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Cellules T : Un dérivé du VIH pour lutter contre la leucémie

On vous apprenait récemment certaines percées importantes en matière de lutte au cancer, notamment grâce aux cellules T.

Ces cellules sont celles qui peuvent être « reprogrammées » afin de traiter certains patients aux prises avec des maladies très graves.

On apprend maintenant que deux cas sont venus démontrer l’efficacité de cette nouvelle façon de faire, alors que deux jeunes patients auraient vu leur cancer s’affaiblir ou disparaitre grâce à cette technique très moderne.

Mais il y a plus…

En effet, selon ce qu’explique santelog.com, il semble que ce traitement soit possible grâce à un dérivé du virus du VIH, dans une forme sécurisée. Aussi incroyable et paradoxal que cela puisse paraître, les spécialistes utilisent ce « dérivé » du VIH afin de créer des cellules tueuses qui attaquent les tumeurs.

Ces résultats, incluant les rapports qui confirment le succès de ce type de traitement sur plusieurs patients, ont été dévoilés lors d’une réunion de l’American Society of Hematology qui se tenait au début du mois (décembre).

L’équipe de l’Université de la Pennsylvanie se dit très heureuse de ces résultats et est portée par un vent d’optimisme concernant cette nouvelle méthode de traitement contre le cancer.

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Des greffes de cellules pour traiter le Parkinson dès 2013

Santelog.com nous apprend que pas moins de cinq greffes de cellules cérébrales sont au programme en 2013, afin de tenter d’aider des patients souffrant de la maladie de Parkinson.

C’est l’hôpital universitaire de Lund qui aura la tâche d’accomplir ces exploits, les traitements s’inscrivant dans le cadre d’une étude européenne. Ce sera la première tentative du genre depuis une décennie, et les résultats sont prometteurs.

Seule ombre au tableau, c’est bien entendu le fameux débat des cellules souches qui risque fort de revenir au premier plan de l’actualité. Plusieurs percées et traitements expérimentaux similaires à celui-ci seront mis à l’essai en 2013.

Dans ce cas-ci, on parle de remplacer les cellules cérébrales mourantes par des neuves, ce qui permettrait d’inverser (ou à tout le moins de combattre) le processus des maladies dégénératives comme le Parkinson, mais aussi la maladie d’Alzheimer.

Les thérapies cellulaires régénératives du genre ont rencontré plusieurs obstacles depuis la création du concept dans les années 80 et 90, mais les chercheurs ont bon espoir de réussir de petits miracles rapidement, entre autres grâce aux percées dans le domaine de la génétique et des nouvelles technologies.

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Les cellules souches à la rescousse du coeur

Si le débat des cellules souches continue de faire rage, il faut avouer que les plus récentes découvertes dans le domaine sont fort prometteuses.

Difficile de repousser le concept du revers de la main lorsqu’on constate que le principe pourrait sauver des milliers de vies, et Santelog.com rapporte une nouvelle percée importante, qui touche cette fois la cardiologie.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont en effet annoncé qu’ils pourraient parvenir à « réparer » un cœur malade grâce aux cellules souches, en transformant des cellules plus vieilles et usées par de toutes nouvelles.

Publiées dans la plus récente édition du Journal of the American College of Cardiology, ces conclusions risquent de créer une onde de choc dans le domaine médical.

Les chercheurs soulignent également le fait que, contrairement à une transplantation cardiaque, ce procédé élimine toute possibilité de rejet de la part du patient.

Le professeur Milica Radisic explique : «Nous pourrons bientôt créer des tissus meilleurs pour réparer les lésions telles que celles causées par les anévrismes ou les crises cardiaques ».

Ce principe d’inversement des cellules est qualifié de véritable « fontaine de jouvence » par les auteurs de ces recherches.

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L’horloge biologique aussi présente chez les cellules de graisse

Le phénomène d’horloge biologique serait aussi vérifiable dans les cellules de graisse, adipeuses, ce qui pourrait expliquer et corroborer l’importance des moments où vous prenez vos repas, selon santelog.com.

C’est ce qu’avance une nouvelle étude, qui vient rejoindre plusieurs autres précédentes sur le sujet, alors que des chercheurs ont réussi à enlever le « gène de l’horloge » des cellules adipeuses de souris.

Ce faisant, les messages envoyés par les cellules graisseuses au cerveau par l’entremise de l’hormone leptine pour annoncer les taux d’énergie en surplus ne se rendent plus.

Les souris commencent alors à grossir, voire devenir obèses, sans pour autant absorber plus de calories.

Il s’agit d’une découverte remarquable, qui pourrait prouver l’importance de manger à des heures régulières, ainsi que d’éviter de manger lorsque le corps s’attend à une période de repos. Cette dernière constatation viendrait d’ailleurs contredire certains articles publiés récemment sur le sujet.

On peut donc conclure que certaines personnes pourraient souffrir d’un syndrome que nous pourrions appeler celui de « l’horloge cassée », alors que les renseignements des cellules adipeuses ne se rendent plus, ou mal, au cerveau, et que la connexion avec le système nerveux central est déficiente.

Manger des repas à des heures aléatoires et pendant la nuit deviendrait alors catastrophique.

