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Cellules souches : Jean-Luc Brassard vulgarise son opération

Aux prises avec un genou en très mauvais état, l’ancien olympien et médaillé d’or en ski Jean-Luc Brassard est aux premières loges actuellement pour découvrir où en est la science en matière de traitements par transfert de cellules souches.

Alors que le sujet soulève doutes et interrogations par certains membres de la population, Jean-Luc Brassard a décidé de vulgariser son opération et de la partager avec ses admirateurs par le biais de son compte Instagram.

« Transfert de cellules souches, explications! Probablement l’opération la plus simple et la moins incisive que j’ai eu, malgré son apparence extraterrestre! Je vais essayé de la vulgariser, mais gardez quand même une réserve sur l’exactitude des propos. D’abord une résonance magnétique a confirmé l’arthrose dans mon genou déjà opéré, en plus d’un cartilage en mauvais état. Mes journées de ski s’en ressentaient et beaucoup d’autre activités devenaient limitées. Les options étaient l’injection régulière d’un liquide lubrifiant dans l’articulation du genou, $$$, ou alors cette greffe de cellules souches. La lecture de la résonance permettait de croire que j’étais un bon patient avec 9 chances sur 10 d’avoir un excellent résultat. Une ponction de sang à été prise dans le plis du coude, puis ce dernier a été mélangé à une perception de gras d’abdomen, un procédé semblable à une liposuccion j’imagine !!! Dans le gras d’abdomen ( il y a d’autres endroit de perception possible) ce trouve les cellules souches. Le sang et le gras sont mélangés dans une centrifugeuse (…) par la suite poussé à l’aide d’un seringue dans le genou. Les cellules ainsi injecté aideront à régénérer le cartilage abîmé, et, je l’espère, retrouver une faciliter de mouvements. Dans mon cas, j’ai eu une chute de pression car je n’aime pas particulièrement les salles d’opération, mais je fut tres bien traité, et au final, je suis sortie de là en marchant! La sensation actuelle est celle d’avoir beaucoup d’inflammation dans le genou, mais rien à voir avec une reconstruction ligamentaire. Je marche tranquillement et j’utilise les escaliers, je peux également conduire », explique (intégral) notamment Jean-Luc Brassard.

Brassard, 44 ans, avait remporté la médaille d’or en ski de bosses lors des Jeux olympiques de Lillehammer, en Norvège, en 1994.

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Une possibilité de restaurer l’ouïe

Des neurones auditifs issus de cellules souches humaines ont permis à des gerbilles sourdes de retrouver le sens de l’ouïe.
 
Bien que d’autres études doivent être faites, notamment pour s’assurer de la sécurité de cette procédure chez l’homme, il s’agit tout de même d’une avancée importante. Cela confirme que les cellules souches peuvent régénérer les cellules nerveuses de l’audition.
 
Les chercheurs de l’Université de Sheffield en Angleterre sont parvenus à implanter des cellules génératrices otiques qui ont réparé le nerf vestibucochléaire des gerbilles.
 
Rappelons que la maladie, une exposition prolongée à de forts bruits et une infection peuvent contribuer à la perte de l’ouïe.
 
Les recherches vont donc se poursuivre, et cela prendra encore quelques années avant de pouvoir procéder à cette implantation de cellules souches pour rétablir l’audition humaine.
 
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Avancée dans la recherche sur la dystrophie musculaire

Des cellules souches de patients ayant une forme rare de dystrophie musculaire ont pu être transplantées avec succès sur des souris affectées par cette maladie.
 
Selon le Science Translational Medicine, c’est la première fois que des chercheurs parviennent à convertir des cellules musculaires de patients atteints en cellules souches.
 
Cette découverte ouvre la voie à de nouvelles thérapies potentielles.
 
Pour parvenir à de tels résultats, les scientifiques ont modifié la cellule mésoangioblaste, qui avait déjà montré son potentiel de traitement. Seulement, il était impossible d’avoir suffisamment de ce type de cellule.
 
