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Le cellulaire : outil d’intimidation 24 heures sur 24

Auparavant, l’intimidation se limitait souvent aux murs de l’école. De nos jours, non seulement il y a les médias sociaux, mais surtout, les cellulaires que nous mettons nous-mêmes entre les mains de nos enfants.

She Knows rappelle qu’il ne faut pas sous-estimer les risques associés aux messages texte. Des menaces sous le couvert de l’anonymat ou à travers un écran peuvent sembler inoffensives. Mais il existe de nombreux cas où les menaces sont mises à exécution.

« Nous avons cette fausse perception que si nous installons un contrôle parental sur l’ordinateur, nous protégeons nos enfants de la cyberintimidation », indique Neil Book, PDG de SMobile Systems, un fournisseur de solutions sécuritaires pour les cellulaires.

La réalité, c’est qu’ils n’arrivent plus à échapper à l’intimidation, précisément à cause du cellulaire, et le danger est bien réel. Votre rôle de parent est d’intervenir, que ce soit de façon préventive ou si vous suspectez de l’intimidation.

Des logiciels existent pour obtenir le contenu détaillé des textos, appels et sites internet consultés par votre enfant. Android, par exemple, offre le eBlaster. Renseignez-vous auprès de votre fournisseur. Vous aurez ainsi tous les rapports d’activités reliés à l’appareil.

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Comment protéger votre fille de la cyberintimidation

Le Dr Tim Jordan, pédiatre expert en comportement et développement des filles de 2 à 20 ans, apporte ses conseils aux parents d’aujourd’hui, par le biais du site SheKnows.

Voici quelques lignes directrices pour minimiser les conséquences qui découlent de l’intimidation en ligne :

Premièrement, avoir accès à un cellulaire ou un iPod est un privilège… pas un droit acquis! Il s’accompagne de règles précises. Cela commence avec la démonstration de maturité dans les propos échangés et les gens avec qui elle prend contact.

Soyez clair quant à la surveillance que vous effectuerez périodiquement. Ses textos et les sites visités seront vérifiés de façon aléatoire. Expliquez-lui que c’est exactement comme vérifier qu’un parent est présent lors d’une fête, ou intervenir dans sa chambre lorsqu’elle a de la visite.

Appliquez vos conséquences sur le champ. Elle est avisée, elle sait à quoi s’en tenir. Dès qu’il y a non-respect des règles ou directives, son privilège est retiré. Anciennement, on les privait de sortie. Aujourd’hui, on les prive de technologie.

Si elle subit de la pression d’autres personnes en ligne, vous pourriez aussi lui retirer toute technologie pour éviter que la situation s’envenime, le temps que cela se règle « en personne », et non en ligne.

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Des messages textes au service des patients

Voici une nouvelle idée ingénieuse qui risque fort de faire des petits. C’est le professeur Jean-Louis Bonnet, du service de cardiologie de l’Hôpital de la Timone, qui lance un nouveau concept technologique pour aider ses patients.

Il s’agit d’un système de messages textes, rapporte Top Santé, qui envoie des rappels aux patients afin qu’ils n’oublient pas leur médication, par exemple.

Des patients qui sortent de chirurgie et qui reprennent le chemin de la maison pour poursuivre leur convalescence pourraient notamment bénéficier de ce système. Plus question alors d’oublier ses traitements ou sa médication!

Et il semble que le stratagème porte déjà ses fruits.

« Selon une étude que nous venons de terminer, ce service est extrêmement efficace. On réduit de moitié le nombre de patients qui oublient de prendre leur traitement. Ils apprécient ce rappel, qui est perçu comme un lien persistant avec le milieu médical et qui les rassure », explique le Dr Thomas Cuisset, du même service de cardiologie.

Verra-t-on ce système être implanté au Québec? Peu de chance, diront les plus cyniques.

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Des distractions modernes placent les travailleurs à risque

Une étude provenant du Michigan traite d’un phénomène récent, mais tout à fait réel, celui des « distractions modernes » chez plusieurs types d’employés.

On parle ici bien sûr de certains gestes qui sont apparus de façon contemporaine avec la montée en flèche des appareils électroniques portables, mais aussi de ceux qui sont là depuis que le travail existe.

Donc, en plus des collègues qui viennent bavarder pendant que vous êtes occupé ou de la prise de courriels, l’apparition des messages texte et des médias sociaux ne viendrait qu’ajouter aux risques encourus par de telles distractions.

