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Des chercheurs découvrent les « cellules ambulances »

On rapporte, du côté de Top Santé, une découverte étonnante qui permet de comprendre un peu mieux les réactions de l’organisme face à des troubles de santé précis.

Ainsi, des chercheurs basés à Marseille auraient identifié des cellules souches humaines dont on dit qu’elles travaillent comme une ambulance, c’est-à-dire qu’elles s’activent rapidement, en urgence, pour porter secours à l’organisme.

Ces cellules, maintenant connues sous le nom de cellules souches hématopoïétiques (CSH), se diviseraient afin de protéger et renouveler d’autres cellules comme les globules blancs, les globules rouges ainsi que les plaquettes.

« Nous avons découvert qu’une molécule biologique produite en grande quantité par l’organisme lors d’une infection ou d’une inflammation indique le chemin à prendre aux cellules souches », explique la Dre Sandrine Sarrazin, de l’équipe de chercheurs participant à cette découverte incroyable.

On croit pouvoir éventuellement dupliquer, recréer ou à tout le moins encourager ce phénomène, pour aider des patients à se doter d’une meilleure protection naturelle contre diverses maladies tenaces.

On croit aussi que ces recherches pourraient venir en aide aux patients atteints de leucémie, afin de les protéger à la suite d’une greffe de moelle osseuse.

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Des cellules du cerveau humain utilisées pour rendre des souris plus intelligentes

Le lien entre la souris et l’homme n’est plus à faire, comme les chercheurs du monde entier l’ont depuis longtemps compris.

Il existe tant de parallèles entre le rongeur et l’humain que presque tous les tests et essais cliniques se font maintenant sur des souris. Cependant, rien ne nous préparait à cette nouvelle révélation, publiée dans le cadre d’une étude que rapporte The National Library of Medicine.

Selon des chercheurs en neurologie de l’Université South Florida à Tampa, une expérience concluante aurait permis de transplanter des cellules cérébrales humaines sur des souris, les rendant ainsi plus intelligentes!

« C’est excitant. Les cellules étaient encore fonctionnelles et agissaient comme sur les humains, et ont même amélioré certaines capacités d’apprentissages », déclare avec enthousiasme le Dr Steven Goldman de l’Université de Rochester.

Les conclusions de cette recherche inédite, publiée dans l’édition du 7 mars du journal Cell Stem Cell, tendent à démontrer que de nouvelles techniques similaires pourraient être envisagées comme traitement de certaines maladies dégénératives ou cérébrales, comme le Parkinson ou l’Alzheimer.

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Découverte d’un « chaînon manquant » cellulaire

Des chercheurs auraient franchi une étape importante en ce qui concerne les cellules souches, la moelle osseuse et le système immunitaire.

En effet, selon les travaux rapportés par Santé Log, on pense avoir découvert un nouveau type de cellule qui échappait jusqu’à maintenant aux plus éminents spécialistes.

Qualifiée de véritable « chaînon manquant » cellulaire, cette cellule permettrait de faire le pont entre les cellules souches de moelle osseuse et celles du système immunitaire.

Ainsi, il est permis de croire que l’on pourrait bientôt « manipuler » certains processus qui régulent notamment le bon fonctionnement du sang et de ses vertus protectrices (globules), et ainsi améliorer ou réparer le système immunitaire chez certains patients.

Même chose pour la moelle osseuse, qui pourrait elle aussi se voir manipulée ainsi, permettant à des patients jusqu’ici qualifiés d’incurables de retrouver possiblement le chemin de la santé.

Tous ces constats ont été imaginés par les chercheurs jusqu’à maintenant, mais plusieurs clés restent à trouver afin de passer de la théorie à la pratique. Cette percée semble jeter un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

L’étude a été publiée dans l’édition de février du magazine Nature Immunology.

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La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.

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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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Vers un traitement de la sclérose en plaques grâce à la testostérone?

Santé Log rapporte des conclusions dévoilées par des chercheurs de Strasbourg, en France, qui indiquent qu’un traitement de la sclérose en plaques est envisageable.

Ce traitement serait basé sur une utilisation de la testostérone, apprend-on, qui permet de régénérer des cellules qui créent un phénomène appelé myélinisation, qui mène à des cas de sclérose en plaques lorsqu’inefficace.

Ce phénomène se définit par un système protecteur des fibres nerveuses et du système nerveux central. Lorsque ce système est endommagé, la porte s’ouvre pour les maladies dégénératives et immobilisantes.

Il n’existe encore, hélas, aucun traitement pour contrer ou traiter la sclérose en plaques, dont souffrent près de trois millions de personnes dans le monde, selon les estimations.

Cela pourrait bientôt changer, car selon ces conclusions publiées dans la plus récente édition du magazine Brain, les réactions observées chez des souris chez qui on a tenté ce genre de traitement (par testostérone) ont été positives.

Les rongeurs sont parvenus à régénérer les cellules clés qui permettent la myélinisation, une première dans le domaine.

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Le sexe au service du système immunitaire

Faire l’amour est une action qui possède plusieurs propriétés thérapeutiques, mais saviez-vous qu’elle permet également de renforcer le système immunitaire?

C’est du moins ce que l’on apprend par l’entremise de Top Santé, qui rapporte les conclusions d’un chercheur suisse qui croit pouvoir prouver cette théorie.

Manfred Schedlovski s’est concentré sur les taux de globules blancs, ou de cellules T, dans l’organisme avant, pendant et après l’acte sexuel. Ces globules sont primordiaux dans la réponse du système face aux virus et maladies virales de toutes sortes, notamment la grippe.

Le spécialiste constate que les taux de cellules T augmentent dès qu’il y a rapport sexuel, allant même jusqu’à se dupliquer pour un effet qui dépasse la durée des ébats amoureux.

« Le sexe augmente la quantité de ces cellules T, ce qui favorise la récupération de l’organisme, mais appuie son système immunitaire », déclare avec certitude le professeur Peter Schleicher.

Plusieurs études corroborent ces conclusions et parlent aussi de prévention des maladies cardiaques. La « posologie » minimale pour bénéficier de ces effets serait d’au moins deux relations par semaine.

Exit le jus d’orange pour contrer la grippe, bienvenue au sexe!

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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.

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Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

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Le système immunitaire pourrait bien ne pas s’affaiblir avec l’âge

C’est toute une nouvelle que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une étude qui remet en doute l’affaiblissement du système immunitaire lors du vieillissement vient de paraître.

C’est du moins ce que croient les chercheurs canadiens à l’origine de l’étude, qui déclarent que les gens âgés sont encore assez forts pour combattre et terrasser les virus connus.

Encore une fois, ce sont les fameuses cellules T qui sont à l’honneur. Ces cellules de défense permettent de lutter contre les infections virales avec la même vigueur et force chez un jeune que chez une personne plus âgée.

« Depuis fort longtemps, il était normal de croire que les personnes plus âgées étaient plus à risque face aux infections parce qu’ils manquaient de cellules immunitaires. Mais, ce n’est tout simplement pas le cas. Les personnes âgées sont certainement capables de développer une immunité face aux virus », lance candidement Jonathan Bramson de l’Université McMaster d’Hamilton, en Ontario.

Pour en arriver à cette conclusion, Bramson et son équipe ont analysé les réponses du système immunitaire de trois groupes de sujets différents, de différentes tranches d’âge, évidemment.

Tous les groupes ont démontré que les réactions des cellules T étaient les mêmes.