Donc, des cellules adultes ont été reprogrammées en cellules souches et implantées à des souris, qui ont vu leurs muscles endommagés être renforcés. Cela a permis aux rongeurs de se déplacer plus rapidement.
 
« Cette procédure est très prometteuse, mais elle doit encore être validée avant une application clinique, en particulier sur sa sécurité », explique le professeur Giulio Cossu.
 
Rappelons que la dystrophie musculaire est une maladie génétique qui affecte le muscle squelettique, réduisant alors la mobilité. Cela peut même mener à une dysfonction du coeur et des voies respiratoires. Jusqu’à présent, il n’existe aucun traitement efficace.
 
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Nouvelle façon de produire des cellules souches

Les chercheurs Derrick Rancourt et Roman Krawetz de l’Université de Calgary sont parvenus à créer des millions de cellules souches 1000 fois plus rapidement, sans y mettre le gène du cancer, indique le Nature Methods.
 
Habituellement, on doit insérer le gène du cancer pour créer des cellules souches, mais pas avec la nouvelle méthode.
 
« Les cellules adhèrent entre elles au lieu d’adhérer au plastique. Nous pensons que c’est l’un des secrets qui expliquent que cette technique fonctionne si bien », mentionne Derrick Rancourt.
 
Les deux chercheurs canadiens n’utilisent pas de cellules souches embryonnaires, une méthode contestée. Les cellules souches proviennent de la peau d’adultes et sont ensuite transformées en différents organes.
 
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Des cellules souches de la peau pour réparer le coeur?

Une équipe de l’Institut de technologie Technion d’Israël et du Centre médical Rambam d’Haifa est parvenue à transformer des cellules de la peau en cellules musculaires cardiaques afin de réparer le cœur.
 
Cette grande avancée médicale permet de redonner espoir à des personnes ayant une insuffisance cardiaque. De premiers essais cliniques pourraient être faits d’ici cinq à dix ans.
 
Les cellules sont prélevées sur le patient lui-même, réduisant ainsi les risques de rejet, mentionne l’European Heart Journal.
 
« Ce qui est excitant est que nous avons montré qu’il est possible de prélever des cellules de la peau d’un patient âgé atteint d’insuffisance cardiaque avancée et de pouvoir aboutir, à partir de ses propres cellules, à des cellules cardiaques jeunes et saines “battant” comme dans le muscle cardiaque, mais en laboratoire », déclare le professeur Lior Gepstein.
 
Les chercheurs ont reprogrammé les cellules de la peau qui ont été cultivées avec des tissus cardiaques préexistants. Après 24 à 48 heures, les cellules se sont mises à battre, et lorsqu’elles ont été transplantées sur des rats, elles ont établi des connexions avec les autres cellules.
 
Il s’agit donc d’une découverte très importante au niveau médical.
 
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Une avancée importante contre la sclérose latérale amyotrophique

Voici une avancée qui fera accélérer la recherche sur la sclérose latérale amyotrophique et d’autres maladies dégénératives.
 
Des scientifiques américains sont parvenus à créer une source illimitée de cellules de la crête neurale avec des cellules souches pluripotentes particulières, car elles participent à l’entretien et à la réparation du système nerveux.
 
Selon le Sterm Cells Translational Medicine, les cellules de la crête neurale sont très précieuses pour la régénération du système nerveux, mais elles sont très difficiles à obtenir. Jusqu’ici, les chercheurs avaient tenté d’y arriver, en vain.
 
Cette découverte permet donc d’ouvrir la voie à des thérapies cellulaires et à des tests in vitro de nouveaux traitements possibles.
 
La sclérose latérale amyotrophique, ou maladie de Carcot, se caractérise par l’affaiblissement et la paralysie des muscles en raison de la destruction des cellules nerveuses. Cela réduit également l’espérance de vie des personnes qui en souffrent.
 
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L’exposition à l’arsenic accroît les risques de cancer

Des chercheurs des National Institutes of Health ont démontré qu’une exposition à l’arsenic peut transformer des cellules normales en des cellules cancéreuses et même stimuler la croissance des tumeurs.
 
Déjà, on savait que l’arsenic inorganique, que l’on retrouve dans l’eau potable de millions de personnes, était cancérigène.
 