Selon l’étude américaine, rapportée par nlm.nih.gov, il peut s’agir de comportements aux conséquences minimes, voire banales, pour certains. Mais, pour d’autres, ce genre de distraction peut mener tout droit à la catastrophe.

Le chercheur Erik Altmann commente l’étude en soulignant le fait que les erreurs commises au travail sont statistiquement en hausse, ce qu’il considère comme inquiétant. Il nomme au passage quelques professions qui n’ont tout simplement pas le droit à l’erreur, comme les médecins urgentologues ou encore les mécaniciens spécialisés.

On suggère notamment aux employeurs de bien entourer leurs employés et de créer un environnement propice à la création et au travail, avec le moins de distractions possible.

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Vers une notion officielle de dépendance au téléphone cellulaire?

Le débat est lancé depuis longtemps, mais on tarde à reconnaître officiellement si oui ou non, l’utilisation massive du téléphone cellulaire et de ses applications constitue une dépendance.

Plusieurs sont d’accord avec la notion de dépendance à la technologie, phénomène relativement récent dans l’histoire. D’autres ne croient pas que le cellulaire, Internet et les autres applications du Web puissent constituer une dépendance au même titre que l’alcoolisme ou la toxicomanie.

Deux chercheurs se sont penchés sur la question. James Roberts est l’un d’eux et il croit qu’effectivement, on peut parler de dépendance à la technologie.

Le professeur de l’Université Baylor, à Waco au Texas, explique : « Bien sûr, les téléphones cellulaires ont leur mérite. Il y a manifestement une valeur d’utilité à ces appareils, mais nous parlons de quelque chose qui est portable, transportable et accessible 24 heures sur 24. Donc, comme tout le reste, si on dépasse les bornes, ça peut devenir un problème ».

Selon le spécialiste, ce serait notamment vérifiable chez les gens qui continuent d’utiliser leur appareil, soit pour envoyer des messages ou surfer sur le Web, alors qu’ils sont en public ou en pleine discussion dans le monde réel.

Parions que vous pouvez nommer quelques personnes de votre entourage qui ont développé ce genre d’habitude.

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Cellulaires et cancer du cerveau : un précédent

Le lien suspecté entre l’utilisation massive du téléphone cellulaire et certains cancers du cerveau n’est pas nouveau. Depuis les débuts de cet appareil moderne, les inquiétudes sont nombreuses quant à ses effets possibles sur le cerveau.

En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer de l’OMS publiait un communiqué indiquant que les fréquences des téléphones portables étaient effectivement potentiellement dangereuses.

Mais voilà qu’un véritable précédent dans ce dossier a été créé récemment en Italie. En effet, selon ce qu’annonce radio-canada.ca, un homme atteint d’une tumeur, monsieur Innocenzo Marcollini, a convaincu un tribunal italien que l’utilisation de son téléphone était responsable de son diagnostic.

Le plaignant affirme avoir utilisé son appareil de 5 à 6 heures par jour pendant 12 ans. Appelée à commenter cette décision, la professeure Magda Havas, de l’Université Trent en Ontario, se dit en accord.

Elle déclare : « On commence à reconnaître qu’on ne peut pas placer un émetteur d’ondes sur notre cerveau sans s’attendre à ce que cela ait des effets. »

Rappelons que le Canada (Santé Canada), quant à lui, ne reconnait pas la causalité du téléphone cellulaire pour des cas de cancer ou de tumeur.

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Les téléphones portables n’augmentent pas les risques de cancer

En mai dernier, l’Organisation mondiale de la santé avait classé les téléphones portables comme « peut-être cancérigènes pour l’homme », après une étude sur le sujet.
 
Mais voilà que le British Medical Journal publie les résultats d’une vaste étude danoise qui a suivi 358 403 personnes abonnées à un service de téléphonie cellulaire pendant 18 ans.
 
Les chercheurs n’ont établi aucun lien entre un risque accru du cancer du cerveau et le cellulaire, et ce, même chez les adeptes depuis plus de 13 ans.
 
Sur les 358 403 personnes, 10 729 ont développé une tumeur du système nerveux central (5111 hommes et 5618 femmes). Le nombre de cancers était similaire tant chez les abonnés que les non-utilisateurs.
 
Toutefois, les experts n’excluent pas la possibilité qu’il y ait effectivement plus de risques de développer un cancer chez les grands utilisateurs de cellulaires. Les études sur le sujet doivent donc se poursuivre.
 
