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Vers un traitement des maladies de la rétine et de la cécité?

Des chercheurs ont utilisé la magie proposée par les cellules souches afin de créer de toutes pièces ce qu’on appelle des photorécepteurs.

Ces derniers permettent à l’œil de percevoir et capter la lumière, précisément ce qui fait défaut chez les patients atteints de dégénérescence maculaire.

Top Santé révèle aussi que c’est à la suite du début d’essais déjà prévus que les spécialistes de l’University College de Londres ont constaté la possibilité de programmer des cellules souches afin qu’elles se développent ensuite en photorécepteurs, pavant ainsi la voie à la possibilité de guérir éventuellement la cécité.

On a donc tenté l’expérience sur des souris aveugles, et bien que ces dernières n’aient pas recouvré la vue, on a tout de même bel et bien constaté le développement de photorécepteurs.

Selon les conclusions publiées dans le magazine Nature Biotechnology, il s’agit d’une découverte importante pour les patients atteints de dégénérescence maculaire (DMLA), par exemple.

« Si on peut implanter 20 000 cônes (photorécepteurs) à une personne souffrant de DMLA, on peut obtenir un immense bénéfice clinique, car nous n’avons pas besoin de beaucoup de cônes pour avoir une vision très efficace », conclut le meneur de ces recherches, le professeur Robin Ali.

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Percée prometteuse dans la lutte à la trisomie 21

La trisomie 21, ou syndrome de Down, frappe de plein fouet plusieurs petits patients et leurs parents, encore aujourd’hui.

Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

risomie 21, ou syndrome de Down, frappe de plein fouet plusieurs petits patients et leurs parents, encore aujourd’hui.

Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

 
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Autoproduction d’insuline : un espoir sérieux pour les diabétiques?

On en parlait récemment, une nouvelle théorie voit le jour en ce qui concerne le traitement du diabète. Il s’agit du principe d’autoproduction d’insuline, qui permettrait à un sujet atteint de la maladie de régénérer ses cellules productrices d’insuline par lui-même, selon ce que décrit et rapporte Top Santé.

Cette fois, des chercheurs de l’INSERM auraient réussi à démontrer hors de tout doute cette possibilité sur des rongeurs, une percée qu’ils rapportent dans un rapport publié dans le magazine Developmental Cell.

Les chercheurs ont constaté au fil de leurs recherches que malgré la perte des cellules productrices d’insuline, d’autres cellules de l’organisme pouvaient en fait en produire également!

En détournant certaines cellules de leurs fonctions primaires et en les utilisant à leurs fins, les spécialistes pourraient éventuellement en arriver à régénérer celles du pancréas.

C’est du moins ce qui a été démontré par ce modèle de test effectué sur des souris, une percée qui permettrait un jour aux victimes de diabète de type I, notamment, d’éviter les injections.

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Des chercheurs identifient le mécanisme de prolifération du cancer

Des chercheurs de l’Université du London College ont identifié un mécanisme de l’organisme qui expliquerait en partie ou en totalité la capacité du cancer à proliférer.

Ainsi, les conclusions de l’étude britannique proposée, et rapportée par le Daily Mail (UK), font état d’un véritable système de « poursuite » cellulaire! Les cellules malades seraient poursuivies par les cellules viables autour du corps, ce qui permet non seulement de mieux comprendre comment le cancer s’agrandit, mais aussi comment en arriver à un traitement.

« La plupart des décès liés au cancer ne sont pas dus à la formation de la tumeur initiale. En fait, les gens meurent des tumeurs secondaires qui découlent de la première cellule maligne, qui possède la capacité de voyager et de coloniser les autres organes vitaux du corps comme les poumons et le cerveau », explique Roberto Mayer, professeur et porte-parole officiel de l’étude.

Il conclut en affirmant : « Ceci se produit parce que la cellule maligne réussit à se faire suivre par des cellules saines. Personne ne savait comment cela fonctionnait, et nous croyons avoir percé le mystère. Si c’est le cas, il serait relativement facile de développer des traitements qui interfèrent avec cette interaction ».

Une nouvelle excitante et stupéfiante s’il en est une, qui prouve encore une fois que la lutte au cancer peut être remportée un jour.

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Encore une étape de franchie dans la compréhension de l’autisme

L’autisme est encore un mystère pour bien des spécialistes et médecins, mais la génétique permet de comprendre de plus en plus le phénomène.

Santé Log rapporte d’ailleurs que des chercheurs de l’Université d’Oxford viennent de découvrir une empreinte génétique qui permet de déchiffrer les messages que le cerveau reçoit chez les personnes qui souffrent d’autisme.

En bref, on cherche à découvrir au final les anormalités présentées par l’ADN des patients autistes, et à expliquer pourquoi celles-ci provoquent les réactions observables chez les patients.

On remarque de plus que d’autres variantes de l’ADN permettent ce genre de troubles, ce qui fait dire aux chercheurs qu’il existe plusieurs corrélations possibles.

