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Les chevaux au secours des humains

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et de l’Institut de recherche Samuel Lunenfeld de l’Hôpital Mount-Sinaï de Toronto sont parvenus à créer une cellule souche à partir des chevaux qui est capable de reproduire n’importe quel tissu du cheval. Cela pourrait ouvrir la voie à une même technique du côté des humains.

En 2007, des chercheurs avaient créé ce type de cellule pour les humains, mais il demeurait impossible d’en implanter avant d’effectuer des tests. Ainsi, l’implantation chez des chevaux, qui possèdent un système musculaire similaire au nôtre, permettrait de mieux approfondir les résultats.

Cette percée sera importante pour créer des cellules souches pluripotentes induites humaines. Ce type de cellule souche arrive à se différencier et peut devenir tous les types de cellules, qu’elles soient cardiaques, pulmonaires ou hépatiques, par exemple.

Déjà, la recherche sur les cellules souches soulève les passions, car on a parfois recours aux cellules souches embryonnaires, qui rencontrent de nombreux opposants, rappelle la revue Stem Cell Reviews and Report.

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Les cellules souches remises en question

L’enthousiasme était à son comble en 2010, quand des chercheurs ont réussi à élaborer une technique de création de cellules souches pluripotentes. On réussissait cet exploit par la reprogrammation de l’ADN de cellules de peau humaine.

Rappelons au passage qu’une cellule souche pluripotente peut se transformer en toute autre cellule humaine, d’où l’engouement général.

Or, une nouvelle étude parue cette semaine dans Nature est venue assombrir le tableau. Elle a démontré que la reprogrammation des cellules souches adultes n’est peut-être pas la meilleure solution de rechange aux cellules souches embryonnaires. Laissant des marques génétiques indélébiles, elles seraient moins polyvalentes qu’on l’espérait.

C’est que cette mutation créerait des cellules incomplètes et laisserait des marques dans le code génétique. Les chercheurs ne savent toujours pas si cela empêcherait la cellule de se transformer en une cellule spécifique d’une partie du corps, comme pour le cœur ou les poumons, par exemple.

Mentionnons en terminant que si les cellules souches embryonnaires demeurent la première vraie solution, il n’en demeure pas moins qu’elles provoquent la controverse. En effet, plusieurs politiciens conservateurs et groupes religieux s’opposent à leur multiplication et à leur utilisation. Selon eux, cela revient à détruire des embryons humains.

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Espoir quant aux malformations cardiaques infantiles

Il semble qu’une malformation congénitale du cœur pourrait être réparée en utilisant les cellules souches de la personne malade. Il s’agit là d’une grande percée dans le traitement des malformations cardiaques chez les enfants.

Cette nouvelle avenue provient d’une recherche menée par l’Association américaine du cœur parue dernièrement dans la revue scientifique Circulation.

En laboratoire, on a effectivement pu reconstruire le cœur touché par des malformations congénitales en employant les cellules souches du patient. Cette voie thérapeutique est si prometteuse que de nombreux petits patients pourraient ainsi éviter la transplantation cardiaque.

Grâce aux avancées de la médecine, les enfants étant atteints au cœur peuvent maintenant vivre plus longtemps, voire éviter la crise cardiaque. Leur qualité et leur durée de vie s’en trouvent elles aussi grandement améliorées.

Après avoir suivi des patients âgés de quelques jours jusqu’à 13 ans, on a pu remarquer que le nombre de cellules souches est beaucoup plus grand chez les poupons et qu’il tend à descendre très rapidement en fonction de l’âge. On a aussi remarqué qu’elles se retrouvaient surtout dans le ventricule droit du cœur.

Ce nouveau traitement est très encourageant pour les enfants atteints d’une malformation cardiaque, car dans leur cas, les maladies du cœur ne se présentent pas de la même façon que chez l’adulte et ne se traitent donc pas avec les mêmes méthodes.

