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Une découverte en matière de cholestérol

Des travaux supervisés par le chercheur Nabil Seidah, directeur de l’unité de recherche en biologie neuroendocrinienne à l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM) ont permis de mieux comprendre les mécanismes derrière l’élimination du mauvais cholestérol dans le sang, grâce à des récepteurs que l’on retrouve dans les cellules du foie.

Selon le chercheur, une simple modification de ces récepteurs suffit pour diminuer le taux de mauvais cholestérol et ainsi voir chuter l’incidence de maladies cardiovasculaires.

« On connaît de mieux en mieux le processus du transport du cholestérol dans le sang. On sait que les récepteurs du mauvais cholestérol peuvent être détruits par ce que nous appelons des convertases de proprotéines. Il en existe neuf membres et le dernier, la PCSK9, mis au jour ici même en 2003, est une cible très intéressante pour la mise au point d’un traitement pharmaceutique », a souligné l’un des chercheurs, Gaétan Mayer.

Pour le moment, le traitement le plus prescrit pour gérer le taux de cholestérol est la statine, qui comporte son lot d’effets secondaires, dont des douleurs musculaires.

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Gare aux sites Web qui promettent des miracles!

Une étude, menée par des chercheurs de l’Université de l’Alberta, déplore la prolifération des sites Internet qui offrent aux consommateurs des traitements à base de cellules souches.

Vantés comme étant sécuritaires, efficaces et simples, les traitements sont loin de faire l’unanimité, entre autres pour leur vision trop optimiste des traitements.

Le Dr George Daley, ancien président de l’International Society for Stem Cell Research, a commenté ces résultats : « Je crois que ces sites Web sont dangereux. Ils embellissent les promesses d’efficacité et de sécurité de la thérapie. Ils sous-estiment complètement les risques et diffusent de la fausse information aux consommateurs. »

Ces sites prétendent, entre autres, pouvoir guérir des maladies comme la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson et l’Alzheimer.

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Vaccin prometteur pour le cancer du sein

Une équipe d’oncologues de l’Université Wayne State sont en train de développer un vaccin contre le cancer du sein, qui consiste à introduire un gène qui détruit les cellules cancéreuses.

Ce gène attaque la tumeur causée par un excès de la protéine HER2, qui compte pour 20 à 30 % des cas de ce type de cancer.

Si les essais cliniques de ce traitement sont positifs, les chercheurs ont espoir qu’il puisse être utilisé pour traiter d’autres types de cancers, comme celui des ovaires et le cancer colorectal, où l’on observe une grande quantité de la protéine HER2.

Au Canada, le cancer du sein est celui qui est le plus souvent diagnostiqué chez les femmes. En 2008, on estime à 22 400 le nombre de Canadiennes qui recevront un diagnostic de cancer du sein et à 5 300 le nombre de celles qui en mourront.

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Gare à l’augmentation mammaire par transfert de gras

L’Association des spécialistes en chirurgie plastique et esthétique du Québec (ASCPEQ), l’Association des radiologistes du Québec, l’Association des radio-oncologues du Québec et des chirurgiens oncologues prennent la parole afin de dénoncer la nouvelle chirurgie plastique dont la technique consiste à utiliser les cellules graisseuses d’une liposuccion pour ensuite les injecter dans les seins.

Cette technique, qui n’a pas reçu l’aval du Collège des médecins du Québec et de la Société américaine de chirurgie plastique et reconstructrice, a fait l’objet d’un seul essai clinique. Il est donc difficile de connaître les effets à long terme de cette chirurgie esthétique.

« Trop de questions sont encore sans réponse. Il est encore beaucoup trop tôt pour permettre cette technique en dehors d’un strict protocole de recherche. On ne veut surtout pas répéter les erreurs vécues avec les implants mammaires au silicone qui ont été utilisés avant d’obtenir les véritables réponses sur leurs impacts à long terme », a dénoncé le président de l’ASCPEQ, le Dr André Chollet.

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L’obésité est une véritable maladie

Des chercheurs de la Temple University School of Medicine, de Philadelphie, arrivent à la conclusion que les cellules graisseuses des personnes obèses sont déficientes.

Leurs recherches ont porté sur des échantillons de graisse de la cuisse de personnes obèses et de personnes minces.  Des différences importantes entre les cellules graisseuses des deux groupes ont été découvertes.

Les chercheurs ont découvert plusieurs différences dans la partie des cellules qui sert à synthétiser les protéines. Ces protéines entraîneraient une résistance à l’insuline. Cette résistance jouerait un rôle majeur dans les conditions d’apparition de l’obésité.

