
 
C’est pas moi je l’jure de Philippe Falardeau a reçu le titre du meilleur film de l’année en 2009 par la critique au Festival de Vancouver. De plus, il a reçu de nombreuses autres récompenses internationales, dont l’Ours de cristal au Festival « Génération » de Berlin.
 
J’ai tué ma mère de Xavier Dolan a été récompensé d’abord par trois prix à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes l’année dernière. Depuis, le film a reçu des prix à Namur, Moscou, Toronto et en France.
 
Maman est chez le coiffeur de Léa Pool a remporté le titre du film québécois s’étant le plus illustré à l’étranger aux Jutra en 2009, mais a poursuivi sa lancée internationale par la suite, notamment en Suisse, en France, en Norvège, aux États-Unis, en Allemagne, en Italie, au Brésil et à Taiwan.
 
Puis finalement, le dernier film en lice est Un été sans point ni coup sûr de Francis Leclerc. Celui-ci a également participé à de nombreux festivals dans le monde, aux États-Unis, en France, en Chine et au Japon, entre autres.
 
Le grand gagnant sera connu lors du gala des Jutra animé par Patrice L’Écuyer dimanche prochain, 28 mars.
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Ce qu’il faut pour vivre reçoit le Jutra du meilleur film

Le film Ce qu’il faut pour vivre a été choisi meilleur film de l’année à la 11e soirée des Jutra qui a eu lieu hier (29 mars).

Le film, réalisé par Benoît Pilon, a aussi récolté deux autres prix, soit celui du meilleur acteur pour Natar Ungalaaq et celui du meilleur scénario.

Le trophée de la meilleure actrice a été décerné à Isabelle Blais pour sa prestation dans Borderline. Ce film a reçu trois autres prix : celui de la meilleure actrice de soutien pour Angèle Coutu, meilleure réalisatrice pour Lyne Charlebois et meilleur montage pour Yvann Thibaudeau.

Le Jutra du meilleur acteur de soutien a été remis à Normand D’amour pour Tout est parfait.

Le prix du meilleur court métrage a été décerné à Next Floor de Denis Villeneuve. De plus, on a rendu hommage au cinéaste Fernand Dansereau pour l’ensemble de sa carrière.

Quant au film Babine, il avait reçu cinq prix au gala hors d’ondes, dont meilleurs costumes, meilleure musique et meilleur maquillage.

La 11e soirée des Jutra était animée par Karine Vanasse.

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Babine domine la course aux Jutra

Le film Babine, de Luc Picard, domine les mises en nomination de la 11e soirée des Jutra avec neuf citations.

Babine se retrouve dans la catégorie Meilleur film de l’année aux côtés de Borderline, Ce qu’il faut pour vivre, C’est pas moi, je le jure! et Maman est chez le coiffeur.

Pour la meilleure actrice, le choix se fera entre Isabelle Blais (Borderline), Suzanne Clément (C’est pas moi, je le jure!), Guylaine Tremblay (Le grand départ) et Susan Sarandon (Emotional Arithmetic).

Du côté du meilleur acteur, les nommés sont Michel Côté (Cruising Bar 2), Alexis Martin (Le Banquet), Vincent-Guillaume Otis (Babine) et Natar Ungalaaq (Ce qu’il faut pour vivre).

Pour les catégories Meilleure actrice de soutien et Meilleur acteur de soutien, on retrouve Céline Bonnier (Maman est chez le coiffeur), Angèle Coutu (Borderline), Danielle Proulx (Le Déserteur), Maxim Roy (Adam’s Wall), Gabriel Arcand (Maman est chez le coiffeur), Daniel Brière (C’est pas moi, je le jure!) Normand D’Amour (Tout est parfait) et Luc Picard (Babine).

 

 

 

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Ce qu’il faut pour vivre domine les nominations des Prix Génie

L’Académie canadienne du cinéma et de la télévision (ACCT) a annoncé les nominations pour le prochain gala des Prix Génie.

Ce qu’il faut pour vivre domine avec huit mises en nomination, suivi de Tout est parfait avec 7 possibilités de prix. La bataille de Passchendaele, Fugitive Pieces, Maman est chez le coiffeur et Amal se démarquent dans six catégories chacun.

