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Le système d’autodestruction des cellules : la clé de la guérison du cancer

Les cellules programmées pour la destruction sont automatiquement inhibées lorsqu’un être a un cancer. Ce système d’autodestruction, appelé l’apoptose, assure l’équilibre de la production et suppression de cellules nécessaire à notre régénération et notre développement.

Des recherches ont déjà développé des traitements contre le cancer qui visent à supprimer le signal de surproduction de cellules ou en restaurant les fonctions des cellules autodestructrices. Selon The Conversation, les résultats sont prometteurs.

Dans le processus normal de l’organisme, l’apoptose surviendrait dès que les cellules qui forment des tumeurs commenceraient à proliférer. Voilà pourquoi les scientifiques orientent leurs recherches en ce sens.

Les recherches en sont encore à leurs débuts, et les plus gros défis devront être surmontés, puisque par définition, les cellules « faites pour survivre » sont beaucoup plus difficiles à détruire et plus aptes à se modifier pour adopter un autre mode de survie.

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Implantation de cellules reprogrammées par l’homme

La technique utilisée par l’équipe japonaise est une première mondiale. Les cellules transformées, appelées pluripotentes induites (iPS), sont similaires aux cellules souches, c’est-à-dire des cellules qui ont la capacité de se transformer en tout type de cellule, selon le besoin.

Il s’agit de médecine régénératrice, et l’opération qui a eu lieu au Japon vendredi dernier (12 septembre) représentait l’un des premiers essais cliniques sur l’humain.

La patiente, une femme de 70 ans, s’est fait implanter des cellules iPS pour traiter une dégénérescence maculaire, une maladie de l’œil responsable de la cécité chez les gens du 3e âge.

Masayo Takahashi, directrice du projet, espère que les cellules ne se développeront pas en cancer, un risque possible.

Les cellules pluripotentes induites sont créées à partir de cellules du patient, puis modifiées jusqu’à leur stade embryonnaire avant d’être réimplantées, explique Le Figaro.

La Presse rapportait que l’Université Laval produirait aussi ses propres cellules souches d’ici peu, une première au Québec. Elles serviront à imiter diverses maladies humaines afin de venir en aide aux chercheurs.

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Le cerveau pourrait être protégé par le thé vert

Selon une récente étude publiée dans la revue scientifique Neural Regeneration Research, les polyphénols contenus dans le thé vert seraient grandement bénéfiques pour le cerveau.

Ceux-ci pourraient réduire les dommages causés aux cellules cérébrales à cause du stress. En effet, le stress récurrent a un effet d’oxydation sur les cellules de la moelle épinière et le pouvoir antioxydant des polyphénols serait très efficace contre cette dégénérescence.

Comme l’explique Science World Report, avec le temps, l’oxydation peut causer de nombreux problèmes de santé tels que la dégradation de l’ADN, la peroxydation des lipides et l’oxydation des protéines.

Boire du thé vert serait donc excellent pour préserver nos cellules cérébrales, mais encore, l’extrait de thé vert utilisé lors de la recherche a également donné de nouveaux espoirs aux scientifiques.

Ceux-ci croient en effet qu’avec de futures recherches, il serait possible de guérir une moelle épinière endommagée en régénérant les cellules à l’aide des polyphénols contenus dans les feuilles de thé vert.

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Du Botox pour traiter le cancer?

Depuis longtemps, les scientifiques observent chez l’humain et les souris que d’innombrables connexions nerveuses sont présentent au niveau des cellules tumorales. Le Botox s’avère efficace pour bloquer les signes nerveux en lien avec la croissance de ces tumeurs.

Des chercheurs du Herbert Irving Comprehensive Cancer Center de Columbia ont voulu s’attarder sur le rôle crucial qu’avaient les liens nerveux dans l’apparition et la croissance d’un cancer. Ils se sont notamment attardés au cas du cancer de l’estomac qualifié de « tueur silencieux », explique-t-on dans Science World Report.

Il s’est avéré qu’en utilisant du Botox sur des souris atteintes de divers cancers de l’estomac, ils ont réussi à bloquer les nerfs qui cherchaient à se connecter aux tumeurs. Cette procédure appelée « vagotomie » inhibe les nerfs, ce qui les empêche d’envoyer des signaux aux cellules souches du cancer de l’estomac. 