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Avancée dans les cellules souches

Des recherches scientifiques de l’Université de la Californie à San Francisco (UCSF) qui se déroulent depuis une dizaine d’années pourraient mener à une grande découverte.

On peut lire dans le Journal of Clinical Investigation qu’à ce point, les chercheurs ont fait une percée quant aux cellules souches.

Jusqu’ici, leur transplantation était impossible pour le fœtus, car le système immunitaire de la mère en empêchait la réussite.

Or, il semble que la transplantation de cellules souches provenant de la mère elle-même serait la solution.

C’est la conclusion présente des chercheurs après de nombreuses expérimentations sur des souris.

Le procédé en tant que tel consiste en la prise de cellules en santé dans les os d’un donneur et leur transplantation dans le fœtus par injection guidée par ultra-sons.

Cette nouvelle avancée permettrait donc le diagnostic et le traitement de nombreuses maladies génétiques dès le stade fœtal.

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La cause de la calvitie mise en lumière

Des chercheurs viennent de mettre le doigt sur la cause de la calvitie. Les cellules souches du cuir chevelu ne seraient plus capables de développer le type de cellule à l’origine du cheveu.
 
Les travaux dévoilés dans le Journal of Clinical Investigation affirment que cette découverte représente un espoir pour des milliers d’hommes chauves.
 
Les personnes chauves ont un follicule pileux qui est devenu microscopique, même s’ils ont le même nombre de cellules souches au cuir chevelu. Par contre, celles-ci se mettent à fonctionner différemment et la chevelure perd ainsi en abondance pour finalement disparaître.
 
On espère maintenant trouver le moyen de créer un traitement qui agira directement sur ce mauvais fonctionnement des cellules souches pour permettre la pousse de cheveux normale.
 
Rappelons qu’en 2009, les chercheurs avaient découvert qu’un gène était également lié à la calvitie. Ce processus commence donc dès la petite enfance.
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Des cellules souches pour réparer les dommages au cerveau

Un premier Britannique a reçu une injection de millions de cellules souches dans le cerveau, lui qui était devenu dépendant de sa femme après un accident vasculaire cérébral (AVC).
 
Cette injection est la première du genre et 11 autres personnes l’auront dans le prochain mois. On croit que les cellules souches permettront de réparer les dommages causés au cerveau. Jusqu’ici, aucun traitement ne pouvait aider ces patients.
 
Les scientifiques croient que l’implantation de cellules souches au cerveau permettrait d’améliorer la condition des personnes, notamment en leur permettant à nouveau de parler correctement, de marcher, d’améliorer leur mémoire, leurs sautes d’humeur ou les changements de personnalité qui surviennent régulièrement après un traumatisme au cerveau.
 
Il est encore trop tôt pour déterminer dans quelle mesure les résultats seront concluants, mais on croit qu’une seule injection sera suffisante pour améliorer la vie des personnes.
 
Un fœtus de seulement 12 semaines pourrait générer suffisamment de cellules souches pour traiter des centaines de milliers, voire des millions, de personnes.
 
Rappelons toutefois que la technique des cellules souches rencontre beaucoup d’opposition, notamment des militants pro-vie qui affirment qu’il est immoral d’utiliser la vie d’enfants à naître comme usine de pièces de rechange pour la médecine.
 
Si la technique des injections de cellules souches au cerveau s’avère concluante, il sera possible d’utiliser cette méthode à grande échelle, probablement dans trois ans, mentionne le Daily Mail.
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Les femmes pourraient enfanter jusqu’à 60 ans

Des chercheurs égyptiens auraient mis au point une technique qui pourrait révolutionner le monde de la maternité
 
Le site spécialisé 7sur7.be rapporte que le professeur Azmy Oussama a présenté les résultats de ses travaux au dernier Congrès mondial sur la fécondité et la stérilité qui s’est tenu à Munich.
 
Cette nouvelle méthode permettrait aux femmes d’avoir un enfant jusqu’à l’âge de 50 et même 60 ans.
 
