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Un manque de magnésium accélère le vieillissement

Des chercheurs américains de l’Institut de recherche de l’Hôpital pour enfants d’Oakland ont étudié les effets à long terme d’une carence en magnésium en cultivant des cellules pendant trois à quatre mois.

Ils ont constaté que les cellules qui avaient un manque modéré en magnésium survivaient et se divisaient normalement; toutefois, elles vieillissaient plus rapidement.

Aux États-Unis, plus de la moitié de la population souffre d’une déficience en magnésium, un élément minéral présent dans la majorité des cellules du corps humain.

Une alimentation trop pauvre en magnésium peut causer des maladies cardiovasculaires, de l’hypertension, le diabète, l’ostéoporose et la dépression.

On trouve le magnésium dans les fruits de mer, la mélasse, le cacao, les épinards, les légumes verts, les amandes et les bananes.

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Percée médicale en matière de cirrhose du foie

Une équipe de scientifiques de l’Université médicale de Sapporo, au Japon, a créé un produit à base de vitamine A qui a réussi à venir à bout de la cirrhose du foie chez des rats, une maladie chronique pour laquelle on n’a pas encore trouvé une cure.

Ce médicament a bloqué la production de collagène, dont l’excès de sécrétion provoque la fibrose des cellules hépatiques.

Durant les travaux du Dr Yoshiro Niitsu, 60 rats sont décédés de la maladie, mais 12 autres ont survécu; leur foie avait presque retrouvé sa condition normale après cinq semaines de traitement.

Bientôt, des essais cliniques auront lieu et si tout va bien, un nouveau médicament devrait voir le jour d’ici cinq ans.

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Une percée médicale en matière de neurologie

Une équipe de scientifiques de l’Université de Calgary a mis au point une technique qui permet de régénérer les connexions entre des neurones endommagés. Grâce à une puce électronique fixée sur ces derniers et émettant une pulsion électrique, la connexion entre les cellules a pu être rétablie.

D’ici cinq à dix ans, cette percée médicale pourrait être utilisée pour les traitements contre la maladie d’Alzheimer ou chez les personnes ayant subi un traumatisme neurologique important, des blessures à la colonne vertébrale ou une amputation.

Les Instituts de recherche en santé du Canada ont financé cette recherche en y injectant 2,25 millions de dollars.

 

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Un pas de plus vers le clonage humain

Des généticiens du laboratoire Stemagen, aux États-Unis, ont répété l’exploit réalisé en 2005 par des chercheurs oeuvrant à l’Université de Newcastle. Ils ont cloné trois embryons humains à partir de cellules souches.

Pour ce faire, ils ont retiré l’ADN d’embryons humains et l’ont remplacé par l’ADN de cellules souches de la peau.
 
Le docteur Andrew French, auteur de cette opération génétique, affirme : « Bien que cette étude représente un pas important dans le développement de cellules souches pour du clonage thérapeutique, beaucoup de travail de recherche reste à faire pour confirmer ces résultats et leurs applications. »
 
Quoi qu’il en soit, le clonage d’embryons humains permettrait éventuellement de traiter des maladies incurables.
 
Le journal Stem Cell publie tous les détails de cette expérimentation.
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Un coeur de rat mort rebat

Une équipe de scientifiques de l’Université du Minnesota ont réussi toute une percée médicale en injectant des cellules saines dans le coeur d’un rat mort pour ainsi le ramener à la vie.

Pour ce faire, les chercheurs ont enlevé toutes les cellules de l’organe, pour n’en conserver que la matrice, sur laquelle on a transplanté des cellules cardiaques provenant des coeurs de rats naissants.
 
À peine quelques jours plus tard, le coeur battait à nouveau et avait retrouvé 2 % de ses fonctions.
 
Cette percée médicale laisse entrevoir beaucoup d’espoir pour les personnes en attente d’une transplantation cardiaque. On pourrait alors utiliser leurs propres cellules afin de construire des vaisseaux sanguins et un coeur tout neuf.
 
La prochaine étape consiste à effectuer des tests cliniques sur les cellules humaines et évaluer davantage les coeurs bioartificiels.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans la revue Nature Medicine.