Le Botox peut donc ralentir de façon considérable la croissance des tumeurs et augmenter le taux de survie. Les chercheurs espèrent que ce traitement pourra servir dans d’autres cas, entre autres où les tumeurs sont à un stade plus avancé.

Les résultats sont parus dans la revue Science Translational Medicine.

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Leucémie : ne buvez pas de café durant la grossesse

Après avoir prouvé que la caféine durant la grossesse pouvait être néfaste et provoquer des naissances prématurées ou encore des bébés de faible poids, voilà qu’une nouvelle étude britannique parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynaecology avance une nouvelle théorie.

Le café consommé durant la grossesse peut avoir un impact important sur le développement d’une leucémie chez le futur enfant. Les chiffres sont troublants. Boire deux cafés par jour durant la grossesse augmente de 60 % le risque de cette maladie chez l’enfant à naître.

Ne pensez pas que boire un seul café par jour peut être beaucoup moins dangereux. Il y a toujours 20 % des risques que le cancer pédiatrique touche l’enfant.

Pour ce qui est des femmes enceintes qui sont accros et boivent plus de quatre tasses au quotidien, elles poussent à 72 % les chances que leur enfant soit atteint d’une leucémie.

La caféine serait un élément destructeur des cellules. Elle ferait des dommages à l’ADN de celles-ci, causant une diminution de leur résistance aux tumeurs, explique Top Santé.

Selon les chercheurs qui ont effectué plus de 20 études sur le sujet, les dangers du café sont flagrants et il devrait être proscrit pendant la grossesse tout comme l’alcool.

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Du venin d’abeilles pour combattre le cancer

C’est en extrayant une molécule (la mélittine) du venin d’abeilles et en l’injectant en laboratoire que des scientifiques de l’Université de l’Illinois ont fait cette découverte. Le « poison » des abeilles aurait des vertus thérapeutiques pour le cancer et ferait en sorte que les cellules cancéreuses cessent de se multiplier.

La mélittine est une petite protéine difficile à récupérer et qui se retrouve en petite quantité dans le venin. Les chercheurs doivent trouver comment celle-ci peut se diriger au bon endroit au bon moment pour ne pas engendrer des effets secondaires tragiques qui peuvent provoquer des paralysies ou des hémorragies.

Les chercheurs sont cependant déjà sur la bonne voie. Ils ont réussi à produire des toxines très compactes dans la nanoparticule et celles-ci se déversent seulement dans le système sanguin et se fixent uniquement aux tumeurs.

Cela évite la croissance et la propagation de cellules cancéreuses, a expliqué le principal auteur de l’étude, le Professeur Pan Dipanjan, lors de la réunion annuelle de l’American Chemical Society.

Ce dernier avance que d’ici trois à cinq ans, si les tests sur les cochons et les rats s’avèrent concluants, des essais pourront être réalisés sur l’homme. Une imitation de certaines toxines de venins de scorpions ou de serpents pourrait également être efficace pour traiter le cancer, écrit Top Santé.

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Infection néonatale de l’E. coli associée au TDAH

Jonathan Godbout, professeur en neuroscience à l’Ohio State University, a mené de front cette recherche avec ses collègues. Il a confié à Medical News Today : « Il est important de comprendre que lorsque le cerveau du nouveau-né est infecté, la fonction des cellules qui s’occupent du développement se modifie pour combattre l’infection ».

En d’autres termes, les cellules de développement abandonnent le cerveau. Cela crée une carence en fer, qui plutôt que d’être distribué également dans les tissus pour aider à former la matière grise, se retrouve stocké à l’intérieur d’une infime partie des cellules.

Cette carence cause une brèche dans la communication des cellules du cerveau avec le système nerveux central. Plus tard, les conséquences se transforment en troubles comportementaux, notamment le trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, ainsi que des troubles de motricité.