Selon les auteurs de l’étude, cette différence des cellules graisseuses entre personnes obèses et minces expliquerait le lien entre l’obésité et le risque de diabète, de maladies cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux.

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Percée médicale pour le traitement du mélanome

Une recherche dont les résultats sont publiés dans le New England Journal of Medicine nous en apprend davantage sur une nouvelle technique médicale à base de lymphocytes T de type CD4+.

Cette méthode, qui s’avère très prometteuse en matière de traitement du mélanome, consiste à reproduire en laboratoire cinq milliards de cellules de ce type pour ensuite les transplanter dans l’organisme.

Le sujet de cette expérimentation menée par le Dr Cassian Yee et son équipe était un homme de 52 ans atteint d’un mélanome, dont les cellules cancéreuses s’étaient propagées dans une des glandes lymphatiques de l’aine et dans un poumon.

Deux mois après cette transplantation, toute trace de tumeur avait complètement disparu. « Nous avons été surpris par les effets antitumeur de ces cellules T CD4 et de la durée de leur réponse contre le cancer. Nous avons eu un succès avec ce malade, mais il faut encore confirmer l’efficacité de cette thérapie en effectuant une étude plus étendue », a mentionné le Dr Yee.

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L’obésité programmée dès l’enfance

Dès l’enfance, l’être humain a un nombre prédéfini de cellules adipeuses, aussi nommées les adipocytes, et aucun régime amaigrissant ne diminuera le nombre de ces cellules, selon des chercheurs suédois de l’Institut Karolinska.

Les régimes ne modifient peut-être pas la quantité des adipocytes, mais celles-ci voient leur taille réduite, ce qui provoque une compensation des nouvelles cellules, qui se renouvellent de 10 % chaque année. Ce phénomène explique ainsi pourquoi il est si difficile de maintenir son poids après un régime.

L’équipe du Dr Peter Arner a aussi découvert que les cellules graisseuses se développent plus rapidement chez les obèses et que leur croissance est plus importante que chez les personnes qui ont un poids santé.

Grâce à cette découverte, les scientifiques espèrent que l’obésité pourrait être traitée dès l’enfance plutôt qu’à l’âge adulte.

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Des cellules de l’oeil pour diminuer le Parkinson

Le nouveau traitement, appelé Spheramine, qui consiste à transplanter des cellules de l’oeil humain dans le cerveau des personnes aux prises avec la maladie dégénérative, semble très prometteur. Il pourrait réduire de 44 % les symptômes associés au Parkinson.

La qualité de vie s’améliorerait aussi de 23 % selon une étude, dont les résultats ont été présentés au colloque annuel de l’Association des neurologues qui se tient à Chicago.

« C’est une étude très prometteuse sur ce traitement qui ne ressemble en rien à ce qui a été étudié jusqu’ici », a précisé le Dr Roy Bakay, l’auteur principal de cette recherche menée en collaboration avec l’Université Rush de Chicago.

Aucun traitement efficace pour vaincre la maladie de Parkinson n’existe pour le moment.

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Nouvelle découverte sur les cellules cancéreuses

Les recherches menées conjointement par des chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, et de l’Université de Toronto ont permis une découverte en matière de cancer.

En effet, ils ont observé que les cellules cancéreuses produisent des vésicules qui contiennent des protéines causant la maladie. Ces microbulles atteignent les cellules saines et réussissent à fusionner avec elles, ce qui explique la prolifération du cancer à l’intérieur de l’organisme.

Selon les scientifiques, cette percée médicale pourrait mener à des innovations cliniques majeures.

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Percée médicale pour la maladie de Parkinson

Le Dr Marius Wernig de l’Institut de recherche biomédicale Whitehead et son équipe ont réussi à réduire les symptômes de cette maladie neurodégénérative chez des rats, grâce à des cellules souches de la peau qui ont été reprogrammées afin de remplacer les neurones endommagés par la maladie.

« C’est la première fois qu’il est démontré que des cellules reprogrammées peuvent être intégrées dans le système nerveux et avoir un effet positif sur la maladie de Parkinson », a noté le Dr Wernig.

Quelques semaines après la transplantation des cellules, les chercheurs ont noté une diminution considérable des symptômes de la maladie de Parkinson chez les rongeurs.

Pour plusieurs membres de la communauté scientifique, cette percée médicale est une voie à explorer pour traiter les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson. Le Parkinson touche environ 100 000 personnes au Canada.