Ces déductions et analyses ont donc toutes contribué à l’élaboration de cette empreinte génétique complexe et élaborée, qui marque une autre étape dans la compréhension de la maladie.

Les détails et notes de cette recherche ont été publiés dans la revue PLoS ONE ce mois-ci.

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Une nouvelle méthode de création de cellules souches fait son apparition

Des chercheurs américains seraient parvenus à créer des cellules souches à partir de cellules de peau humaine, un concept que l’on croyait possible depuis un certain temps sans avoir toutefois de preuves irréfutables.

Ce serait maintenant chose faite, selon Santé Log qui rapporte des informations stupéfiantes. La technique, dérivée du clonage pur et dur, pourrait simplifier la greffe de cellules souches en traitement de certaines maladies ou encore pour réparer certains tissus ou organes endommagés.

La méthode s’avère une percée spectaculaire dans le domaine. Ce sont des chercheurs de l’Oregon Health & Science University (OHSU) qui auraient réussi l’exploit, en utilisant une technique de clonage similaire à celle utilisée dans la création de la fameuse brebis Dolly, en 1996.

Les possibilités découlant de cette réussite sont multiples, à commencer par la création de possibles traitements de certaines maladies, comme le Parkinson et la sclérose en plaques.

Il faudra maintenant réussir à créer un nombre suffisant de ces cellules souches pour qu’elles parviennent à soigner ou à réparer. Un défi de taille, selon l’équipe de chercheurs. 

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Le système immunitaire des femmes vieillit moins rapidement que celui des hommes

Le Daily Mail rapporte une nouvelle étude qui explique partiellement la longévité des femmes, qui vivent plus longtemps que leurs congénères masculins.

On estime, en moyenne, l’espérance de vie des femmes à environ 82 ans, pour seulement 79 ans chez les hommes.

Cette différence de quelques années s’expliquerait notamment par le système immunitaire, plus résistant au temps chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, les maladies mortelles sont plus à risque de frapper les hommes qui prennent de l’âge que les femmes, ou à tout le moins plus tôt, croient les chercheurs japonais auteurs de l’étude.

D’autre part, il existe des cellules défensives qui se bonifient avec l’âge pour assurer le maintien de la protection de l’organisme, mais encore une fois, le phénomène serait plus efficace chez la femme.

De bonnes nouvelles pour la gent féminine, qui doit subir au cours de la vie sa part d’ennuis que les hommes n’ont pas à craindre.

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Nouvel espoir dans le traitement de l’épilepsie

L’épilepsie n’est pas qu’un moindre mal et change radicalement la vie de la plupart des gens qui en souffrent.

Le problème en ce moment, selon Santé Log, c’est que pas moins de 40 % des patients qui en souffrent ne répondent pas aux traitements et aux médicaments offerts.

Des patients attendent donc un miracle, qui pourrait bien arriver sous la forme d’injection de cellules cérébrales. C’est la nouvelle technique à l’essai du côté de l’Université de Californie, qui publie une étude sur le sujet.

Un traitement futuriste mais bien réel, assurent les spécialistes en place, qui seraient parvenus à réaliser l’exploit sur des souris.

Le bilan de ces premiers essais, publiés notamment dans la revue Nature Neuroscience, fait état d’un bon pourcentage de réussite sur les rongeurs, alors que la transplantation de cellules spécifiques au cerveau permet bel et bien l’inhibition de certains processus liés à l’épilepsie.

On parle d’un bel « espoir » du côté des chercheurs de la UCLA, un mot qui sonne comme de la musique aux oreilles des patients en attente d’une solution viable.

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Une découverte majeure pourrait mener à un traitement contre l’Alzheimer

The National Library of Medicine rapporte une excellente nouvelle en provenance des États-Unis, plus précisément de New York, concernant la lutte à la maladie d’Alzheimer.

Des chercheurs qui travaillent sans relâche à dénicher de nouvelles pistes pouvant mener à un ou des traitements de l’Alzheimer affirment avoir réussi à cerner un processus génétique qui pourrait bien les mener vers une autre découverte majeure.

En fait, c’est le principe des cellules qui « bloquent » le système défensif du cerveau qui a attiré les chercheurs, qui ont voulu en savoir plus.

Ils savent maintenant quels réseaux de gènes, ou de cellules, sont affectés par la maladie, alors que le cerveau tente de se battre pour sa survie.

« Définir les étapes précises de la réponse inflammatoire cruciale au développement de l’Alzheimer était difficile à accomplir. Nous sommes heureux d’avoir découvert ces nouvelles informations dans le processus », lance avec plaisir l’auteur principal de l’étude, Bin Zhang.

La prochaine étape sera de tester la réponse du cerveau et du processus génétique expliqué plus haut, face à différents types de traitements. Les chercheurs semblent optimistes d’effectuer des percées très intéressantes dans un avenir rapproché.