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Les « cellules T reprogrammées » prometteuses dans la lutte au cancer

Santelog.com rapporte une annonce du Human Gene Therapy, une revue spécialisée scientifique, sur des percées prometteuses qui ont été effectuées grâce aux « cellules T reprogrammées ».

Ces cellules, qui ciblent et détruisent les cellules tumorales, apparaissent comme de véritables sauveuses. Les plus grandes avancées se feraient dans les cas de cancer du cerveau.

C’est le Dr Richard Morgan qui mène cette vaste équipe internationale à la tête du projet, dont les membres font partie de l’Institut National du Cancer (NCI), du National Institute of Health (NIH) à Bethesda et de l’Université Duke.

Ceux-ci ont été en mesure de créer des cellules (Lymphocytes) T, qui cibleraient les antigènes retrouvés dans les cellules souches de gliomes, caractéristiques à plusieurs types de cancers agressifs au cerveau.

Souvent accompagnés d’un diagnostic mortel et d’une longévité maximale de deux ans, ces types de cancers pourraient bien être finalement contrés de façon efficace.

De son côté, Cellectis Therapeutics annonçait, au congrès de l’European Society of Gene & Cell Therapy, qu’elle venait de réussir à reprogrammer des cellules T qui enrayent et tuent les cellules cancéreuses.

On prévoit être en mesure éventuellement de produire ces cellules massivement, afin de soigner des patients atteints de cancer (cerveau, prostate, leucémie, poumon, etc.).

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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La transplantation de cellules souches pourrait augmenter le risque de maladies cardiaques

Les gens qui subissent une transplantation de cellules souches, par une greffe de moelle osseuse ou de sang de cordon ombilical, auraient plus de chance de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une étude.

Celle-ci est rapportée par nlm.nih.gov et affirme que plusieurs maladies cardiaques pourraient être influencées par de tels traitements. On parle entre autres de diabète, de haute pression et d’un taux de cholestérol élevé.

Les chercheurs de l’American Society of Hematology ont noté que les patients qui subissent des traitements de chimiothérapie ou de radiation juste avant une transplantation de cellules souches voient augmenter leurs chances d’avoir des problèmes cardiaques.

« Bien que nous nous en doutions, il était difficile de conclure avec précision jusqu’à présent. En fait, comme il était difficile de faire des suivis à très long terme sur ces patients, nous ne pouvions confirmer nos doutes. Des échantillons trop petits étaient également des obstacles », explique le Dr Saro Armenian, directeur de la Pediatric Survivorship Clinic au Childhood Cancer Survivorship Program de la ville de Duarte, en Californie.

Les chances de diabète et de problèmes de cholestérol seraient respectivement 1,5 et 1,4 fois plus probables que d’ordinaire.

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Des gènes pouvant prévenir la leucémie

Science Daily nous apprend qu’une nouvelle recherche offre des résultats concluants quant à la possibilité de prévention de la leucémie chez les enfants. Il s’agit d’une découverte faite par des scientifiques de l’Université Western Ontario.
 
La leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) est un cancer du sang qui se développe principalement chez les enfants en bas âge. Cette maladie est fréquemment associée à des mutations génétiques ou une anormalité des chromosomes qui surviennent pendant la grossesse, chez l’embryon ou plus tard dans le développement du fœtus.
 
Le responsable de cette étude, Rodney DeKoter, a trouvé deux gènes essentiels à la prévention de la cellule B, la forme la plus commune de la LAL chez les enfants (80 % des cas). Il s’agit des gènes PU.1 et Spi-B, qui agissent à titre de suppresseurs de la tumeur (cellule B).
 
« Vous pouvez comparer les cellules PU.1 et Spi-B à des freins sur une voiture. Si les freins principaux lâchent (PU.1), vous avez toujours le frein d’urgence (Spi-B). Sans ces deux freins, la voiture accélère et perd le contrôle », explique DeKoter.
 
Rodney DeKoter espère que cette recherche s’avèrera une alternative aux traitements toxiques administrés aux enfants, comme la chimiothérapie agressive.
 
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Le brocoli pourrait contrer la maladie d’Alzheimer

Des scientifiques croient que le brocoli pourrait détenir la clé contre la maladie d’Alzheimer.
 
Selon le Daily Mail, on pense que le sulforaphane, une substance chimique dérivée du brocoli, protègerait les cellules vitales du cerveau contre les radicaux libres. Il s’agit de molécules d’oxygène dangereuses qui sont produites lorsque la nourriture est transformée en énergie.
 
Ainsi, on pense que ce légume vert pourrait réussir là où d’autres traitements ont échoué. Toutefois, des pilules de sulforaphane seraient plus efficaces que de manger du brocoli.
 
Cela pourrait prendre encore une décennie avant de pouvoir mettre sur pied un traitement issu de ces hypothèses. Si le tout fonctionne, cela pourrait même aider à contrer la maladie de Parkinson et certains cancers.

Dernièrement, une étude disait également que le brocoli, tout comme le chou et le chou-fleur, favorisait une plus grande longévité. Ceci en raison des nutriments, comme la vitamine C, et des fibres.