Ce qu’il faut pour vivre est nommé dans la catégorie du meilleur film avec Amal, Normal, La bataille de Passchendaele et Tout est parfait.

Pour le meilleur acteur, les nommés sont : Paul Gross (La bataille de Passchendaele), Rupinder Nagra (Amal), Christopher Plummer (Emotional Arithmetic), Aaron Poole (This Beautiful City) et Natar Ungalaaq (Ce qu’il faut pour vivre).

En lice pour le prix de la meilleure actrice, on retrouve Isabelle Blais (Borderline), Ellen Burstyn (The Stone Angel), Marianne Fortier (Maman est chez le coiffeur), Susan Sarandon (Emotional Arithmetic) et Preity Zinta (Heaven on Earth).

Les Prix Génie auront lieu le 4 avril au Musée de l’aviation du Canada à Ottawa et seront diffusés sur les ondes de Global.

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Ce qu’il faut pour vivre est toujours dans la course aux Oscars

Le film québécois Ce qu’il faut pour vivre, réalisé par Benoît Pilon, vient de franchir une nouvelle étape vers une mise en nomination dans la catégorie Meilleur film en langue étrangère pour les prochains Oscars.

Ce qu’il faut pour vivre met notamment en vedette Natar Ungalaaq, Éveline Gélinas, Paul-André Brasseur et Vincent-Guillaume Otis.

Parmi 65 films, neuf ont été retenus et Ce qu’il faut pour vivre en fait partie. Le week-end prochain, des comités visionneront les neuf films en vue d’en choisir cinq pour les nominations officielles, qui seront annoncées le 22 janvier.

Les autres films figurant dans la liste sont Entre les murs (France), Revanche (Autriche), The Baader Meinhof Complex (Allemagne), Waltz with Bashir (Israël), Departures (Japon), Tear This Heart Out (Mexique), Everlasting Moments (Suède) et 3 Monkeys (Turquie).

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Ce qu’il faut pour vivre aux Oscars?

L’équipe de Ce qu’il faut pour vivre a de quoi se réjouir. Parmi les 16 films admissibles, le film de Benoît Pilon a été choisi pour représenter le Canada dans la course aux Oscars pour la catégorie Meilleur film étranger.

Un seul film par pays est accepté pour la course aux Oscars. Ensuite, l’académie choisit cinq d’entre eux pour les nominations au gala.

L’annonce des mises en nomination sera faite le 22 janvier 2009.

Rappelons que Ce qu’il faut pour vivre raconte l’histoire de Tivii (Natar Ungalaaq), un chasseur inuit envoyé dans un sanatorium de Québec pour soigner une tuberculose.

Séparé de son monde, de sa famille, incapable de communiquer, il se laissera mourir. Son infirmière, Carole (Éveline Gélinas), fera alors venir le jeune Kaki (Paul-André Brasseur) d’un autre sanatorium.

Ce garçon connaît le monde des Inuits et des blancs, il parle les deux langues. Sa venue redonnera à Tivii une raison de s’accrocher à la vie.

Le film a remporté le Grand prix spécial du jury au dernier Festival des films du monde de Montréal.

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Ce qu’il faut pour vivre, sélectionné pour le FFM

Le film Ce qu’il faut pour vivre du réalisateur Benoît Pilon (Roger Toupin, épicier variété) sera présenté en grande première le 25 août prochain, lors du Festival des films du monde de Montréal.

Le scénario est cosigné par Bernard Émond et Benoît Pilon. Le film met en vedette Natar Ungalaaq (Atanarjuat – La légende de l’homme rapide), Éveline Gélinas, Vincent-Guillaume Otis, Paul-André Brasseur, Louise Marleau, Guy Thauvette et Antoine Bertrand.

L’histoire nous plonge dans les années cinquante, alors qu’une vague de tuberculose fait rage dans le Grand Nord canadien, obligeant les Inuits à se faire soigner dans différentes villes. Tivii (Natar Ungalaaq) doit se faire soigner à Québec. Incapable de communiquer, il se retrouve dans un univers totalement inconnu.

Son infirmière, Carole (Éveline Gélinas), demandera le transfert du jeune orphelin Kaki dans son sanatorium, car il a connu le monde inuit et parle aussi la langue. Tivii pourra ainsi partager sa culture.