Godbout a informé Medical News today des statistiques d’infection par l’E. coli chez les nouveau-nés. « L’E. coli est la cause principale d’infection chez le nourrisson. On estime le nombre d’enfants affectés entre 1 à 8 sur 1000 naissances. »

De plus, cette infection est plus fréquente chez les prématurés ou bébés qui ont un poids sous la normale, le nombre passant de 160 à 300 sur 1000 naissances.

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Traitement prometteur pour éliminer l’eczéma infantile

Selon medicalnewstoday.com, dans l’édition du mois d’octobre de la revue Immunity, des chercheurs ont rapporté les résultats probants d’une étude effectuée sur des souris atteintes d’eczéma.

Les médecins et auteurs de la recherche, Dr Raif Geha et Dr Michiko Oyoshi de l’Hôpital pour enfants de Boston, ont réalisé qu’il est possible non seulement de stopper la progression de la maladie, mais aussi de la supprimer totalement.

L’eczéma en appelle aux cellules immunes « T ». Elles envahissent la peau et sécrètent des facteurs qui conduisent à une réponse allergique, ce qui crée la démangeaison. Le fait de gratter l’endroit touché accentue malheureusement le problème, puisque cela attire une autre sorte de cellules, les neutrophiles, qui sécrètent à leur tour un gras appelé leukotriène B4.

L’eczéma n’est ni plus ni moins qu’un cercle vicieux. Plus on se gratte, et plus les neutrophiles se ruent sur l’inflammation. Après avoir démontré ce processus, les chercheurs ont réalisé qu’il suffisait peut-être de bloquer l’apparition du leukotriène B4.

Sur les souris, un médicament conçu à cet effet a donné des résultats rapides et efficaces. « Nos découvertes suggèrent que les neutrophiles jouent un rôle majeur dans l’inflammation de la peau, et en bloquant le leukotriène B4 et ses récepteurs, il se peut que l’on ait découvert un nouveau traitement pour l’eczéma », a déclaré le Dr Michiko Oyoshi.

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Consommation de cannabis durant la grossesse : complications imminentes

Les chercheurs ont découvert que l’une des composantes du cannabis, les endocannabinoïdes, a une incidence directe sur les risques de prééclampsie chez la mère, en plus d’affecter les fonctions du placenta.

C’est ce que révèle l’étude des experts de la Division of Reproductive Scientists, au Centre médical de l’hôpital pour enfants de Cincinnati. Selon medicalnewstoday.com, les trophoblastes (cellules embryonnaires primaires) jouent un rôle critique pour la santé de la grossesse. Celles-ci sont responsables de la formation du placenta et présentent des anomalies biologiques lorsque combinées aux cannabinoïdes.

La prééclampsie, quant à elle, se manifeste par une pression artérielle élevée et une détection importante de protéines dans l’urine. Elle peut causer la mort dans les cas les plus graves.

Les auteurs de l’étude, Sudhansu K. Dey, Huirong Xie et Xiaofei Sun, ont révélé que « les conclusions de cette recherche augmentent les préoccupations quant au reste de la grossesse. Les cannabinoïdes atteignent également le système nerveux central, et d’autres études seront nécessaires afin de déterminer s’ils en altèrent aussi la fonction lors de la migration des cellules souches ».

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Un nouvel espoir contre le cancer

Après 10 ans de recherches, une équipe de l’Inserm CNRS, en collaboration avec des chercheurs australiens et anglais, est parvenue à isoler une molécule capable de freiner la multiplication et la mobilité des cellules cancéreuses.
 
Selon leurs résultats obtenus en laboratoire et sur des animaux, la Liminib inhibe la Lim Kinase (LIMK), qui est surexprimée dans plusieurs tumeurs invasives.
 
La LIMK permet la prolifération et la mobilité des cellules malades, alors que la molécule Liminib empêche le phénomène en désorganisant la dynamique du squelette interne même de la LIMK.
 
Cette molécule permet aussi de vaincre plus efficacement les cellules cancéreuses résistantes à la chimiothérapie.
 
Cette découverte pourrait donc mener à de nouveaux traitements et permettrait également d’éviter de nombreux décès par cancer, surtout dans les cas où la chimiothérapie s’avère insuffisante pour anéantir complètement les cellules malades.