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Les carottes et les céleris contre le cancer du côlon

Le céleri est déjà reconnu pour ses propriétés diététiques, et les carottes pour leurs bienfaits pour la santé des yeux, mais le BMC Gastroenterolgy mentionne maintenant que les deux peuvent ralentir la croissance du cancer du côlon.
 
En fait, la lutéoline, un flavonoïde ou antioxydant que l’on retrouve dans certains fruits et légumes, parvient à bloquer la croissance des cellules vitales pour la croissance du cancer.
 
On retrouve la lutéoline également dans l’huile d’olive, les poivrons verts, le thym, le thé à la camomille, la menthe poivrée et le romarin.
 
Elle freine la division des cellules, ce qui entraînerait leur mort.
 
Plus de recherches sont maintenant nécessaires afin de trouver les composants qui permettraient de développer une thérapie anti-cancer.
 
Pour le moment, les chercheurs savent que cela inhibe les voies de signalisations cellulaires IGF et P13K, qui sont importantes pour les cellules cancéreuses du côlon.
 
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Le persil et le céleri auraient des effets protecteurs contre le cancer du sein

Une série d’essais cliniques menés sur des rates laissent croire que le persil et le céleri pourraient offrir une protection contre le cancer du sein.
 
Les rates ont toutes été exposées à une progestérone habituellement prescrite comme hormone de remplacement pour les femmes en ménopause. Elles ont aussi reçu de l’apigénine. Il s’agit d’un flavonoïde que l’on retrouve notamment dans le persil et le céleri, mais aussi dans les pommes, les oranges et les noix, mentionne le Cancer Prevention Research.
 
Les tumeurs cancéreuses liées à l’hormonothérapie de remplacement étaient 50 % moins nombreuses. De plus, on a remarqué que l’apigénine avait comme effet de ralentir la croissance des tumeurs.
 
Selon l’équipe de l’Université du Missouri, l’apigénine freine l’action des progestatifs qui augmentent les risques de cancer du sein. Elle bloque donc l’effet cancérigène qui est souvent lié à l’hormonothérapie de remplacement.
 
Aucun test n’a encore été fait sur l’humain, mais les chercheurs croient réellement qu’ils obtiendront des résultats similaires et qu’une alimentation riche en apigénine réduirait les risques de maladie.