Plusieurs experts recommandent toujours d’utiliser davantage les messages textes et les systèmes mains libres pour user des téléphones portables de façon totalement sécuritaire.
 
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Le cellulaire serait finalement sans danger

La multiplication des téléphones cellulaires de cette décennie a fait naître des craintes quant au développement d’une tumeur cérébrale, en particulier chez les plus jeunes. On croyait de plus en plus qu’une grande utilisation d’un cellulaire augmentait ce risque.

La raison en est que le système nerveux des enfants est en développement et que leur circonférence crânienne est plus petite. Les plus jeunes seraient donc moins bien protégés des champs électromagnétiques.

Or, aucune étude n’avait jusqu’à présent réellement examiné le possible lien entre le téléphone cellulaire et l’apparition d’une tumeur au cerveau.

C’est maintenant chose faite, comme nous pouvons le lire dans la présente édition du Journal of The National Cancer Institute.

Des chercheurs du Swiss Tropical and Public Health Institute ont démontré que les enfants et adolescents qui utilisent un téléphone cellulaire ne sont pas plus à risque que les autres de souffrir d’un cancer du cerveau.

S’étant étalée de 2004 à 2008, cette étude a porté sur des sujets âgés de 7 à 19 ans. Les données médicales de 352 patients atteints d’un cancer du cerveau ont été comparées à celles de 646 sujets témoins.

Aucune association valable entre le cellulaire et la tumeur cérébrale n’a pu être établie.

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Les tarifs cellulaires entre les pays européens diminuent

La proximité des pays européens incite souvent les voyageurs étrangers à visiter plusieurs d’entre eux lors d’un périple sur le Vieux Continent. D’un pays à l’autre, il est coutume de planifier son hébergement, la location d’une voiture ou de réserver certaines activités à l’avance avant de s’y déplacer.

Maintenant, pour tous ceux et celles qui ont l’habitude d’utiliser leur téléphone portable en voyage, il vous en coûtera dorénavant moins pour faire et recevoir des appels.

À compter du jeudi 1er juillet 2010, conformément à l’accord signé en 2009 entre le groupe des Vingt-Sept, les pays faisant partie de l’Union Européenne, il ne faudra débourser que 0,39 euro par minute pour un appel que l’on initie, contrairement au 0,43 euro demandé en ce moment. En ce qui concerne la réception d’un appel, le coût à la minute atteindra maintenant 0,15 euro, alors qu’on en facture 0,19 aujourd’hui.

Même chose au niveau de l’Internet, qui verra aussi ses tarifs prendre une pente descendante. À compter de cette date, les fournisseurs de service internet mobile devront aviser le client lorsqu’il en est rendu à 80 % de la consommation pour laquelle il a payé. Celui-ci aura alors tout le loisir d’accepter de dépasser sa limite initiale ou non. Les tarifs de transmissions de données passeront à 0,80 euro le mégaoctet au lieu de 1 euro.

Seul le tarif de 0,11 euro associé à l’envoi de messages textes demeurera inchangé. Du côté de la notification visant à avertir un usager de la réception d’un nouveau message dans sa boîte vocale de portable, celle-ci sera dorénavant gratuite.

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Peu de risque de cancer avec le cellulaire

La plus vaste étude sur l’utilisation du téléphone portable et le risque potentiel de cancer du cerveau vient de dévoiler ses résultats dans l’International Journal of Epidermiology.
 
Selon l’étude Interphone, il n’y aurait pas de liens clairs entre l’utilisation du cellulaire et le développement du cancer du cerveau.
 
Toutefois, pour les grands utilisateurs (900 heures par mois environ), on note un risque accru de gliome de 40 % et un risque de 15 % supérieur pour un méningiome. Habituellement, on retrouve également la tumeur du côté où le téléphone est tenu.
 
« L’étude ne met pas en évidence un risque accru, mais on ne peut conclure qu’il n’y a pas de risque, car il y a suffisamment de résultats qui suggèrent un risque possible », mentionne une auteure de l’étude, Elizabeth Cardis.
 
D’autres recherches se poursuivent sur le sujet.
 
Le téléphone portable est devenu extrêmement populaire, notamment auprès des jeunes, depuis le début de l’étude Interphone en 2000. Il faut dire aussi que les émissions sont moins grandes, car il y a une augmentation des messages textes et de l’utilisation de dispositifs mains libres.