Cette fois, l’Environmental Health Perspectives démontre aussi que lorsque des cellules cancéreuses sont placées à proximité de cellules souches normales exposées à l’arsenic, sans être en contact, les cellules normales deviennent rapidement cancéreuses à leur tour.
 
« Cette étude montre d’une manière unique que les cancers peuvent se développer en recrutant à proximité des cellules souches normales pour créer une surabondance de cellules souches cancéreuses. La transformation des cellules souches normales en cellules souches cancéreuses pourrait avoir des implications sur le processus de cancérogenèse, dont la croissance tumorale et le développement des métastases », explique le professeur Michael Waalkes.
 
Des études plus approfondies devront donc être effectuées pour savoir notamment s’il y a d’autres substances qui peuvent causer ce même phénomène.
 
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Les cellules souches à la rescousse des coeurs malades

92 sujets ayant en moyenne 63 ans ont participé à un essai clinique sur les greffes de cellules souches sur le cœur, afin de traiter les défaillances cardiaques chroniques qui rendent le cœur incapable de pomper suffisamment de sang.
                       
Tous les participants avaient aussi un dysfonctionnement du ventricule gauche.
 
Les résultats, présentés à la Conférence de l’American College of Cardiology, démontrent que les personnes qui ont reçu des cellules souches de leur moelle osseuse ont vu une amélioration de 2,7 % du volume de sang repoussé du ventricule gauche.
 
Les plus jeunes avaient obtenu de meilleurs résultats, car ils ont plus de cellules souches dans leur moelle osseuse.
 
« Les résultats de cet essai clinique établissent une base solide pour mener d’autres recherches sur le lien entre la moelle osseuse, les caractéristiques des cellules souches et l’amélioration de l’état des patients », mentionne le Dr Emerson Perin.
 
L’étude, effectuée entre 2009 et 2011, a été la plus importante du genre jusqu’à présent.
 
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Des cellules souches capables de produire des ovules

Les troubles de la fertilité chez la femme pourraient un jour devenir un simple mauvais souvenir, selon le site Santelog.com.
 
Une nouvelle étude, publiée par la revue Nature Medicine, vient en effet de démontrer que des cellules souches productrices d’ovocytes existent bien dans les ovaires des femmes en âge de procréer.
 
Pour les chercheurs américains, ces résultats sont un espoir pour les nombreuses femmes qui combattent l’infertilité dans le monde.
 
Cette découverte remet d’ailleurs en question le mythe selon lequel une femme naît avec un nombre précis d’ovules qui diminue avec le temps.
 
En 2004, pour la première fois, les résultats d’une étude avaient émis l’hypothèse de l’existence de cellules souches se transformant en ovules chez les souris femelles.
 
Puis, cinq ans plus tard, d’autres scientifiques avaient affirmé avoir décelé ces cellules souches productrices d’ovules dans les ovaires de souris adultes.
 
Une belle avancée scientifique en moins de 10 ans.
 
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Les cellules souches prometteuses contre la maladie de Parkinson

Des chercheurs japonais ont dévoilé que des singes de laboratoire dont les membres bougeaient spasmodiquement (un des symptômes de la maladie de Parkinson) ont vu leur état s’améliorer après l’implantation de cellules souches.
 
Quatre primates de l’Université de Kyoto ont reçu des cellules souches embryonnaires humaines dans leur cerveau. Trois mois après, il y avait de signes d’amélioration. Six mois plus tard, les animaux étaient capables de marcher dans leur cage.
 
Au départ, 35 % des cellules souches étaient des neurones de type dopamine et le dixième d’entre elles était encore vivant après un an. Toutefois, ce taux de survie devra passer à au moins 70 % pour effectuer des tests sur les humains. Cela pourrait se faire en 2015 si tout va bien.
 
Après la maladie d’Alzheimer, le Parkinson est la deuxième maladie dégénérative la plus importante. Elle touche 100 000 personnes aux Canada et elle est aussi l’une des principales causes de handicap moteur après les accidents vasculaires cérébraux.