Jusqu’ici, la technique n’a été testée que sur des animaux. Elle consiste à injecter des cellules souches dans les ovaires, ce qui relancerait la production d’ovules.
 
Par contre, la méthode soulève un débat en ce moment dans le milieu scientifique et médical. Les cellules souches nécessaires aux injections doivent être prélevées sur des embryons qui ont été avortés ou encore sur ceux cultivés en laboratoire. Ceci est loin de faire l’unanimité.
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On recommande de couper le cordon ombilical quelques minutes plus tard

Le Journal of Cellular and Molecular Medicine rapporte une étude de l’Université de la Floride du Sud qui mentionne que les médecins devraient retarder de quelques minutes le serrage du cordon ombilical des nouveau-nés.
Selon leurs observations, on coupe le cordon entre 30 secondes et une minute après la naissance en Occident. Retarder le geste de quelques minutes permettrait un transfert de cellules souches de la mère à l’enfant. Ces cellules sont extrêmement précieuses pour la santé du bébé.
 
Lors de l’accouchement, le placenta, le cordon ombilical et le sang amorcent un pompage pour un transfert vers le bébé. Lorsqu’ils ont atteint un équilibre, ils s’arrêtent. Toutefois, on freine trop rapidement ce transfert, selon les chercheurs.
 
Retarder le serrage du cordon ombilical de quelques minutes permettrait d’éviter certaines anémies et les bébés auraient une « transfusion » naturelle de cellules souches précieuses et bénéfiques à leur organisme.
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Des cellules souches pour améliorer la fonction cardiaque

Une équipe du Centre hospitalier de l’Université de Montréal vient de réaliser une grande première en matière de médecine cardiaque.
 
Ils ont injecté directement dans un cœur des cellules souches pour améliorer la guérison et les fonctions de celui-ci.
 
L’intervention s’est déroulée à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont dans le cadre d’une chirurgie de pontage coronarien.
 
Le premier malade ayant reçu ce traitement a eu un prélèvement de cellules dans sa moelle osseuse. Ces cellules ont ensuite été enrichies afin qu’elles puissent se développer en cellules cardiaques et se renouveler. L’intervention a eu lieu il y a quelques semaines et le patient se porte très bien. On note même que les contractions de son cœur se sont améliorées, apportant ainsi la quantité de sang requise au bon fonctionnement de l’organe.
 
Les cellules souches dans le cœur sont recommandées pour les personnes ayant une défaillance chronique. Cette technique est moins invasive qu’une transplantation, qui est souvent la seule option pour ces patients.
 
Dans les prochains mois, vingt autres personnes testeront cette technique, y compris à l’Université de Toronto.
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La vitamine C à la rescousse des cellules souches

Le journal Stem Cell rapporte qu’une nouvelle propriété de la vitamine C vient d’être découverte. En effet, elle favoriserait la génération de cellules souches.

De nos jours, les chercheurs sont capables de fabriquer des cellules souches pluripotentes à partir de cellules adultes, dont celles de la peau. Bien que cela représente un potentiel énorme dans la médecine régénératrice, la méthode de fabrication est coûteuse et peu rentable, mais une nouvelle voie semble se dessiner.

Des scientifiques viennent de découvrir que la vitamine C, reconnue pour ses propriétés antioxydantes et sa faculté de réparer les tissus, favorise aussi la production de cellules souches, autant chez les souris que chez les humains.

La vitamine C pourrait donc devenir un ingrédient incontournable dans la fabrication de cellules souches, car elle améliore grandement le procédé de fabrication. Cela pourrait donc donner un nouveau souffle à cette voie thérapeutique fort prometteuse.

Les cellules souches sont autant capables de donner les feuillets embryonnaires à l’origine de la formation de tous les organes que les autres cellules. Voilà pourquoi, elles sont une voie si intéressante dans le monde médical.